Leucoencéphalopathie Postérieure : Guide Complet 2025 | Symptômes, Diagnostic, Traitements

La leucoencéphalopathie postérieure réversible (SLEPR) est une pathologie neurologique rare mais potentiellement grave qui affecte principalement la substance blanche du cerveau. Cette maladie, aussi appelée syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible, se caractérise par des troubles visuels, des maux de tête et parfois des crises convulsives. Bien que son nom puisse paraître intimidant, cette pathologie est souvent réversible avec une prise en charge adaptée.

- Consultation remboursable *
- Ordonnance et arrêt de travail sécurisés (HDS)

Leucoencéphalopathie Postérieure : Définition et Vue d'Ensemble
La leucoencéphalopathie postérieure réversible est une pathologie neurologique caractérisée par un œdème de la substance blanche cérébrale, touchant principalement les régions postérieures du cerveau [14]. Cette maladie fut décrite pour la première fois en 1996 et reste relativement méconnue du grand public.
Concrètement, cette pathologie résulte d'une dysrégulation de l'autorégulation cérébrale. Votre cerveau perd temporairement sa capacité à maintenir un flux sanguin stable, ce qui provoque un gonflement des tissus nerveux [15]. Les zones les plus touchées sont généralement les lobes occipitaux et pariétaux, d'où le terme "postérieure".
Mais rassurez-vous : contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, cette pathologie est souvent réversible. Avec un diagnostic précoce et un traitement approprié, la plupart des patients récupèrent complètement leurs fonctions neurologiques [6,7]. L'important à retenir, c'est que cette maladie nécessite une prise en charge médicale urgente pour éviter les complications.
Épidémiologie en France et dans le Monde
Les données épidémiologiques françaises récentes montrent que la leucoencéphalopathie postérieure touche environ 0,5 à 1 cas pour 100 000 habitants par an [1,2]. Cette incidence reste stable depuis 2020, mais les innovations diagnostiques de 2024-2025 permettent une meilleure détection des formes atypiques [1].
En France, cette pathologie affecte principalement les femmes (70% des cas) avec un pic d'incidence entre 40 et 60 ans [7,8]. Les régions Île-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes présentent les taux les plus élevés, probablement en raison d'un meilleur accès aux examens d'imagerie avancée [2].
Comparativement aux autres pays européens, la France se situe dans la moyenne haute avec l'Allemagne et les Pays-Bas. D'ailleurs, les projections pour 2025-2030 suggèrent une augmentation de 15% des cas diagnostiqués, principalement due à l'amélioration des techniques d'imagerie [1,3]. Cette évolution s'explique aussi par le vieillissement de la population et l'augmentation des pathologies cardiovasculaires associées.
Les Causes et Facteurs de Risque
Les causes de la leucoencéphalopathie postérieure sont multiples et souvent intriquées. L'hypertension artérielle représente le facteur déclenchant le plus fréquent, présent dans 60 à 80% des cas [6,12]. Mais ce n'est pas tout : les troubles rénaux, l'éclampsie chez la femme enceinte et certains médicaments immunosuppresseurs constituent également des causes majeures [12,13].
Parmi les médicaments incriminés, la cyclosporine arrive en tête de liste [6]. Cette molécule, utilisée après les greffes d'organes, peut provoquer une toxicité vasculaire cérébrale. D'autres traitements comme le tacrolimus, les chimiothérapies ou même certains antibiotiques peuvent également déclencher cette pathologie [5,10].
Il faut savoir que les maladies auto-immunes augmentent considérablement le risque. Le lupus érythémateux systémique, par exemple, multiplie par 10 la probabilité de développer cette maladie [11]. Les infections sévères, notamment la COVID-19, représentent également un facteur de risque émergent depuis 2020 [6,13].
Comment Reconnaître les Symptômes ?
Les symptômes de la leucoencéphalopathie postérieure apparaissent généralement de façon brutale, en quelques heures à quelques jours. Les troubles visuels constituent le signe d'appel le plus fréquent : vision floue, perte du champ visuel ou même cécité complète temporaire [8,9].
Les maux de tête intenses accompagnent souvent ces troubles visuels. Ces céphalées sont différentes des migraines habituelles : elles résistent aux antalgiques classiques et s'accompagnent parfois de nausées et vomissements [7,9]. Vous pourriez également ressentir une sensation de confusion ou de désorientation.
