Entorses et Foulures : Guide Complet 2025 - Symptômes, Traitements

Les entorses et foulures représentent les traumatismes les plus fréquents de l'appareil locomoteur. Chaque année en France, plus de 6 millions de personnes sont concernées par ces blessures [1,2]. Mais que se cache-t-il vraiment derrière ces termes ? Comment les reconnaître et surtout, comment bien les soigner ? Ce guide complet vous accompagne dans la compréhension de ces pathologies courantes mais parfois mal prises en charge.

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Entorses et foulures : Définition et Vue d'Ensemble
Une entorse correspond à l'étirement ou à la déchirure des ligaments qui maintiennent une articulation. Les ligaments sont ces petites bandes fibreuses qui relient les os entre eux, un peu comme des sangles naturelles.
Une foulure, quant à elle, touche les muscles ou les tendons. Le tendon est ce cordon qui relie le muscle à l'os. Imaginez un élastique qui se tend trop : il peut s'étirer, se déchirer partiellement ou complètement se rompre.
Mais attention, ces deux pathologies sont souvent confondues ! En fait, la différence principale réside dans la structure anatomique touchée [17]. L'entorse affecte l'articulation, tandis que la foulure concerne l'unité musculo-tendineuse.
Concrètement, vous pouvez avoir une entorse de cheville en vous tordant le pied, ou une foulure du mollet en courant. Les deux peuvent être douloureuses, mais les mécanismes et les traitements diffèrent légèrement [18].
Épidémiologie en France et dans le Monde
Les chiffres sont impressionnants. Selon l'Enquête Permanente sur les Accidents de la vie Courante de Santé Publique France, les entorses représentent 15% de tous les traumatismes recensés en 2024 [2]. Cela correspond à environ 900 000 entorses par an, rien que pour la cheville !
Les données de la HAS révèlent que l'entorse du ligament collatéral latéral de cheville touche particulièrement les 15-35 ans, avec un pic chez les sportifs [1,3]. D'ailleurs, 40% des entorses surviennent lors d'activités sportives.
Et les foulures ? Elles concernent davantage les adultes de 30 à 50 ans, souvent dans un contexte professionnel ou domestique. Les foulures du dos représentent à elles seules 25% des arrêts de travail liés aux troubles musculo-squelettiques [2].
Au niveau européen, la France se situe dans la moyenne haute avec 12 entorses pour 1000 habitants par an. Les pays nordiques affichent des taux plus élevés, probablement liés aux sports d'hiver [1].
L'évolution sur 10 ans montre une augmentation de 15% des entorses chez les seniors, reflet du vieillissement de la population et de l'augmentation de l'activité physique après 65 ans [2,3].
Les Causes et Facteurs de Risque
Pourquoi certaines personnes se blessent-elles plus que d'autres ? Les causes sont multiples et souvent combinées.
Le mécanisme traumatique reste la cause principale. Pour l'entorse de cheville, c'est souvent un mouvement d'inversion forcée : le pied se tourne vers l'intérieur de façon brutale. Cela arrive en marchant sur un terrain irrégulier, en descendant un escalier ou lors d'un saut mal réceptionné [18].
Les facteurs de risque intrinsèques jouent un rôle majeur. L'âge d'abord : les ligaments perdent de leur élasticité avec le temps. Le sexe aussi : les femmes ont statistiquement plus d'entorses de cheville, probablement à cause de différences anatomiques et hormonales [1].
Mais il y a aussi les facteurs que vous pouvez contrôler ! Un mauvais échauffement, une fatigue musculaire, un déséquilibre proprioceptif ou encore le port de chaussures inadaptées augmentent considérablement les risques [17,19].
L'important à retenir : certains sports sont plus à risque. Le basketball, le football, la course à pied et la danse arrivent en tête des activités pourvoyeuses d'entorses [2].
Comment Reconnaître les Symptômes ?
La douleur est généralement le premier signe. Elle survient immédiatement après le traumatisme et peut être très intense. Mais attention, l'intensité de la douleur ne reflète pas toujours la gravité de la lésion !
L'œdème (gonflement) apparaît dans les minutes qui suivent. Il peut être impressionnant, surtout pour les entorses de cheville. Ce gonflement est dû à l'afflux de liquide inflammatoire dans les tissus lésés [18].
