Maladies congénitales

Code MeSH : C16

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Pathologies dans cette catégorie

Dystrophie musculaire facio-scapulo-humérale

La dystrophie musculaire facio-scapulo-humérale (FSHD) est une maladie génétique progressive qui affecte principalement les muscles du visage, des épaules et des bras. Cette pathologie neuromusculaire, bien que rare, touche environ 1 personne sur 8 000 en France selon les dernières données épidémiologiques. Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur cette maladie : symptômes, diagnostic, traitements actuels et innovations thérapeutiques prometteuses pour 2025.

Dystrophie musculaire oculopharyngée

La dystrophie musculaire oculopharyngée est une maladie génétique rare qui touche principalement les muscles des paupières et de la déglutition. Cette pathologie héréditaire, découverte dans les années 1960, affecte environ 1 personne sur 100 000 en France [12,13]. Bien que progressive, elle reste compatible avec une vie normale grâce aux avancées thérapeutiques récentes.

Dystrophie myotonique

La dystrophie myotonique représente la forme la plus fréquente de dystrophie musculaire chez l'adulte. Cette maladie génétique rare touche environ 1 personne sur 8 000 en France [14,15]. Caractérisée par une faiblesse musculaire progressive et des difficultés de relâchement musculaire, elle impacte significativement la qualité de vie. Heureusement, les innovations thérapeutiques 2024-2025 ouvrent de nouvelles perspectives d'espoir [1,2].

Dystrophies des cônes et des batonnets

Les dystrophies des cônes et des bâtonnets représentent un groupe de maladies génétiques rares qui affectent progressivement la vision. Ces pathologies touchent les cellules photoréceptrices de la rétine, entraînant une perte visuelle qui peut considérablement impacter la qualité de vie. Heureusement, les avancées thérapeutiques récentes offrent de nouveaux espoirs aux patients.

Dystrophies héréditaires de la cornée

Les dystrophies héréditaires de la cornée regroupent un ensemble de maladies génétiques rares qui affectent la transparence et la structure de cette membrane protectrice de l'œil. Ces pathologies, bien que peu fréquentes, peuvent considérablement impacter la vision et la qualité de vie. Heureusement, les avancées thérapeutiques récentes offrent de nouveaux espoirs aux patients.

Dystrophies musculaires

Les dystrophies musculaires regroupent plus de 30 maladies génétiques caractérisées par une faiblesse et une dégénérescence progressive des muscles. Ces pathologies touchent environ 40 000 personnes en France [1,2]. Bien que rares, elles représentent un enjeu majeur de santé publique. Heureusement, les avancées thérapeutiques de 2024-2025 offrent de nouveaux espoirs aux patients et à leurs familles.

Dystrophies musculaires des ceintures

Les dystrophies musculaires des ceintures représentent un groupe de maladies génétiques rares qui affectent principalement les muscles des épaules et des hanches. En France, ces pathologies touchent environ 1 personne sur 15 000, soit près de 4 500 patients [13,14]. Caractérisées par une faiblesse musculaire progressive, elles peuvent considérablement impacter la qualité de vie. Heureusement, les avancées thérapeutiques de 2024-2025 offrent de nouveaux espoirs [1,8].

Déficience en GATA2

La déficience en GATA2 est une maladie génétique rare qui affecte le système immunitaire et la production de cellules sanguines. Cette pathologie, causée par des mutations du gène GATA2, touche environ 1 personne sur 500 000 en France [15]. Découvrez dans ce guide complet les symptômes, les options de traitement et les dernières avancées thérapeutiques de 2025.

Déficit d'adhérence leucocytaire

Le déficit d'adhérence leucocytaire est une maladie génétique rare qui affecte le système immunitaire. Cette pathologie empêche les globules blancs de migrer efficacement vers les sites d'infection, compromettant ainsi les défenses naturelles de l'organisme. Bien que rare, cette maladie nécessite une prise en charge spécialisée et précoce pour éviter les complications graves.

Déficit en alpha-1-antitrypsine

Le déficit en alpha-1-antitrypsine est une maladie génétique rare qui touche environ 1 personne sur 2 500 en France [6,11]. Cette pathologie héréditaire affecte principalement les poumons et le foie, causant des troubles respiratoires progressifs et parfois des complications hépatiques. Bien que méconnue du grand public, cette maladie bénéficie aujourd'hui d'avancées thérapeutiques prometteuses, notamment avec les innovations 2024-2025 en thérapie génique [4,5].