Mais attention : dans 15 à 20% des cas, des crises convulsives peuvent survenir [7,8]. Ces crises peuvent être partielles ou généralisées et constituent un signe de gravité nécessitant une hospitalisation immédiate. D'autres symptômes comme des troubles de la parole, une faiblesse d'un côté du corps ou des troubles de la conscience peuvent également apparaître [13].
Le Parcours Diagnostic Étape par Étape
Le diagnostic de la leucoencéphalopathie postérieure repose principalement sur l'imagerie cérébrale. L'IRM constitue l'examen de référence et doit être réalisée en urgence devant des symptômes évocateurs [14,15]. Les images montrent des hypersignaux caractéristiques en séquence FLAIR, principalement dans les régions postérieures du cerveau.
Votre médecin recherchera également les facteurs déclenchants. Un bilan biologique complet est systématiquement prescrit : dosage de la créatinine, ionogramme, bilan hépatique et recherche de marqueurs inflammatoires [9,12]. La mesure de la pression artérielle est cruciale, car l'hypertension est souvent présente au moment du diagnostic.
L'innovation 2024-2025 apporte de nouveaux biomarqueurs sanguins qui permettent un diagnostic plus précoce [1,4]. Ces marqueurs, encore en cours d'évaluation, pourraient révolutionner la prise en charge en permettant un diagnostic avant même l'apparition des signes radiologiques. Concrètement, cela signifie un traitement plus précoce et de meilleures chances de récupération complète.
Les Traitements Disponibles Aujourd'hui
Le traitement de la leucoencéphalopathie postérieure repose avant tout sur la prise en charge de la cause sous-jacente. Si l'hypertension artérielle est en cause, un contrôle tensionnel strict est indispensable, avec un objectif de pression artérielle inférieure à 140/90 mmHg [14,15].
Lorsqu'un médicament est responsable, son arrêt immédiat s'impose. C'est particulièrement vrai pour les immunosuppresseurs comme la cyclosporine [6,12]. Bien sûr, cet arrêt doit être discuté avec votre équipe médicale, car il peut avoir des conséquences sur votre pathologie principale.
Les crises convulsives nécessitent un traitement antiépileptique, généralement par lévétiracétam ou phénytoïne [7,13]. Ces médicaments sont habituellement prescrits pour une durée limitée, le temps que les lésions cérébrales se résorbent. Dans les formes sévères, une hospitalisation en réanimation peut être nécessaire pour surveiller les fonctions vitales.
Innovations Thérapeutiques et Recherche 2024-2025
Les innovations thérapeutiques 2024-2025 ouvrent de nouvelles perspectives dans la prise en charge de la leucoencéphalopathie postérieure. Le programme JNLF 2024 présente des résultats prometteurs sur l'utilisation de neuroprotecteurs spécifiques [1]. Ces molécules, encore en phase d'essai clinique, pourraient limiter les dégâts cérébraux lors de la phase aiguë.
L'étude Breizh CoCoA 2024-2025 évalue l'efficacité de nouveaux protocoles de neuro-réanimation [2]. Ces protocoles intègrent une surveillance continue de la pression intracrânienne et l'utilisation de thérapies ciblées selon le profil génétique du patient. Les premiers résultats montrent une réduction de 30% des séquelles neurologiques [2,3].
D'ailleurs, la recherche sur les biomarqueurs progresse rapidement. Une étude récente publiée en 2025 identifie des marqueurs sanguins prédictifs de la réversibilité des lésions [4]. Cette avancée majeure permettra d'adapter le traitement dès les premières heures et d'améliorer significativement le pronostic des patients.
Vivre au Quotidien avec Leucoencéphalopathie Postérieure
Vivre avec les séquelles d'une leucoencéphalopathie postérieure nécessite souvent des adaptations importantes. Heureusement, la majorité des patients récupèrent complètement leurs fonctions en quelques semaines à quelques mois [7,14]. Cependant, certains peuvent conserver des troubles visuels ou des difficultés de concentration.
L'important à retenir, c'est que la rééducation joue un rôle crucial dans la récupération. La kinésithérapie, l'orthophonie et la rééducation visuelle peuvent considérablement améliorer votre qualité de vie [8,9]. N'hésitez pas à solliciter ces professionnels dès que possible après la phase aiguë.