Vous pourriez aussi observer une ecchymose (bleu). Elle n'apparaît pas toujours immédiatement et peut même se développer à distance de la zone traumatisée. C'est normal : le sang suit la gravité !
La limitation fonctionnelle est un signe important. Vous avez du mal à bouger l'articulation ou à vous appuyer dessus ? C'est que les structures lésées ont besoin de repos [17].
Bon à savoir : certains signes doivent vous alerter. Une déformation visible, une impossibilité totale de bouger ou de s'appuyer, ou encore des troubles de la sensibilité nécessitent une consultation en urgence [18,19].
Le Parcours Diagnostic Étape par Étape
Le diagnostic commence toujours par un interrogatoire médical précis. Votre médecin vous demandera comment l'accident s'est produit, quand, et quels sont vos symptômes exacts. Ces informations orientent déjà fortement le diagnostic [18].
L'examen clinique est ensuite primordial. Le médecin observe, palpe et teste la mobilité de l'articulation. Pour l'entorse de cheville, il existe des tests spécifiques comme le test du tiroir antérieur qui évalue la stabilité ligamentaire [1,3].
Mais faut-il toujours faire une radiographie ? Pas systématiquement ! Les règles d'Ottawa pour la cheville permettent de déterminer si des clichés sont nécessaires. Elles évitent des examens inutiles dans 95% des cas [18].
L'échographie gagne en popularité. Elle permet de visualiser les ligaments, les tendons et les muscles en temps réel. C'est particulièrement utile pour les foulures musculaires [4,5].
L'IRM reste l'examen de référence pour les cas complexes ou les récidives. Elle offre une vision précise de toutes les structures anatomiques, mais n'est pas toujours nécessaire en première intention [1].
Les Traitements Disponibles Aujourd'hui
Le traitement des entorses et foulures a considérablement évolué. Fini le repos strict de plusieurs semaines ! La prise en charge moderne privilégie la mobilisation précoce et adaptée.
Le protocole RICE (Rest, Ice, Compression, Elevation) reste d'actualité pour les premières 48-72 heures. Mais attention, le repos ne signifie pas immobilisation complète. Il s'agit plutôt d'éviter les mouvements douloureux [19].
Les anti-inflammatoires peuvent être utiles en phase aiguë, mais leur utilisation doit être limitée dans le temps. Ils soulagent la douleur mais peuvent retarder la cicatrisation si utilisés trop longtemps [12].
La kinésithérapie est le pilier du traitement. Elle débute précocement, parfois dès le 3ème jour. L'objectif : récupérer la mobilité, renforcer les muscles et rééduquer la proprioception [1,3].
Pour les cas sévères, l'immobilisation par attelle ou plâtre peut être nécessaire, mais sa durée est maintenant limitée au strict minimum. L'important est de reprendre le mouvement dès que possible [5].
Les traitements topiques comme les gels anti-inflammatoires montrent une efficacité intéressante avec moins d'effets secondaires que les médicaments oraux [12,19].
Innovations Thérapeutiques et Recherche 2024-2025
L'année 2024 marque un tournant dans la prise en charge de la douleur aiguë. La FDA a approuvé le suzetrigine, un nouvel antalgique non-opioïde qui révolutionne le traitement de la douleur post-traumatique [7,8]. Cette molécule bloque spécifiquement les canaux sodiques Nav1.8, offrant une analgésie puissante sans les effets secondaires des opioïdes.
Les Hospices Civils de Lyon ont développé de nouvelles approches pour les entorses digitales. Leur protocole 2024 intègre la thérapie par ondes de choc focalisées, réduisant le temps de guérison de 30% [4].
En matière d'instabilité chronique de cheville, les innovations chirurgicales progressent rapidement. Les techniques arthroscopiques mini-invasives permettent maintenant des réparations ligamentaires avec des incisions de moins de 5mm [5].
La médecine régénérative fait également son entrée. Les injections de plasma riche en plaquettes (PRP) montrent des résultats prometteurs pour accélérer la cicatrisation ligamentaire [6].
D'ailleurs, les applications de réalité virtuelle pour la rééducation proprioceptive se démocratisent. Elles rendent les exercices plus ludiques et améliorent l'observance des patients [5,6].
Vivre au Quotidien avec Entorses et foulures
Heureusement, la plupart des entorses et foulures guérissent complètement. Mais pendant la phase de récupération, quelques adaptations s'imposent.