Déficit en antithrombine III

Le déficit en antithrombine III est une maladie héréditaire rare qui augmente considérablement le risque de thrombose veineuse. Cette pathologie touche environ 1 personne sur 2000 à 5000 en France selon les données de Santé Publique France [1]. L'antithrombine III joue un rôle crucial dans la régulation de la coagulation sanguine. Quand elle fait défaut, le sang a tendance à coaguler trop facilement, créant des caillots dangereux.

Déficit en biotinidase

Le déficit en biotinidase est une maladie héréditaire rare qui touche le métabolisme des vitamines B. Cette pathologie, détectable dès la naissance, peut provoquer des troubles neurologiques graves si elle n'est pas traitée. Heureusement, un diagnostic précoce et un traitement adapté permettent une vie normale. Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur cette maladie méconnue mais importante.

Déficit en carbamoyl-phosphate synthase I

Le déficit en carbamoyl-phosphate synthase I représente une maladie génétique ultra-rare qui touche le métabolisme de l'ammoniaque. Cette pathologie héréditaire, causée par des mutations du gène CPS1, affecte principalement les nouveau-nés et peut avoir des conséquences graves si elle n'est pas diagnostiquée rapidement. Heureusement, les avancées thérapeutiques récentes offrent de nouveaux espoirs aux familles concernées.

Déficit en complexe pyruvate-déshydrogénase

Le déficit en complexe pyruvate-déshydrogénase représente une maladie métabolique rare qui affecte la production d'énergie cellulaire. Cette pathologie, touchant environ 1 personne sur 100 000 en France, perturbe le fonctionnement des mitochondries, véritables centrales énergétiques de nos cellules. Comprendre cette maladie complexe devient essentiel pour les patients et leurs proches, d'autant que les innovations thérapeutiques 2024-2025 ouvrent de nouvelles perspectives d'espoir.

Déficit en cytochrome-c oxydase

Le déficit en cytochrome-c oxydase représente une maladie mitochondriale rare mais grave qui affecte la production d'énergie cellulaire. Cette pathologie, touchant principalement les enfants, perturbe le fonctionnement du complexe IV de la chaîne respiratoire mitochondriale. Bien que rare, elle nécessite une prise en charge spécialisée et précoce pour optimiser la qualité de vie des patients.

Déficit en dihydropyrimidine déshydrogénase

Le déficit en dihydropyrimidine déshydrogénase (DPD) est une maladie génétique rare qui affecte le métabolisme des médicaments anticancéreux. Cette pathologie, touchant environ 3 à 5% de la population française, peut provoquer des réactions graves lors de chimiothérapies aux fluoropyrimidines. Comprendre cette maladie est essentiel pour votre sécurité thérapeutique.

Déficit en facteur V

Le déficit en facteur V est une maladie hémorragique rare qui touche la coagulation sanguine. Cette pathologie, également appelée maladie d'Owren, affecte environ 1 personne sur 1 million en France selon les dernières données épidémiologiques [1,2]. Bien que méconnue du grand public, elle nécessite une prise en charge spécialisée pour prévenir les complications hémorragiques.

Déficit en facteur VII

Le déficit en facteur VII est une maladie hémorragique rare qui touche la coagulation sanguine. Cette pathologie, souvent méconnue, peut se manifester par des saignements prolongés ou spontanés. Heureusement, les avancées thérapeutiques récentes offrent de nouveaux espoirs aux patients. Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur cette maladie rare.

Déficit en facteur X

Le déficit en facteur X est une maladie hémorragique rare qui touche la coagulation sanguine. Cette pathologie, présente chez moins de 1 personne sur 500 000 en France, peut se manifester par des saignements prolongés ou spontanés. Bien que méconnue du grand public, elle nécessite une prise en charge spécialisée pour éviter les complications graves.

Déficit en facteur XI

Le déficit en facteur XI, aussi appelé hémophilie C, est une maladie hémorragique héréditaire rare qui touche la coagulation sanguine. Contrairement aux hémophilies A et B plus connues, cette pathologie présente des caractéristiques particulières qui nécessitent une prise en charge spécialisée. En France, elle concerne environ 1 personne sur 100 000, avec des variations importantes selon les populations.

Déficit en facteur XII

Le déficit en facteur XII est une pathologie hémorragique rare qui touche environ 1 personne sur 1 million en France [1,2]. Contrairement à d'autres troubles de la coagulation, cette maladie présente des particularités surprenantes : elle peut provoquer des saignements prolongés lors d'interventions chirurgicales, mais paradoxalement, elle peut aussi augmenter le risque de thrombose [3,4]. Découvrons ensemble cette pathologie complexe et les avancées thérapeutiques récentes.

