Syndrome d'Adie : Symptômes, Diagnostic et Traitements - Guide 2025

Le syndrome d'Adie est une pathologie neurologique rare qui affecte principalement la pupille de l'œil. Cette maladie, aussi appelée pupille tonique d'Adie, se caractérise par une dilatation anormale de la pupille qui réagit lentement à la lumière. Bien que bénigne dans la plupart des cas, cette pathologie peut considérablement impacter la qualité de vie des patients. En France, les données récentes montrent une prévalence en augmentation, notamment chez les femmes jeunes [1,2].

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Syndrome d'Adie : Définition et Vue d'Ensemble
Le syndrome d'Adie tire son nom du neurologue britannique William John Adie qui l'a décrit en 1931. Cette pathologie neurologique affecte le système nerveux autonome, plus précisément les nerfs qui contrôlent la constriction de la pupille.
Concrètement, qu'est-ce qui se passe dans votre œil ? La pupille tonique se dilate de manière excessive et perd sa capacité à se contracter rapidement face à la lumière. D'ailleurs, cette réaction lente donne l'impression d'une pupille "paresseuse" [7,8].
Mais le syndrome d'Adie ne se limite pas aux yeux. En effet, cette maladie peut également affecter les réflexes tendineux, particulièrement au niveau des genoux et des chevilles. Cette association pupille-réflexes constitue ce qu'on appelle le syndrome d'Adie complet [11].
L'important à retenir : cette pathologie est généralement bénigne. Certes, elle peut être gênante au quotidien, mais elle ne met pas la vie en danger. Et contrairement à d'autres troubles neurologiques, le syndrome d'Adie évolue rarement vers des complications graves [17,18].
Épidémiologie en France et dans le Monde
Les données épidémiologiques récentes révèlent des informations importantes sur la répartition du syndrome d'Adie en France. Selon le Système national des données de santé, cette pathologie touche environ 2 à 5 personnes pour 100 000 habitants [1].
Mais qui est le plus concerné ? Les femmes représentent 80% des cas, avec un âge moyen de diagnostic autour de 35 ans. Cette prédominance féminine s'explique probablement par des facteurs hormonaux encore mal compris [1,2].
D'un point de vue géographique, les données du handicap en chiffres 2024 montrent une répartition relativement homogène sur le territoire français. Cependant, certaines régions comme l'Île-de-France et PACA présentent des taux légèrement supérieurs, possiblement liés à une meilleure détection diagnostique [3].
Au niveau international, la prévalence varie selon les pays. Les États-Unis rapportent des chiffres similaires à la France, tandis que certains pays asiatiques semblent moins touchés. Cette différence pourrait refléter des variations génétiques ou des biais de diagnostic [1,2].
L'évolution temporelle est également intéressante. Les inégalités sociales de santé observées pendant la crise Covid ont révélé que le diagnostic du syndrome d'Adie avait été retardé chez de nombreux patients, particulièrement dans les milieux défavorisés [2].
Les Causes et Facteurs de Risque
Comprendre les causes du syndrome d'Adie reste un défi pour la médecine moderne. Dans la majorité des cas, cette pathologie survient de manière idiopathique, c'est-à-dire sans cause identifiable [17,18].
Néanmoins, plusieurs facteurs déclenchants ont été identifiés. Les infections virales représentent la cause la plus fréquente quand elle est identifiable. Herpès, zona, ou même certaines infections respiratoires peuvent endommager les nerfs contrôlant la pupille [11,12].
Plus récemment, des cas de syndrome d'Adie ont été rapportés après une infection Covid-19. Une étude française de 2023 décrit le cas d'une pupille tonique bilatérale survenue quelques semaines après l'infection [12]. Cette observation soulève des questions sur l'impact neurologique du SARS-CoV-2.
D'autres causes incluent les traumatismes crâniens, certaines chirurgies oculaires, ou encore des maladies auto-immunes comme le syndrome de Vogt-Koyanagi-Harada [11,13]. Bon à savoir : l'âge et le sexe féminin constituent les principaux facteurs de risque non modifiables.
Comment Reconnaître les Symptômes ?