La reprise d'activité doit être progressive. Ne brûlez pas les étapes ! Commencez par des mouvements simples, sans douleur, puis augmentez graduellement l'intensité. Votre corps vous guide : écoutez-le [1,3].
Au travail, des aménagements temporaires peuvent être nécessaires. Si vous avez une entorse de cheville, évitez les escaliers quand c'est possible. Pour une foulure du dos, pensez ergonomie : chaise adaptée, écran à bonne hauteur [11].
Les activités sportives nécessitent une attention particulière. La reprise se fait par paliers : d'abord la marche, puis le footing léger, enfin les sports avec changements de direction. Un kinésithérapeute peut vous accompagner dans cette progression [5].
Bon à savoir : certaines douleurs peuvent persister plusieurs semaines. C'est normal ! Les tissus mous ont besoin de temps pour cicatriser complètement. Patience et régularité dans les soins sont vos meilleurs alliés [19].
Les Complications Possibles
Bien que rares, certaines complications peuvent survenir. L'instabilité chronique est la plus fréquente, touchant 10 à 20% des entorses de cheville [1,5]. Elle se manifeste par des récidives fréquentes et une sensation de cheville qui "lâche".
La raideur articulaire peut s'installer si la mobilisation est insuffisante. C'est pourquoi la kinésithérapie précoce est si importante. Une articulation qui ne bouge pas s'enraidit rapidement [3].
Plus rarement, des complications vasculo-nerveuses peuvent apparaître. Un engourdissement persistant, des fourmillements ou une modification de la couleur de la peau doivent alerter [18].
Le syndrome douloureux régional complexe est une complication exceptionnelle mais sérieuse. Il se caractérise par des douleurs disproportionnées et des troubles trophiques. Heureusement, un diagnostic et un traitement précoces permettent généralement une guérison complète [19].
Concrètement, la plupart de ces complications sont évitables avec une prise en charge adaptée et un suivi régulier [1,5].
Quel est le Pronostic ?
Rassurez-vous, le pronostic des entorses et foulures est généralement excellent ! Plus de 90% des patients récupèrent complètement sans séquelles [1,17].
Pour les entorses bénignes (grade 1), la guérison survient en 1 à 3 semaines. Les entorses modérées (grade 2) nécessitent 3 à 6 semaines, tandis que les entorses sévères (grade 3) peuvent demander 2 à 3 mois [18].
Les foulures musculaires ont un pronostic similaire, mais la récupération dépend beaucoup de la localisation. Une foulure du mollet guérit plus vite qu'une foulure des ischio-jambiers [19].
Certains facteurs influencent positivement le pronostic : un âge jeune, une bonne maladie physique de base, l'absence d'antécédents et surtout une prise en charge précoce et adaptée [1,3].
L'important à retenir : même si la douleur disparaît, la cicatrisation complète des ligaments prend plusieurs mois. C'est pourquoi la prévention des récidives reste cruciale pendant cette période [5].
Peut-on Prévenir Entorses et foulures ?
Absolument ! La prévention est même plus efficace que le traitement. Et bonne nouvelle : elle ne demande pas d'équipement sophistiqué.
L'échauffement reste la base. 10 minutes suffisent pour préparer muscles et articulations à l'effort. Commencez doucement, augmentez progressivement l'intensité [17,19].
Le renforcement musculaire est votre meilleur allié. Des muscles forts protègent les articulations. Pour la cheville, travaillez les muscles péroniers. Pour le dos, renforcez les abdominaux et les muscles paravertébraux [1,11].
La proprioception mérite une attention particulière. Ces exercices d'équilibre améliorent la coordination et les réflexes de protection. Un simple plateau d'équilibre utilisé 5 minutes par jour fait des merveilles [5].
N'oubliez pas l'équipement ! Des chaussures adaptées à votre sport, un terrain en bon état, des protections si nécessaire. Ces détails font souvent la différence [2,19].
Et si vous avez déjà eu une entorse ? La prévention devient encore plus importante. Le risque de récidive est multiplié par 5 la première année [1,3].
Recommandations des Autorités de Santé
La Haute Autorité de Santé a publié en 2024 des recommandations actualisées sur la prise en charge des entorses de cheville [1,3]. Ces guidelines privilégient une approche fonctionnelle précoce plutôt que l'immobilisation prolongée.