Déficit en facteur XIII

Le déficit en facteur XIII représente une maladie rare de la coagulation touchant environ 1 personne sur 2 millions en France [9,17]. Cette pathologie héréditaire affecte la stabilisation des caillots sanguins, pouvant entraîner des saignements prolongés. Heureusement, les innovations thérapeutiques 2024-2025 offrent de nouveaux espoirs [4,5,8]. Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur cette maladie méconnue mais prise en charge efficacement aujourd'hui.

Déficit en fructose-1,6-diphosphatase

Le déficit en fructose-1,6-diphosphatase est une maladie métabolique héréditaire rare qui affecte la capacité de l'organisme à produire du glucose. Cette pathologie, touchant environ 1 naissance sur 350 000 en France selon les dernières données de Santé Publique France, peut provoquer des hypoglycémies sévères et des troubles métaboliques graves. Heureusement, les avancées thérapeutiques de 2024-2025 offrent de nouveaux espoirs aux patients et à leurs familles.

Déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase

Le déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (G6PD) est une maladie génétique héréditaire qui affecte les globules rouges. Cette pathologie, souvent méconnue, touche environ 400 millions de personnes dans le monde [1]. En France, elle concerne principalement les populations d'origine méditerranéenne et africaine [2]. Bien que généralement bénigne, elle peut provoquer des crises d'anémie hémolytique sévères lors de l'exposition à certains déclencheurs.

Déficit en holocarboxylase synthétase

Le déficit en holocarboxylase synthétase est une maladie métabolique héréditaire rare qui affecte le métabolisme de la biotine. Cette pathologie, touchant environ 1 naissance sur 87 000 en France [13], se manifeste dès les premiers mois de vie par des symptômes neurologiques et cutanés caractéristiques. Heureusement, un diagnostic précoce et un traitement adapté permettent aujourd'hui d'améliorer considérablement le pronostic des patients.

Déficit en lécithine-cholestérol-acyl-transférase

Le déficit en lécithine-cholestérol-acyl-transférase (LCAT) est une maladie génétique rare qui affecte le métabolisme des lipides. Cette pathologie héréditaire perturbe la formation du cholestérol HDL, entraînant des complications rénales et oculaires. Bien que rare, cette maladie nécessite une prise en charge spécialisée. Les innovations thérapeutiques 2024-2025 offrent de nouveaux espoirs aux patients.

Déficit en mévalonate kinase

Le déficit en mévalonate kinase est une maladie auto-inflammatoire héréditaire rare qui touche environ 1 personne sur 100 000 en France [13]. Cette pathologie, aussi appelée syndrome hyper-IgD, provoque des épisodes récurrents de fièvre et d'inflammation. Bien que méconnue, elle bénéficie aujourd'hui de traitements innovants qui transforment la vie des patients [2,4].

Déficit en ornithine carbamyl transférase

Le déficit en ornithine carbamyl transférase représente la plus fréquente des maladies du cycle de l'urée, touchant environ 1 naissance sur 40 000 en France [14]. Cette pathologie génétique rare affecte la capacité de l'organisme à éliminer l'ammoniaque, substance toxique produite lors de la dégradation des protéines. Bien que complexe, cette maladie peut être prise en charge efficacement grâce aux avancées thérapeutiques récentes.

Déficit en prolidase

Le déficit en prolidase est une maladie génétique rare qui touche le métabolisme des protéines. Cette pathologie, causée par des mutations du gène PEPD, affecte principalement la peau et le système immunitaire. Bien que rare, elle nécessite une prise en charge spécialisée. Les innovations thérapeutiques récentes offrent de nouveaux espoirs aux patients.

Déficit en protéine C

Le déficit en protéine C est une maladie héréditaire rare qui affecte la coagulation sanguine. Cette pathologie, touchant environ 1 personne sur 300 en France, augmente significativement le risque de thromboses veineuses. Découvrez dans ce guide complet les symptômes, les traitements disponibles et les dernières innovations thérapeutiques de 2025.

Déficit en pyruvate carboxylase

Le déficit en pyruvate carboxylase est une maladie métabolique héréditaire rare qui affecte la production d'énergie cellulaire. Cette pathologie, touchant environ 1 naissance sur 250 000 en France, perturbe le métabolisme du glucose et peut entraîner des complications neurologiques sévères. Découvrez dans ce guide complet les dernières avancées diagnostiques et thérapeutiques de 2025.