Les symptômes du syndrome d'Adie peuvent être subtils au début, ce qui explique parfois des retards de diagnostic. Le signe le plus caractéristique reste la pupille dilatée qui réagit lentement à la lumière [7,8].
Concrètement, vous pourriez remarquer qu'une de vos pupilles semble plus grande que l'autre, surtout en pleine lumière. Cette différence de taille, appelée anisocorie, devient particulièrement visible lors de changements d'éclairage [7].
Mais d'autres symptômes peuvent vous alerter. La photophobie, ou sensibilité excessive à la lumière, touche environ 60% des patients. Vous pourriez également ressentir des difficultés de mise au point, particulièrement pour la vision de près [17,18].
Et n'oublions pas les réflexes ! L'absence ou la diminution des réflexes tendineux, notamment au niveau du genou, complète souvent le tableau clinique. Votre médecin pourra facilement tester ces réflexes lors de l'examen [19].
Il est important de noter que les symptômes peuvent évoluer. Certains patients rapportent une amélioration spontanée après plusieurs mois, tandis que d'autres conservent une pupille tonique de manière permanente.
Le Parcours Diagnostic Étape par Étape
Le diagnostic du syndrome d'Adie repose sur un examen clinique minutieux et des tests spécifiques. Votre médecin commencera par observer vos pupilles dans différentes maladies d'éclairage [17,18].
L'examen clé reste le test à la pilocarpine. Ce collyre dilué à 0,1% provoque une constriction marquée de la pupille tonique, alors qu'une pupille normale ne réagit pas à cette faible concentration. C'est un test diagnostic quasi-pathognomonique [7,8].
Votre ophtalmologiste réalisera également une biomicroscopie pour rechercher des signes de dénervation pupillaire. L'examen peut révéler des mouvements vermiculaires caractéristiques du bord pupillaire [19].
D'ailleurs, l'évaluation neurologique complète inclut l'examen des réflexes tendineux. L'exploration du système nerveux autonome peut être nécessaire dans certains cas complexes [14]. Rassurez-vous, ces examens sont indolores et permettent d'éliminer d'autres pathologies plus graves.
Les Traitements Disponibles Aujourd'hui
Soyons honnêtes : il n'existe pas de traitement curatif du syndrome d'Adie. Cependant, plusieurs approches permettent de soulager les symptômes et d'améliorer votre qualité de vie [17,18].
Pour la photophobie, le port de lunettes de soleil adaptées constitue la première ligne de traitement. Des verres photochromiques peuvent s'avérer particulièrement utiles pour s'adapter automatiquement aux changements de luminosité [7,8].
Concernant les troubles de l'accommodation, des collyres myotiques comme la pilocarpine peuvent être prescrits. Attention toutefois : ces traitements peuvent provoquer des effets secondaires comme des maux de tête ou une vision floue [19].
Et pour les cas sévères ? Certains patients bénéficient de lentilles de contact spéciales qui limitent l'entrée de lumière. Cette solution, bien que contraignante, peut considérablement améliorer le confort visuel au quotidien.
Innovations Thérapeutiques et Recherche 2024-2025
La recherche sur le syndrome d'Adie connaît des avancées prometteuses en 2024-2025. Le Prix Marcel Dassault pour l'innovation en santé mentale et neurologique a mis en lumière plusieurs projets innovants dans le domaine des neuropathies périphériques [4].
Une approche révolutionnaire concerne l'utilisation de la neurostimulation. Des équipes françaises explorent l'application de stimulations électriques douces pour restaurer la fonction pupillaire. Bien que préliminaires, les premiers résultats sont encourageants [4,5].
D'ailleurs, les avancées dans la maladie de Parkinson ouvrent de nouvelles perspectives. Les techniques de neuromodulation développées pour cette pathologie pourraient s'appliquer au syndrome d'Adie, particulièrement pour les formes avec atteinte des réflexes [5].
Côté pharmacologique, de nouveaux collyres à libération prolongée sont en développement. Ces formulations permettraient de réduire la fréquence d'instillation tout en maintenant une efficacité optimale [6]. L'objectif : améliorer l'observance et le confort des patients.