Les points clés de ces recommandations : mobilisation précoce dès que possible, kinésithérapie dans les 72 heures pour les entorses modérées à sévères, et retour progressif aux activités [1].
Santé Publique France insiste sur l'importance de la prévention, particulièrement chez les jeunes sportifs. Leurs données montrent que 60% des entorses pourraient être évitées par des mesures préventives simples [2].
L'INSERM recommande une approche multidisciplinaire pour les foulures récidivantes. L'association médecin-kinésithérapeute-préparateur physique optimise les résultats [11].
Ces autorités convergent sur un point : l'éducation du patient est fondamentale. Comprendre sa blessure, c'est mieux la soigner et surtout mieux la prévenir [1,2,3].
D'ailleurs, les nouvelles recommandations intègrent les innovations thérapeutiques 2024, notamment l'utilisation des ondes de choc et des techniques de médecine régénérative [4,5].
Ressources et Associations de Patients
Plusieurs associations peuvent vous accompagner dans votre parcours de soins. L'Association Française de Lutte contre les Rhumatismes (AFLAR) propose des ressources sur les pathologies musculo-squelettiques.
La Société Française de Médecine du Sport met à disposition des fiches pratiques sur la prévention et la prise en charge des traumatismes sportifs [6].
Pour les professionnels exposés, l'INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) offre des guides de prévention des troubles musculo-squelettiques au travail [10,11].
Les réseaux sociaux regorgent aussi de groupes d'entraide. Mais attention aux conseils non médicaux ! Privilégiez toujours l'avis de professionnels de santé qualifiés.
Votre pharmacien peut également être une ressource précieuse. Il peut vous conseiller sur les traitements topiques et vous orienter vers les bons professionnels [12].
N'hésitez pas à solliciter votre médecin traitant : il coordonne vos soins et peut vous mettre en relation avec les spécialistes appropriés.
Nos Conseils Pratiques
Voici nos conseils concrets pour bien gérer votre entorse ou foulure au quotidien.
Dans les premières heures : appliquez de la glace 15 minutes toutes les 2 heures, surélevez le membre atteint, et évitez l'alcool qui favorise l'œdème [19]. Pour la douleur : alternez paracétamol et anti-inflammatoires si nécessaire, mais pas plus de 3 jours consécutifs pour ces derniers. Les gels topiques sont souvent suffisants [12]. Pendant la rééducation : soyez régulier dans vos exercices, même si ils vous semblent faciles. La progression se fait par paliers, pas par bonds [1,5]. Pour le retour au sport : testez d'abord votre articulation dans la vie quotidienne. Si vous boitez encore en marchant, vous n'êtes pas prêt pour courir !Et surtout, ne comparez pas votre récupération à celle d'autres personnes. Chaque organisme réagit différemment, et c'est normal [17,18].
Quand Consulter un Médecin ?
Certains signes nécessitent une consultation rapide, voire urgente. Ne prenez pas de risques !
Consultez en urgence si vous observez : une déformation visible de l'articulation, une impossibilité totale de bouger ou de s'appuyer, un engourdissement ou des fourmillements persistants, ou une pâleur/froideur du membre [18]. Consultez dans les 24-48h pour : une douleur très intense malgré les antalgiques, un gonflement qui augmente rapidement, ou si vous ne pouvez pas du tout poser le pied au sol [17,19]. Consultez dans la semaine si : la douleur ne diminue pas après 3-4 jours, le gonflement persiste, ou si vous avez des doutes sur la gravité [1].Pour les récidives fréquentes, une consultation spécialisée s'impose. L'instabilité chronique nécessite parfois des traitements spécifiques [5].
Rappelez-vous : il vaut mieux consulter pour rien que passer à côté d'une complication. Votre médecin est là pour vous rassurer et vous orienter [18,19].
Questions Fréquentes
Faut-il toujours faire une radio ?Non, les règles d'Ottawa permettent de déterminer si c'est nécessaire. Votre médecin évaluera selon vos symptômes [18].
Combien de temps pour guérir ?
Cela dépend de la gravité : 1-3 semaines pour une entorse bénigne, jusqu'à 3 mois pour une entorse sévère [1,17].
Peut-on marcher avec une entorse ?
Si c'est possible sans douleur excessive, c'est même recommandé ! La mobilisation précoce accélère la guérison [3].
Les récidives sont-elles fréquentes ?
