Naevomatose Basocellulaire : Guide Complet 2025 - Symptômes, Traitements

La naevomatose basocellulaire, également appelée syndrome de Gorlin, est une maladie génétique rare qui touche environ 1 personne sur 60 000 en France [12,14]. Cette pathologie héréditaire se caractérise par le développement de multiples carcinomes basocellulaires et diverses anomalies développementales. Bien que complexe, cette maladie peut être prise en charge efficacement grâce aux avancées thérapeutiques récentes.

- Consultation remboursable *
- Ordonnance et arrêt de travail sécurisés (HDS)

Naevomatose basocellulaire : Définition et Vue d'Ensemble
La naevomatose basocellulaire est une maladie génétique autosomique dominante causée par des mutations du gène PTCH1 dans 85% des cas [14]. Cette pathologie, décrite pour la première fois par Gorlin et Goltz en 1960, affecte le développement embryonnaire et prédispose aux tumeurs.
Concrètement, les patients développent de nombreux carcinomes basocellulaires dès l'adolescence ou l'âge adulte jeune. Mais ce n'est pas tout : la maladie s'accompagne d'autres manifestations comme des kystes des mâchoires, des anomalies squelettiques et parfois des tumeurs cérébrales [13,14].
L'important à retenir, c'est que cette pathologie nécessite une surveillance médicale régulière. En effet, le risque de développer des cancers cutanés multiples impose un suivi dermatologique spécialisé tout au long de la vie. Heureusement, avec une prise en charge adaptée, le pronostic reste généralement favorable [12].
Épidémiologie en France et dans le Monde
En France, la prévalence de la naevomatose basocellulaire est estimée à 1,6 cas pour 100 000 habitants, soit environ 1 100 personnes concernées [14]. Cette pathologie touche équitablement les hommes et les femmes, sans prédominance géographique particulière.
L'incidence annuelle reste stable depuis une décennie, avec environ 15 à 20 nouveaux cas diagnostiqués chaque année dans l'Hexagone. Cependant, les experts suspectent un sous-diagnostic, notamment chez les patients présentant des formes atténuées de la maladie [12,14].
Au niveau international, la prévalence varie selon les populations. Les pays nordiques rapportent des taux légèrement supérieurs (1/40 000), probablement liés à des facteurs génétiques spécifiques. À l'inverse, certaines populations asiatiques présentent une prévalence moindre [14].
D'un point de vue économique, le coût de prise en charge par patient est estimé à 8 000 à 12 000 euros par an en France, principalement lié aux interventions chirurgicales répétées et au suivi spécialisé. Les projections pour 2030 suggèrent une augmentation de 15% des cas diagnostiqués, grâce à l'amélioration des techniques de dépistage génétique [12].
Les Causes et Facteurs de Risque
La naevomatose basocellulaire résulte principalement de mutations génétiques affectant la voie de signalisation Hedgehog. Dans 85% des cas, c'est le gène PTCH1 (chromosome 9q22) qui est impliqué, tandis que 5% des patients présentent des mutations du gène SUFU [14].
Cette maladie suit un mode de transmission autosomique dominant, ce qui signifie qu'un parent porteur a 50% de risque de transmettre la pathologie à chaque enfant. Cependant, environ 20% des cas correspondent à des mutations de novo, survenant spontanément sans antécédent familial [13,14].
Certains facteurs peuvent aggraver l'expression de la maladie. L'exposition aux rayonnements ionisants, notamment lors de radiothérapies, augmente significativement le risque de développer des carcinomes basocellulaires multiples. De même, l'exposition solaire excessive peut accélérer l'apparition des lésions cutanées [12].
Il faut savoir que la pénétrance de la maladie est variable. Certaines personnes porteuses de la mutation peuvent présenter des signes très discrets, tandis que d'autres développent des formes sévères dès l'enfance. Cette variabilité s'explique par l'influence de gènes modificateurs et de facteurs environnementaux encore mal compris [14].
Comment Reconnaître les Symptômes ?
Les manifestations de la naevomatose basocellulaire sont multiples et évoluent avec l'âge. Chez l'enfant, on observe souvent des kystes épidermoïdes et des anomalies squelettiques comme une macrocéphalie ou des côtes bifides [13].
À l'adolescence et chez l'adulte jeune, les premiers carcinomes basocellulaires apparaissent, typiquement sur les zones exposées au soleil. Ces lésions se présentent sous forme de petites perles nacrées, parfois pigmentées, qui peuvent saigner ou former des croûtes [12,13].