Déficit multiple en acyl CoA déshydrogénase

Le déficit multiple en acyl CoA déshydrogénase, aussi appelé acidurie glutarique de type II, est une maladie métabolique héréditaire rare qui affecte la capacité de l'organisme à transformer les graisses en énergie. Cette pathologie touche environ 1 naissance sur 200 000 en France selon les dernières données du Plan National Maladies Rares 2025-2030 [3]. Bien que complexe, cette maladie peut être prise en charge efficacement grâce aux avancées thérapeutiques récentes.

Déficit multiple en carboxylases

Le déficit multiple en carboxylases est une maladie métabolique héréditaire rare qui affecte le métabolisme de la biotine. Cette pathologie, touchant environ 1 naissance sur 60 000 en France selon les données récentes [14,15], se caractérise par un dysfonctionnement de plusieurs enzymes essentielles. Bien que complexe, cette maladie peut être efficacement prise en charge grâce aux avancées thérapeutiques récentes et à un diagnostic précoce.

Déficit multiple en sulfatases

Le déficit multiple en sulfatases est une maladie génétique rare qui affecte plusieurs enzymes essentielles au bon fonctionnement cellulaire. Cette pathologie, aussi appelée maladie d'Austin, touche environ 1 naissance sur 1,4 million en France selon les dernières données épidémiologiques [13,14]. Bien que complexe, cette maladie fait l'objet de recherches prometteuses avec des innovations thérapeutiques majeures en 2024-2025.

Déficits héréditaires en complément

Les déficits héréditaires en complément représentent un groupe de maladies rares touchant le système immunitaire. Ces pathologies, souvent méconnues, affectent environ 1 personne sur 10 000 en France selon les dernières données de la HAS [1,3]. Bien que complexes, ces troubles peuvent être diagnostiqués et pris en charge efficacement grâce aux avancées médicales récentes.

Dégénérescence hépatolenticulaire

La dégénérescence hépatolenticulaire, plus connue sous le nom de maladie de Wilson, est une pathologie génétique rare qui affecte le métabolisme du cuivre. Cette maladie héréditaire touche principalement le foie et le cerveau, causant une accumulation toxique de cuivre dans l'organisme. Bien que rare, elle nécessite un diagnostic précoce et un traitement adapté pour éviter des complications graves.

Dégénérescences spinocérébelleuses

Les dégénérescences spinocérébelleuses regroupent un ensemble de maladies neurologiques rares qui affectent progressivement le cervelet et la moelle épinière. Ces pathologies héréditaires touchent environ 3 à 5 personnes sur 100 000 en France [1,2]. Bien que complexes, ces troubles neurologiques bénéficient aujourd'hui d'avancées thérapeutiques prometteuses, notamment avec les innovations 2024-2025 en matière de biomarqueurs d'imagerie et de nouvelles molécules comme la L-arginine [2,3].

Ectopie cardiaque

L'ectopie cardiaque représente une malformation congénitale rare où le cœur se développe partiellement ou totalement à l'extérieur de la cage thoracique. Cette pathologie exceptionnelle touche environ 1 naissance sur 126 000 selon les données récentes [14,15]. Bien que complexe, les avancées thérapeutiques 2024-2025 offrent de nouveaux espoirs aux familles concernées [1,2].

Ectopie du cristallin

L'ectopie du cristallin est une pathologie oculaire où le cristallin se déplace de sa position normale dans l'œil. Cette anomalie peut être congénitale ou acquise, touchant environ 1 personne sur 10 000 en France selon les dernières données de Santé Publique France [13]. Bien que rare, cette maladie nécessite une prise en charge spécialisée pour préserver la vision et améliorer la qualité de vie des patients.

Ectromélie

L'ectromélie est une malformation congénitale rare caractérisée par l'absence partielle ou complète d'un ou plusieurs membres. Cette pathologie, touchant environ 1 naissance sur 100 000 en France [4,5], peut affecter les bras, les jambes ou les deux. Bien que complexe, l'ectromélie bénéficie aujourd'hui d'avancées thérapeutiques remarquables et d'un accompagnement médical de plus en plus personnalisé.

Eczéma atopique

L'eczéma atopique touche près de 2,5 millions de Français, des nourrissons aux adultes. Cette maladie inflammatoire chronique de la peau se caractérise par des plaques rouges, des démangeaisons intenses et un impact significatif sur la qualité de vie. Heureusement, les innovations thérapeutiques 2024-2025 offrent de nouveaux espoirs aux patients.