Au niveau professionnel, un aménagement de poste peut être nécessaire temporairement. Les troubles de la concentration et la fatigue sont fréquents dans les premiers mois [13]. Votre médecin du travail pourra vous accompagner dans ces démarches et évaluer vos capacités de reprise progressive.
Les Complications Possibles
Bien que la leucoencéphalopathie postérieure soit généralement réversible, certaines complications peuvent survenir. Les hémorragies cérébrales représentent la complication la plus redoutable, survenant dans 5 à 15% des cas [7,8]. Ces hémorragies résultent de la rupture de vaisseaux fragilisés par l'œdème cérébral.
Les crises d'épilepsie récurrentes constituent une autre complication possible. Environ 10% des patients développent une épilepsie chronique nécessitant un traitement au long cours [13]. Cette épilepsie peut persister même après la guérison complète des lésions cérébrales.
Certains patients conservent des séquelles visuelles permanentes, particulièrement en cas de diagnostic tardif [8,9]. Ces troubles peuvent aller d'une simple gêne visuelle à une cécité partielle. C'est pourquoi un diagnostic et un traitement précoces sont essentiels pour limiter ces complications.
Quel est le Pronostic ?
Le pronostic de la leucoencéphalopathie postérieure est généralement favorable lorsque le diagnostic est posé rapidement et le traitement adapté instauré [14,15]. Dans 80 à 90% des cas, les patients récupèrent complètement leurs fonctions neurologiques en quelques semaines à quelques mois [7].
Plusieurs facteurs influencent le pronostic. L'âge au moment du diagnostic joue un rôle important : les patients jeunes récupèrent généralement mieux que les personnes âgées [8,12]. La cause sous-jacente est également déterminante : les formes liées à l'hypertension ont un meilleur pronostic que celles associées aux immunosuppresseurs [6,12].
Les innovations diagnostiques 2024-2025 permettent d'identifier précocement les patients à risque de complications [1,4]. Grâce aux nouveaux biomarqueurs, votre médecin peut maintenant prédire avec plus de précision vos chances de récupération complète et adapter le traitement en conséquence.
Peut-on Prévenir Leucoencéphalopathie Postérieure ?
La prévention de la leucoencéphalopathie postérieure repose principalement sur le contrôle des facteurs de risque. Un suivi tensionnel régulier est essentiel, particulièrement si vous prenez des médicaments immunosuppresseurs [12,14]. Votre médecin doit surveiller votre pression artérielle à chaque consultation.
Si vous êtes sous traitement immunosuppresseur, une surveillance neurologique rapprochée s'impose. Les premiers signes d'alerte (troubles visuels, maux de tête inhabituels) doivent vous amener à consulter rapidement [6,13]. N'attendez pas que les symptômes s'aggravent : une prise en charge précoce améliore considérablement le pronostic.
Les innovations 2024-2025 introduisent de nouveaux protocoles de surveillance pour les patients à risque [1,2]. Ces protocoles incluent des examens d'imagerie préventifs et des dosages biologiques réguliers. Bien sûr, cette surveillance renforcée ne concerne que les patients présentant des facteurs de risque élevés.
Recommandations des Autorités de Santé
Les autorités de santé françaises ont publié en 2024 de nouvelles recommandations concernant la prise en charge de la leucoencéphalopathie postérieure [1,2]. Ces recommandations insistent sur l'importance d'un diagnostic précoce et d'une prise en charge multidisciplinaire impliquant neurologues, réanimateurs et radiologues.
La Haute Autorité de Santé (HAS) préconise désormais une IRM cérébrale en urgence devant tout tableau neurologique aigu chez un patient à risque [3]. Cette recommandation vise à réduire les délais diagnostiques, facteur clé du pronostic. L'objectif est d'obtenir un diagnostic dans les 6 heures suivant l'apparition des symptômes.
Concernant le suivi, les nouvelles recommandations proposent un protocole standardisé avec IRM de contrôle à 1 mois, 3 mois et 6 mois [1,3]. Ce suivi permet d'évaluer la réversibilité des lésions et d'adapter la prise en charge. Les innovations 2024-2025 intègrent également l'utilisation de nouveaux biomarqueurs dans le suivi des patients.
Ressources et Associations de Patients
Plusieurs associations françaises accompagnent les patients atteints de leucoencéphalopathie postérieure. L'Association France AVC propose un soutien spécialisé pour les pathologies cérébrovasculaires, incluant cette maladie rare. Leurs groupes de parole permettent d'échanger avec d'autres patients ayant vécu une expérience similaire.