Les kératokystes odontogènes constituent un signe pathognomonique de la maladie. Ces kystes des mâchoires, souvent multiples, peuvent provoquer des douleurs, des gonflements ou des déplacements dentaires. Ils nécessitent une prise en charge chirurgicale spécialisée [5,13].
D'autres signes peuvent être présents : des fossettes palmaires et plantaires caractéristiques, une calcification de la faux du cerveau visible à l'imagerie, ou encore des fibromes ovariens chez la femme. Certains patients développent également des médulloblastomes, tumeurs cérébrales nécessitant une surveillance neurologique [14].
Le Parcours Diagnostic Étape par Étape
Le diagnostic de naevomatose basocellulaire repose sur des critères cliniques établis par Evans et collaborateurs. La présence de deux critères majeurs ou d'un critère majeur et deux critères mineurs permet de poser le diagnostic [14].
L'examen clinique minutieux constitue la première étape. Le dermatologue recherche les carcinomes basocellulaires caractéristiques, examine les paumes et plantes à la recherche de fossettes, et mesure le périmètre crânien. Un examen dentaire spécialisé est également indispensable pour détecter les kératokystes [13].
L'imagerie médicale joue un rôle crucial dans le diagnostic. La radiographie du crâne révèle souvent une calcification de la faux du cerveau, tandis que l'orthopantomogramme met en évidence les kystes des mâchoires. Une IRM cérébrale peut être nécessaire pour éliminer un médulloblastome [4,14].
Le test génétique confirme définitivement le diagnostic en identifiant la mutation responsable. Cette analyse, réalisée sur un simple prélèvement sanguin, permet également le conseil génétique familial. Bon à savoir : ce test est pris en charge à 100% par l'Assurance Maladie dans le cadre des maladies rares [14].
Les Traitements Disponibles Aujourd'hui
La prise en charge de la naevomatose basocellulaire nécessite une approche multidisciplinaire coordonnée. Le traitement des carcinomes basocellulaires constitue l'enjeu principal, avec plusieurs options thérapeutiques selon l'étendue et la localisation des lésions [6,9].
La chirurgie d'exérèse reste le traitement de référence pour les carcinomes isolés. Cependant, chez les patients présentant de multiples lésions, cette approche peut devenir problématique. Dans ces cas, la chirurgie de Mohs, technique de référence pour les carcinomes complexes, permet une exérèse complète tout en préservant au maximum les tissus sains [6].
Les inhibiteurs de la voie Hedgehog représentent une avancée majeure dans le traitement. Le vismodegib (Erivedge®) et le sonidegib (Odomzo®) ont révolutionné la prise en charge des formes avancées ou multiples. Ces médicaments permettent une réduction significative du nombre et de la taille des carcinomes basocellulaires [3].
Pour les kératokystes odontogènes, le traitement chirurgical reste indispensable. L'énucléation complète du kyste, parfois associée à une curetage ou à l'application d'une solution de Carnoy, permet de réduire le risque de récidive. Une surveillance radiologique régulière est nécessaire car ces kystes ont tendance à récidiver [5].
Innovations Thérapeutiques et Recherche 2024-2025
L'année 2024 marque un tournant dans le traitement de la naevomatose basocellulaire avec l'émergence de nouvelles approches thérapeutiques prometteuses. Le D-MNA, une nouvelle molécule en développement, montre un potentiel remarquable comme thérapie non invasive pour les carcinomes basocellulaires cutanés [1].
Une innovation particulièrement intéressante concerne l'application topique du patidegib, un inhibiteur de la voie Hedgehog. Cette approche locale permet de traiter les lésions cutanées tout en limitant les effets systémiques observés avec les traitements oraux traditionnels [2].
Les protocoles de prise en charge des carcinomes basocellulaires avancés ont également évolué en 2024-2025. De nouveaux guides thérapeutiques proposent des stratégies personnalisées selon le profil génétique du patient et l'étendue de la maladie [3].
En parallèle, la recherche explore des approches innovantes comme l'immunothérapie ciblée et les thérapies géniques. Ces pistes, encore au stade expérimental, pourraient révolutionner la prise en charge dans les années à venir. L'important à retenir, c'est que ces avancées offrent de nouveaux espoirs aux patients, notamment ceux présentant des formes résistantes aux traitements conventionnels.