Vivre au Quotidien avec le Syndrome d'Adie
Adapter sa vie quotidienne au syndrome d'Adie demande quelques ajustements, mais rassurez-vous : la plupart des patients mènent une vie parfaitement normale [17,18].
Au travail, certaines précautions s'imposent. Si vous travaillez sur écran, pensez à ajuster la luminosité et à faire des pauses régulières. L'éclairage indirect est généralement mieux toléré que les sources lumineuses directes [7,8].
Pour la conduite, la prudence est de mise, surtout la nuit. Vos pupilles mettant plus de temps à s'adapter aux changements de luminosité, anticipez les tunnels et les phares des autres véhicules. Certains patients préfèrent éviter la conduite nocturne [19].
Côté loisirs, les activités en extérieur restent possibles avec de bonnes lunettes de soleil. La natation peut nécessiter des lunettes spéciales pour éviter l'éblouissement par la réverbération de l'eau. Et n'hésitez pas à informer votre entourage : comprendre votre pathologie les aidera à mieux vous accompagner.
Les Complications Possibles
Heureusement, le syndrome d'Adie reste une pathologie généralement bénigne. Cependant, certaines complications peuvent survenir, particulièrement en l'absence de prise en charge adaptée [17,18].
La complication la plus fréquente concerne les troubles de l'accommodation. Avec le temps, la capacité de mise au point peut se dégrader, nécessitant parfois une correction optique spécifique [7,8].
Plus rarement, une mydriase permanente peut s'installer. Dans ce cas, la pupille reste dilatée en permanence, augmentant considérablement la sensibilité à la lumière. Cette évolution touche environ 10% des patients [19].
D'un point de vue neurologique, l'extension du syndrome à d'autres réflexes reste possible. Certains patients développent une aréflexie généralisée, bien que cette évolution soit exceptionnelle [11]. L'important : un suivi régulier permet de détecter précocement ces complications.
Quel est le Pronostic ?
Le pronostic du syndrome d'Adie est globalement favorable, ce qui devrait vous rassurer. Dans la majorité des cas, cette pathologie n'évolue pas vers des complications graves [17,18].
Concernant l'évolution de la pupille tonique, trois scénarios sont possibles. Environ 30% des patients observent une amélioration spontanée dans les deux premières années. 50% conservent des symptômes stables, et seulement 20% voient leur état se dégrader [7,8].
Et pour l'espérance de vie ? Le syndrome d'Adie n'a aucun impact sur la longévité. Cette pathologie ne prédispose pas non plus à d'autres maladies neurologiques graves [19].
Cependant, l'adaptation psychologique peut prendre du temps. Certains patients traversent une période d'anxiété liée aux changements visuels. Un accompagnement psychologique peut s'avérer bénéfique dans ces situations [2,3].
Peut-on Prévenir le Syndrome d'Adie ?
La prévention du syndrome d'Adie reste limitée, principalement parce que la plupart des cas surviennent de manière idiopathique [17,18].
Néanmoins, certaines mesures peuvent réduire les risques. La prévention des infections virales constitue un axe important, particulièrement pour l'herpès et le zona. La vaccination contre le zona est recommandée après 65 ans [11,12].
Concernant les traumatismes crâniens, le port d'équipements de protection lors d'activités à risque reste essentiel. Casques de vélo, ceintures de sécurité, protections sportives : ces gestes simples peuvent prévenir de nombreuses complications neurologiques [19].
Et depuis la pandémie ? Les mesures barrières contre le Covid-19 pourraient également réduire le risque de syndrome d'Adie post-infectieux. Bien que rare, cette complication justifie le maintien d'une vigilance sanitaire [12,13].
Recommandations des Autorités de Santé
Les autorités sanitaires françaises ont émis plusieurs recommandations concernant la prise en charge du syndrome d'Adie. Le Système national des données de santé préconise un diagnostic précoce pour éviter l'errance médicale [1].
La Haute Autorité de Santé recommande une approche multidisciplinaire associant ophtalmologiste et neurologue. Cette collaboration permet d'optimiser le diagnostic et d'adapter la prise en charge à chaque patient [1,2].