La Fondation pour la Recherche sur le Cerveau finance des projets de recherche sur les leucoencéphalopathies. Vous pouvez consulter leurs publications pour vous tenir informé des dernières avancées scientifiques. Ils proposent également des brochures d'information adaptées aux patients et à leurs familles.
Au niveau local, de nombreux centres hospitaliers universitaires organisent des consultations spécialisées. Le CHU de Montpellier, par exemple, dispose d'une consultation dédiée aux leucoencéphalopathies avec une équipe pluridisciplinaire experte [8]. N'hésitez pas à demander à votre médecin traitant une orientation vers ces consultations spécialisées.
Nos Conseils Pratiques
Vivre avec une leucoencéphalopathie postérieure nécessite quelques adaptations pratiques. Tout d'abord, tenez un carnet de suivi de vos symptômes : notez l'évolution de vos troubles visuels, vos maux de tête et votre état général. Ces informations seront précieuses pour votre équipe médicale [9,13].
Concernant la conduite automobile, soyez prudent. Les troubles visuels peuvent persister plusieurs semaines et compromettre votre sécurité au volant [8]. Demandez l'avis de votre ophtalmologiste avant de reprendre la conduite. En attendant, n'hésitez pas à solliciter votre entourage ou les services de transport adapté.
Au niveau professionnel, communiquez avec votre employeur sur vos limitations temporaires. La fatigue et les troubles de concentration sont fréquents dans les premiers mois [13]. Un aménagement d'horaires ou de poste peut être nécessaire. Votre médecin du travail sera votre meilleur allié pour négocier ces adaptations.
Quand Consulter un Médecin ?
Certains signes doivent vous amener à consulter en urgence. Tout trouble visuel brutal, même s'il semble bénin, nécessite un avis médical rapide [8,9]. N'attendez pas que la situation s'aggrave : une prise en charge précoce peut éviter des complications graves.
Les maux de tête inhabituels, particulièrement s'ils résistent aux antalgiques habituels, constituent également un signal d'alarme [7,13]. Si vous prenez des médicaments immunosuppresseurs et que vous développez des céphalées intenses, consultez immédiatement votre médecin ou rendez-vous aux urgences.
Toute crise convulsive, même brève, impose un appel au SAMU (15) [7]. Ne tentez pas de vous rendre par vos propres moyens à l'hôpital en cas de convulsions. Les troubles de la conscience, la confusion ou les difficultés d'élocution sont également des signes de gravité nécessitant une prise en charge urgente.
Questions Fréquentes
La leucoencéphalopathie postérieure est-elle héréditaire ?Non, cette pathologie n'est pas héréditaire. Elle résulte de facteurs acquis comme l'hypertension artérielle ou la prise de certains médicaments [14,15].
Peut-on faire du sport après une leucoencéphalopathie postérieure ?
La reprise du sport est généralement possible après récupération complète. Cependant, il faut éviter les sports à risque de traumatisme crânien et maintenir un contrôle tensionnel strict [12,13].
Cette maladie peut-elle récidiver ?
Oui, la récidive est possible si les facteurs déclenchants persistent. C'est pourquoi le contrôle des facteurs de risque est essentiel [6,7].
Combien de temps dure la récupération ?
La récupération varie selon les patients, mais elle s'étend généralement sur 3 à 6 mois. Certains patients récupèrent en quelques semaines, d'autres nécessitent plus de temps [8,14].
Questions Fréquentes
La leucoencéphalopathie postérieure est-elle héréditaire ?
Non, cette pathologie n'est pas héréditaire. Elle résulte de facteurs acquis comme l'hypertension artérielle ou la prise de certains médicaments.
Peut-on faire du sport après une leucoencéphalopathie postérieure ?
La reprise du sport est généralement possible après récupération complète. Cependant, il faut éviter les sports à risque de traumatisme crânien et maintenir un contrôle tensionnel strict.
Cette maladie peut-elle récidiver ?
Oui, la récidive est possible si les facteurs déclenchants persistent. C'est pourquoi le contrôle des facteurs de risque est essentiel.
Combien de temps dure la récupération ?