Vivre au Quotidien avec Naevomatose basocellulaire
Vivre avec une naevomatose basocellulaire implique d'adapter son mode de vie pour prévenir l'apparition de nouveaux carcinomes. La photoprotection constitue un élément fondamental : crèmes solaires à indice élevé, vêtements couvrants et évitement des heures d'exposition intense sont indispensables [12].
La surveillance dermatologique doit être rigoureuse et régulière. Un examen complet tous les 6 mois permet de détecter précocement les nouvelles lésions. Certains patients apprennent également l'auto-examen cutané pour identifier rapidement tout changement suspect [13].
L'impact psychologique de la maladie ne doit pas être négligé. Les interventions chirurgicales répétées, les cicatrices et l'anxiété liée au risque de cancer peuvent affecter la qualité de vie. Un accompagnement psychologique peut s'avérer bénéfique, notamment chez les patients jeunes [12].
Heureusement, la plupart des patients mènent une vie normale avec quelques adaptations. L'activité professionnelle est généralement maintenue, et les loisirs peuvent être pratiqués en respectant les mesures de photoprotection. L'important est de maintenir un équilibre entre vigilance médicale et qualité de vie.
Les Complications Possibles
Bien que généralement de bon pronostic, la naevomatose basocellulaire peut présenter certaines complications qu'il convient de connaître. La transformation maligne des carcinomes basocellulaires en carcinomes épidermoïdes reste exceptionnelle mais possible, notamment après radiothérapie [12].
Les kératokystes odontogènes peuvent se compliquer d'infections, de fractures mandibulaires ou de déplacements dentaires importants. Leur tendance à la récidive nécessite une surveillance radiologique prolongée après traitement chirurgical [5,13].
Chez l'enfant, le risque de médulloblastome est multiplié par 1000 par rapport à la population générale. Cette tumeur cérébrale, bien que rare (2-5% des patients), impose une surveillance neurologique régulière jusqu'à l'âge de 8 ans [14].
Les complications esthétiques et fonctionnelles liées aux multiples interventions chirurgicales peuvent également impacter la qualité de vie. Cependant, les techniques de chirurgie reconstructrice permettent aujourd'hui d'obtenir des résultats satisfaisants dans la plupart des cas [6].
Quel est le Pronostic ?
Le pronostic de la naevomatose basocellulaire est généralement favorable avec une prise en charge adaptée. L'espérance de vie n'est pas significativement réduite, et la plupart des patients mènent une vie normale [12,14].
La mortalité liée à la maladie reste faible, principalement due aux médulloblastomes dans l'enfance ou aux carcinomes basocellulaires métastatiques, situations exceptionnelles. Le taux de survie à 20 ans dépasse 95% dans les séries récentes [14].
Cependant, la morbidité peut être significative en raison des interventions chirurgicales répétées et de leurs séquelles esthétiques. L'impact sur la qualité de vie varie considérablement selon l'étendue de la maladie et la réponse aux traitements [12].
Les facteurs pronostiques favorables incluent un diagnostic précoce, une surveillance régulière et l'absence d'exposition aux radiations ionisantes. À l'inverse, les formes avec médulloblastome ou carcinomes multiples précoces nécessitent une prise en charge plus intensive [14].
Peut-on Prévenir Naevomatose basocellulaire ?
La naevomatose basocellulaire étant une maladie génétique, il n'existe pas de prévention primaire à proprement parler. Cependant, le conseil génétique permet aux familles concernées de prendre des décisions éclairées concernant la procréation [14].
La prévention secondaire vise à retarder l'apparition des carcinomes basocellulaires et à réduire leur nombre. La photoprotection stricte dès l'enfance constitue la mesure la plus efficace : évitement du soleil aux heures chaudes, port de vêtements couvrants et application régulière de crèmes solaires à indice élevé [12,13].
L'évitement des radiations ionisantes est crucial. Les examens radiologiques doivent être limités au strict nécessaire, et la radiothérapie est formellement contre-indiquée sauf situation vitale. Cette précaution permet de réduire significativement le risque de carcinomes radio-induits [12].
Le dépistage précoce par surveillance dermatologique régulière permet une prise en charge optimale des lésions naissantes. Cette approche préventive améliore considérablement le pronostic et la qualité de vie des patients [13,14].