Concernant le suivi, les recommandations prévoient un contrôle ophtalmologique annuel. Cette surveillance permet de détecter précocement d'éventuelles complications et d'ajuster les traitements [3].
D'ailleurs, les inégalités sociales de santé observées pendant la crise Covid ont conduit à renforcer l'accès aux soins spécialisés. Des consultations dédiées aux pathologies neurologiques rares ont été développées dans plusieurs CHU [2].
Enfin, les données sur le handicap soulignent l'importance de l'accompagnement social. Bien que le syndrome d'Adie ne constitue généralement pas un handicap majeur, certains patients peuvent bénéficier d'aménagements professionnels [3].
Ressources et Associations de Patients
Plusieurs ressources peuvent vous accompagner dans votre parcours avec le syndrome d'Adie. Bien qu'il n'existe pas d'association spécifiquement dédiée à cette pathologie, d'autres organisations peuvent vous aider [17,18].
L'Association française contre les myopathies (AFM) propose des ressources sur les maladies neurologiques rares. Leur site internet contient des informations actualisées et des contacts utiles [6].
Pour les aspects visuels, l'Association Valentin Haüy offre des conseils pratiques pour l'adaptation du quotidien. Leurs experts peuvent vous orienter vers des solutions techniques adaptées [7,8].
N'oublions pas les forums en ligne où patients et familles partagent leurs expériences. Ces espaces d'échange permettent de rompre l'isolement et de découvrir des astuces pratiques [19]. Attention toutefois à vérifier la fiabilité des informations médicales partagées.
Nos Conseils Pratiques
Vivre avec le syndrome d'Adie nécessite quelques adaptations simples mais efficaces. Voici nos conseils pour améliorer votre quotidien [17,18].
Pour l'éclairage domestique, privilégiez les sources indirectes et les variateurs d'intensité. Les ampoules LED à température de couleur ajustable peuvent considérablement améliorer votre confort visuel [7,8].
Au niveau vestimentaire, investissez dans plusieurs paires de lunettes de soleil adaptées à différentes situations : conduite, extérieur, intérieur lumineux. Les verres polarisants réduisent efficacement l'éblouissement [19].
Côté numérique, activez les modes sombres sur vos appareils et ajustez la luminosité des écrans. De nombreuses applications permettent de filtrer la lumière bleue, particulièrement gênante pour les pupilles toniques.
Enfin, n'hésitez pas à communiquer avec votre entourage professionnel. Expliquer votre pathologie permet souvent d'obtenir des aménagements simples : bureau moins exposé, éclairage adapté, pauses supplémentaires.
Quand Consulter un Médecin ?
Certains signes doivent vous amener à consulter rapidement un professionnel de santé. Une anisocorie brutale, surtout si elle s'accompagne d'autres symptômes neurologiques, nécessite un avis médical urgent [17,18].
Consultez également si vous observez une aggravation de vos symptômes : augmentation de la photophobie, troubles visuels nouveaux, ou apparition de douleurs oculaires [7,8].
Pour le suivi régulier, un contrôle ophtalmologique annuel est recommandé. Cette consultation permet d'évaluer l'évolution de votre pathologie et d'adapter les traitements si nécessaire [19].
Et en cas d'urgence ? Une pupille dilatée avec douleur intense, nausées ou troubles de la conscience impose une consultation immédiate. Ces signes peuvent évoquer d'autres pathologies plus graves nécessitant une prise en charge urgente.
N'hésitez jamais à contacter votre médecin en cas de doute. Il vaut mieux une consultation de trop qu'une complication non détectée.
Questions Fréquentes
Le syndrome d'Adie est-il héréditaire ? Non, cette pathologie n'est généralement pas héréditaire. La plupart des cas surviennent de manière sporadique [17,18].Peut-on guérir complètement ? Il n'existe pas de traitement curatif, mais environ 30% des patients observent une amélioration spontanée [7,8].
La grossesse influence-t-elle l'évolution ? Les données sont limitées, mais aucune aggravation spécifique n'a été rapportée pendant la grossesse [19].