Elliptocytose héréditaire

L'elliptocytose héréditaire est une maladie génétique rare qui affecte la forme des globules rouges. Ces cellules sanguines prennent une forme ovale caractéristique au lieu de leur forme ronde habituelle. Bien que souvent asymptomatique, cette pathologie peut parfois provoquer une anémie et nécessiter une surveillance médicale. Les avancées diagnostiques de 2024-2025 permettent aujourd'hui une meilleure prise en charge des patients.

Encéphalocèle

L'encéphalocèle est une malformation congénitale rare où une partie du cerveau fait saillie à travers un défaut du crâne. Cette pathologie touche environ 1 naissance sur 10 000 en France selon les dernières données de Santé publique France [1,7]. Bien que complexe, cette maladie bénéficie aujourd'hui d'innovations thérapeutiques prometteuses et d'une prise en charge multidisciplinaire adaptée [2,4].

Encéphalopathies métaboliques congénitales

Les encéphalopathies métaboliques congénitales regroupent un ensemble de maladies rares qui affectent le fonctionnement du cerveau dès la naissance. Ces pathologies, causées par des défauts génétiques dans le métabolisme, touchent environ 1 nouveau-né sur 5 000 en France selon les dernières données de Santé Publique France. Bien que complexes, ces maladies bénéficient aujourd'hui d'avancées thérapeutiques prometteuses et d'une prise en charge de plus en plus personnalisée.

Enfants siamois

Les enfants siamois, également appelés jumeaux conjoints, représentent une pathologie rare mais fascinante qui touche environ 1 naissance sur 50 000 à 200 000 dans le monde [1,12]. Cette malformation congénitale survient lorsque deux jumeaux restent physiquement reliés après la naissance, créant des défis médicaux et humains uniques. Bien que rare, cette pathologie nécessite une prise en charge spécialisée et multidisciplinaire pour offrir aux familles les meilleures perspectives d'avenir.

Erreurs innées du métabolisme

Les erreurs innées du métabolisme regroupent plus de 1000 maladies génétiques rares qui perturbent le fonctionnement normal de nos cellules. Ces pathologies touchent environ 1 naissance sur 2500 en France selon les dernières données de la HAS [1]. Bien que complexes, ces maladies bénéficient aujourd'hui d'avancées thérapeutiques remarquables, notamment avec les traitements personnalisés développés en 2024-2025 [3].

Erreurs innées du métabolisme de la purine et de la pyrimidine

Les erreurs innées du métabolisme de la purine et de la pyrimidine représentent un groupe de maladies génétiques rares mais importantes. Ces pathologies affectent la production et la dégradation des nucléotides, éléments essentiels de notre ADN et ARN. Bien que complexes, ces troubles métaboliques peuvent aujourd'hui être mieux compris et pris en charge grâce aux avancées récentes de la médecine.

Erreurs innées du métabolisme des métaux

Les erreurs innées du métabolisme des métaux représentent un groupe de maladies génétiques rares mais importantes qui affectent la façon dont notre organisme traite les métaux essentiels comme le cuivre, le fer ou le zinc. Ces pathologies, bien que peu fréquentes, peuvent avoir des conséquences graves si elles ne sont pas diagnostiquées et traitées à temps. Heureusement, les avancées récentes en biochimie et pharmacologie ouvrent de nouvelles perspectives thérapeutiques prometteuses [1].

Erreurs innées du métabolisme des stéroïdes

Les erreurs innées du métabolisme des stéroïdes représentent un groupe de maladies génétiques rares qui affectent la production et la transformation des hormones stéroïdiennes dans l'organisme. Ces pathologies, bien que peu fréquentes, peuvent avoir des conséquences importantes sur le développement et la santé. Comprendre ces troubles métaboliques est essentiel pour un diagnostic précoce et une prise en charge adaptée.

Erreurs innées du métabolisme du fructose

Les erreurs innées du métabolisme du fructose regroupent plusieurs maladies génétiques rares qui affectent la capacité de l'organisme à traiter le fructose. Ces pathologies héréditaires touchent environ 1 personne sur 20 000 en France [4,10]. Bien que méconnues, elles peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé si elles ne sont pas diagnostiquées et prises en charge correctement. Heureusement, les avancées médicales récentes offrent de nouveaux espoirs aux patients.