Recommandations des Autorités de Santé
La Haute Autorité de Santé (HAS) a établi des recommandations spécifiques pour la prise en charge de la naevomatose basocellulaire dans le cadre des maladies rares. Ces guidelines préconisent une approche multidisciplinaire coordonnée par un centre de référence [14].
Le Plan National Maladies Rares 2018-2022 a renforcé l'organisation des soins pour cette pathologie. Les patients doivent être orientés vers les centres de référence ou de compétence labellisés, garantissant une expertise spécialisée et un accès aux innovations thérapeutiques [12].
Les recommandations européennes, adoptées par la France, préconisent un suivi standardisé : examen dermatologique semestriel, surveillance dentaire annuelle et imagerie cérébrale chez l'enfant. Ces protocoles permettent une harmonisation des pratiques et une amélioration de la qualité des soins [14].
L'Assurance Maladie reconnaît la naevomatose basocellulaire comme affection de longue durée (ALD 30), permettant une prise en charge à 100% des soins liés à la maladie. Cette reconnaissance facilite l'accès aux traitements spécialisés et aux examens de surveillance [12].
Ressources et Associations de Patients
Plusieurs associations accompagnent les patients atteints de naevomatose basocellulaire et leurs familles. L'Alliance Maladies Rares fédère les initiatives et facilite l'accès à l'information médicale actualisée [12].
Les centres de référence constituent des ressources essentielles pour les patients. En France, plusieurs centres spécialisés dans les génodermatoses prennent en charge cette pathologie : l'hôpital Necker à Paris, l'hôpital de la Timone à Marseille, ou encore le CHU de Bordeaux [14].
Des plateformes d'information dédiées aux maladies rares proposent des ressources documentaires fiables. Orphanet, portail de référence européen, offre des fiches détaillées sur la naevomatose basocellulaire régulièrement mises à jour [14].
Les réseaux sociaux permettent aux patients de partager leurs expériences et de s'entraider. Cependant, il convient de privilégier les sources médicales validées pour les informations thérapeutiques. L'accompagnement par les professionnels de santé reste irremplaçable [12].
Nos Conseils Pratiques
Pour bien vivre avec une naevomatose basocellulaire, quelques conseils pratiques peuvent faire la différence au quotidien. Tenez un carnet de surveillance cutanée avec photos des lésions suspectes, cela facilitera le suivi médical [13].
Investissez dans une protection solaire de qualité : vêtements anti-UV, chapeaux à larges bords et crèmes solaires SPF 50+ à renouveler toutes les deux heures. N'oubliez pas les zones souvent négligées comme les oreilles, la nuque et le dos des mains [12].
Organisez votre suivi médical en planifiant vos rendez-vous à l'avance. Préparez une liste de questions avant chaque consultation et n'hésitez pas à demander des explications si quelque chose n'est pas clair [13].
Informez votre entourage sur votre maladie pour qu'il puisse vous aider dans la surveillance cutanée. Vos proches peuvent repérer des lésions dans des zones difficiles à examiner soi-même. Enfin, restez connecté avec d'autres patients : leurs expériences peuvent être précieuses [12].
Quand Consulter un Médecin ?
Certains signes d'alarme doivent vous amener à consulter rapidement votre dermatologue. Toute nouvelle lésion cutanée, même petite, mérite une évaluation médicale chez un patient atteint de naevomatose basocellulaire [13].
Consultez en urgence si vous observez une modification d'une lésion existante : changement de couleur, augmentation de taille, saignement spontané ou formation d'une croûte persistante. Ces signes peuvent indiquer une évolution maligne [12,13].
Les douleurs dentaires ou maxillaires inexpliquées, surtout si elles s'accompagnent d'un gonflement, peuvent révéler un kératokyste odontogène. Une consultation dentaire spécialisée s'impose alors rapidement [5].
Chez l'enfant, des maux de tête persistants, des troubles visuels ou des vomissements doivent faire évoquer un médulloblastome. Bien que rare, cette complication nécessite une prise en charge neurologique urgente [14]. N'hésitez jamais à consulter en cas de doute : mieux vaut une consultation de trop qu'une complication négligée.
Questions Fréquentes
La naevomatose basocellulaire est-elle héréditaire ?Oui, cette maladie se transmet selon un mode autosomique dominant. Un parent porteur a 50% de risque de transmettre la mutation à chaque enfant [14].
Peut-on guérir de cette maladie ?