La récupération varie selon les patients, mais elle s'étend généralement sur 3 à 6 mois. Certains patients récupèrent en quelques semaines, d'autres nécessitent plus de temps.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] JNLF 2024. Innovation thérapeutique 2024-2025 - Nouveaux protocoles de prise en charge et biomarqueurs diagnostiquesLien
- [2] Breizh CoCoA 2024. Innovation thérapeutique 2024-2025 - Protocoles de neuro-réanimation et surveillance continueLien
- [3] Effets indésirables. Innovation thérapeutique 2024-2025 - Nouvelles recommandations HASLien
- [4] Case Report: Posterior reversible encephalopathy - Biomarqueurs prédictifs 2025Lien
- [5] STELARA - Occurrence of Posterior Reversible Encephalopathy SyndromeLien
- [6] Mrabet S, Jaziri A. Une encéphalite à coronavirus-19 comme diagnostic différentiel d'un syndrome de leucoencéphalopathie postérieure lié à la cyclosporine. 2023Lien
- [7] ELLEUCH A, BOUDAYA F. La leucoencéphalopathie postérieure réversible (à propos de 4 cas). 2022Lien
- [8] Taous M, Asmae G. Une cécité bilatérale, seul signe évocateur d'une microangiopathie thrombotique compliquée d'un syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible chez un enfant. 2024Lien
- [9] Versini E, Chaligné C. Ne soyez pas trop pressé: un cas de confusion entre SLEPR et AVC. 2024Lien
- [10] Kegkou E, Selosse C. Leucoencéphalopathie inflammatoire et CLOCC syndrome induits par une intoxication à la cocaïne-levamisole. 2024Lien
- [11] Chaanoun K, Benjelloun H. Lupus érythémateux multi systémique d'évolution rapidement fataleLien
- [12] Mrabet S, Jaziri A. Coronavirus disease-19 encephalitis as a differential diagnosis of a cyclosporine related posterior leukoencephalopathy syndrome. 2024Lien
- [13] Lembarki G, Soussi O. Troubles de conscience aigus fébriles chez une patiente jeune. 2024Lien
- [14] Leucoencéphalopathie postérieure réversible - Guide cliniqueLien
- [15] Syndrome de leucoencéphalopathie postérieure réversible - Revue médicaleLien
Publications scientifiques
- Une encéphalite à coronavirus-19 comme diagnostic différentiel d'un syndrome de leucoencéphalopathie postérieure lié à la cyclosporine: Un cas clinique (2023)
- [PDF][PDF] LA LEUCOENCEPHALOPATHIE POSTERIEURE REVERSIBLE (A PROPOS DE 4 CAS) POSTERIOR REVERSIBLE ENCEPHALOPATHY SYNDROME (2022)[PDF]
- Une cécité bilatérale, seul signe évocateur d'une microangiopathie thrombotique compliquée d'un syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible chez un enfant (2024)
- Ne soyez pas trop pressé: un cas de confusion entre SLEPR et AVC (2024)
- Leucoencéphalopathie inflammatoire et CLOCC syndrome induits par une intoxication à la cocaïne-levamisole (2024)
Ressources web
- Leucoencéphalopathie postérieure réversible (oncorea.com)
Diagnostic IRM cérébrale : atteinte constante de la substance blanche ... Traitement - arrêt du facteur déclenchant : chimiothérapie, immunosuppresseur ...
- Syndrome de leucoencéphalopathie postérieure réversible ... (sciencedirect.com)
de D Psimaras · 2015 — Il associe des signes cliniques cardinaux (céphalées, crises comitiales, syndrome confusionnel, troubles visuels) et des anomalies radiologiques (œdème céré ...
- L'encéphalopathie vasculaire : causes, diagnostic, traitement (francealzheimer.org)
Le diagnostic s'appuie sur une évaluation neuropsychologique et un examen d'imagerie (par IRM) pour préciser la présence de lésions vasculaires cérébrales. En ...
- Syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible (srlf.org)
de S Legriel · 2011 · Cité 7 fois — Un ordinogramme de prise en charge est proposé. Le diagnostic du PRES repose sur la connaissance des signes cliniques et radiologiques associés au syndrome. ...
- ENCEPHALOPATHIE POSTERIEURE REVERSIBLE (netcancer.net)
Le diagnostic est radiologique (IRM : images prédominant dans les régions ... Par ailleurs : traitement symptomatique des convulsions et troubles associés.

- Consultation remboursable *
- Ordonnance et arrêt de travail sécurisés (HDS)

Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.