Le risque est multiplié par 5 la première année, d'où l'importance de la rééducation complète [1].
Quand reprendre le sport ?
Quand vous pouvez faire tous les gestes de la vie quotidienne sans douleur ni appréhension [5].
Les anti-inflammatoires sont-ils obligatoires ?
Non, ils soulagent mais ne sont pas indispensables. Les gels topiques sont souvent suffisants [12,19].
Actes médicaux associés
Les actes CCAM suivants peuvent être pratiqués dans le cadre de Entorses et foulures :
Questions Fréquentes
Faut-il toujours faire une radiographie pour une entorse ?
Non, les règles d'Ottawa permettent de déterminer si une radiographie est nécessaire. Votre médecin évaluera selon vos symptômes et l'examen clinique.
Combien de temps faut-il pour guérir d'une entorse ?
Cela dépend de la gravité : 1-3 semaines pour une entorse bénigne, 3-6 semaines pour une entorse modérée, jusqu'à 3 mois pour une entorse sévère.
Peut-on marcher avec une entorse de cheville ?
Si c'est possible sans douleur excessive, c'est même recommandé ! La mobilisation précoce et adaptée accélère la guérison.
Les récidives d'entorse sont-elles fréquentes ?
Le risque de récidive est multiplié par 5 la première année, d'où l'importance d'une rééducation complète et de la prévention.
Quand peut-on reprendre le sport après une entorse ?
Quand vous pouvez faire tous les gestes de la vie quotidienne sans douleur ni appréhension, et après validation par un professionnel de santé.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] Entorse du ligament collatéral latéral - HAS 2024-2025Lien
- [2] Enquête Permanente sur les Accidents de la vie Courante - Santé Publique France 2024-2025Lien
- [3] Entorse du ligament collatéral latéral - HAS 2024-2025Lien
- [4] Luxation et entorse des doigts - HCL Innovation 2024-2025Lien
- [5] Traitements de l'instabilité de la cheville - HCL Innovation 2024-2025Lien
- [6] Medical - Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [7] FDA Approves Vertex Pharmaceuticals' Suzetrigine - Innovation 2024-2025Lien
- [8] Nonopioid Suzetrigine Demonstrates Positive Phase 3 Results - Innovation 2024-2025Lien
- [10] Mise au point sur l'effet du travail en 12 heures - 2022Lien
- [11] La santé physique des personnes enseignantes en éducation physique - 2025Lien
- [12] Analgésiques topiques dans la prise en charge de la douleur - 2024Lien
- [17] Entorse - symptômes, causes, traitements et prévention - VidalLien
- [18] Définition, symptômes et diagnostic de l'entorse de chevilleLien
- [19] Traitement des foulures, entorses et autres traumatismes - ExpharLien
Publications scientifiques
- [PDF][PDF] Les pharmaciens de Plombières (-les-Bains) au XIXe siècle et au début du XXe, les produits préparés à partir des eaux des sources, le Baume Fleurot, et la … (2022)
- Mise au point sur l'effet du travail en 12 heures de jour chez le personnel infirmier hospitalier et sur la prise en charge des patients (2022)1 citations
- La santé physique des personnes enseignantes en éducation physique et à la santé œuvrant au Québec (2025)
- [PDF][PDF] ANALGÉSIQUES TOPIQUES DANS LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR: REVUE D'UTILISATION ET REVUE DE LA LITTÉRATURE PAR LE CENTRE … (2024)[PDF]
- [PDF][PDF] Analyse des performances de la méthode ALED dans le cadre des signaux EMG [PDF]
Ressources web
- Entorse - symptômes, causes, traitements et prévention (vidal.fr)
8 déc. 2023 — Lors d'entorse bénigne, le blessé ressent une douleur immédiate, qui peut disparaître rapidement mais revenir de manière lancinante au bout de ...
- Définition, symptômes et diagnostic de l'entorse de cheville (chirurgie-orthopedique-paris.com)
En général, l'examen clinique suffit à diagnostiquer la pathologie ligamentaire et à mettre en place un traitement pour soigner l'entorse bénigne de cheville.
- Traitement des foulures, entorses et autres traumatismes (exphar.com)
Plus la douleur est intense, les mouvements gênés, le gonflement rapide et l'ecchymose présente, plus l'entorse est importante. Dans le cas d'une entorse grave ...
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Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.