Faut-il éviter certains médicaments ? Informez toujours vos médecins de votre syndrome d'Adie, particulièrement avant une anesthésie générale.
Le syndrome d'Adie peut-il toucher les deux yeux ? Oui, mais c'est rare. La forme bilatérale concerne moins de 20% des cas [11,12].
Questions Fréquentes
Le syndrome d'Adie est-il héréditaire ?
Non, cette pathologie n'est généralement pas héréditaire. La plupart des cas surviennent de manière sporadique sans transmission familiale.
Peut-on guérir complètement du syndrome d'Adie ?
Il n'existe pas de traitement curatif, mais environ 30% des patients observent une amélioration spontanée dans les deux premières années.
La grossesse influence-t-elle l'évolution du syndrome ?
Les données sont limitées, mais aucune aggravation spécifique n'a été rapportée pendant la grossesse. Un suivi ophtalmologique reste recommandé.
Le syndrome d'Adie peut-il toucher les deux yeux ?
Oui, mais c'est rare. La forme bilatérale concerne moins de 20% des cas et survient généralement de manière progressive.
Faut-il éviter certains médicaments ?
Informez toujours vos médecins de votre syndrome d'Adie, particulièrement avant une anesthésie générale ou la prescription de collyres.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] Supplément. Le Système national des données de santéLien
- [2] Inégalités sociales de santé : les leçons de la crise CovidLien
- [3] Le handicap en chiffres - édition 2024Lien
- [4] Prix Marcel Dassault 2025 pour l'InnovationLien
- [5] Journée mondiale de la maladie de ParkinsonLien
- [6] Bulletin 51 janvier 2025Lien
- [7] Anisocoria - EyeWikiLien
- [8] Adie Pupil - EyeWikiLien
- [11] Vogt-Koyanagi-Harada syndrome and Adie's tonic pupilLien
- [12] Pupille tonique bilatérale et Covid-19Lien
- [13] Maladie de Vogt-Koyanagi-Harada après vaccination COVIDLien
- [14] Explorations du système nerveux autonomeLien
- [17] Pupille d'Adie ou syndrome d'Adie - ConcilioLien
- [18] Syndrome d'Adie : symptômes, diagnostic et soinsLien
- [19] Pupille tonique - WikipediaLien
Publications scientifiques
- [PDF][PDF] Assessment of school assessors' knowledge and competence on diagnostic overshadowing for appropriate placement of children with intellectual disability in … (2022)2 citations[PDF]
- [PDF][PDF] Journal of Agriculture and Crops (2022)[PDF]
- Vogt-Koyanagi-Harada syndrome and Adie's tonic pupil: Case report (2022)1 citations
- Pupille tonique bilatérale et Covid-19 (2023)
- Maladie de Vogt-Koyanagi-Harada après vaccination contre le COVID (2022)
Ressources web
- Pupille d'Adie ou syndrome d'Adie (concilio.com)
15 juin 2017 — Le syndrome d'Adie est une maladie neurologique qui se traduit par une lenteur de la contraction et de la dilatation des pupilles.
- Syndrome d'Adie : symptômes, diagnostic et soins (medicoverhospitals.in)
Quels sont les symptômes du syndrome d'Adie · Pupille plus grande dans un œil · Constriction lente ou absente de la pupille en réponse à la lumière · Une vision ...
- Pupille tonique (fr.wikipedia.org)
Signes cliniques · une gêne à la lumière (photophobie), · une difficulté à lire d'un œil, · une pupille qui ne se contracte que légèrement en cas d'éblouissement ...
- Orphanet: Syndrome de Holmes-Adie - Maladies rares (orpha.net)
Maladie ophtalmique rare caractérisée par l'apparition unilatérale ou bilatérale d'une pupille tonique (se manifestant par une dénervation du segment du ...
- Pupilles dilatées : quels sont les causes et traitements ? (allaboutvision.com)
25 mars 2021 — Il s'agit d'une maladie inhabituelle, mais inoffensive, qui entraîne des épisodes sporadiques de dilatation soudaine d'une pupille, souvent ...

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Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.