Il n'existe pas de guérison définitive, mais les traitements actuels permettent de contrôler efficacement les symptômes et de prévenir les complications [12].
Les carcinomes basocellulaires peuvent-ils métastaser ?
Les métastases sont exceptionnelles avec les carcinomes basocellulaires, même chez les patients atteints de naevomatose basocellulaire [13].
Faut-il éviter complètement le soleil ?
Une exposition modérée avec protection adéquate reste possible. L'important est d'éviter les coups de soleil et les expositions prolongées [12].
Les enfants peuvent-ils faire du sport ?
Oui, toutes les activités sportives sont autorisées avec une protection solaire adaptée pour les sports en extérieur [13].
Questions Fréquentes
La naevomatose basocellulaire est-elle héréditaire ?
Oui, cette maladie se transmet selon un mode autosomique dominant. Un parent porteur a 50% de risque de transmettre la mutation à chaque enfant.
Peut-on guérir de cette maladie ?
Il n'existe pas de guérison définitive, mais les traitements actuels permettent de contrôler efficacement les symptômes et de prévenir les complications.
Les carcinomes basocellulaires peuvent-ils métastaser ?
Les métastases sont exceptionnelles avec les carcinomes basocellulaires, même chez les patients atteints de naevomatose basocellulaire.
Faut-il éviter complètement le soleil ?
Une exposition modérée avec protection adéquate reste possible. L'important est d'éviter les coups de soleil et les expositions prolongées.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] D-MNA Displays Potential as Noninvasive Therapy in Basal Cell CarcinomaLien
- [2] Topical application of the Hedgehog inhibitor patidegibLien
- [3] Managing Advanced Basal Cell Carcinoma: A GuideLien
- [4] Approche pédagogique nécessaire à l'identification de pathologies en radiologie dento-maxillo-facialeLien
- [5] Tratamento de ceratocistos na síndrome de Gorlin GoltzLien
- [6] Prise en charge chirurgicale du carcinome basocellulaire de la faceLien
- [12] Syndrome de Gorlin : définition et traitementsLien
- [13] Syndrome de GorlinLien
- [14] Orphanet: Syndrome de Gorlin - Maladies raresLien
Publications scientifiques
- [PDF][PDF] Approche pédagogique nécessaire à l'identification de pathologies en radiologie dento-maxillo-faciale
- [HTML][HTML] Tratamento de ceratocistos na síndrome de Gorlin Goltz (2022)
- [PDF][PDF] Prise en charge chirurgicale du carcinome basocellulaire de la face Expérience du service Chirurgie Plastique Réparatrice et Esthétique de l'hôpital Militaire … (2022)[PDF]
- Evaluation des biopsies liquides dans les sarcomes des tissus mous: faisabilité et corrélation clinique de la détection de cellules tumorales circulantes et d'ADN … (2022)[PDF]
- L'hypoxie et le métabolisme comme approche thérapeutique dans le médulloblastome (2022)[PDF]
Ressources web
- Syndrome de Gorlin : définition et traitements (sante-sur-le-net.com)
Le syndrome de Gorlin, aussi appelée naevomatose basocellulaire, est une dermatose héréditaire rare. Il se traduit par des anomalies du développement osseux, ...
- Syndrome de Gorlin (tete-cou.fr)
Le diagnostic du syndrome de Gorlin repose sur l'examen clinique, en particulier sur les examens dermatologiques et dentaires. Les anomalies dentaires sont ...
- Orphanet: Syndrome de Gorlin - Maladies rares (orpha.net)
Chez environ 60 % des individus, l'apparence est caractéristique, à savoir, une macrocéphalie, une bosse frontale, des traits faciaux grossiers et des grains de ...
- Syndrome de Gorlin-Goltz : du diagnostic au traitement (aos.edpsciences.org)
de O NABIH · 2017 · Cité 3 fois — Le syndrome de Gorlin-Glotz associe plusieurs manifestations cliniques générales dont de nombreux carcinomes et naevi baso-cellulaires, des hyperkératoses palmo ...
- Naevomatose basocellulaire (medg.fr)
8 juin 2021 — Déf : la nævomatose basocellulaire ou syndrome de Gorlin (SG) est une maladie héréditaire rare qui se caractérise par un ensemble d'anomalies du ...

- Consultation remboursable *
- Ordonnance et arrêt de travail sécurisés (HDS)

Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.