Encoprésie : Guide Complet 2025 - Symptômes, Traitements et Innovations

L'encoprésie, ou incontinence fécale chez l'enfant, touche environ 1 à 3% des enfants de plus de 4 ans en France. Cette pathologie, souvent méconnue et source de détresse familiale, se caractérise par l'émission involontaire de selles dans des lieux inappropriés. Bien que complexe, l'encoprésie bénéficie aujourd'hui d'approches thérapeutiques innovantes qui transforment le pronostic des jeunes patients.

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Encoprésie : Définition et Vue d'Ensemble
L'encoprésie désigne l'émission répétée de selles dans des endroits inappropriés chez un enfant de plus de 4 ans, âge auquel le contrôle sphinctérien devrait normalement être acquis [4,6]. Cette pathologie ne doit pas être confondue avec de simples accidents occasionnels.
Il existe deux formes principales d'encoprésie. La forme primaire concerne les enfants qui n'ont jamais acquis la propreté fécale, tandis que la forme secondaire survient après une période de propreté d'au moins six mois [10]. Cette distinction est cruciale car elle oriente différemment la prise en charge.
Dans 80 à 95% des cas, l'encoprésie est associée à une constipation chronique [7]. Le mécanisme est alors celui d'un débordement : les selles s'accumulent dans le rectum, provoquant une dilatation progressive qui altère la sensibilité et le contrôle sphinctérien [1]. Les selles liquides finissent par s'écouler autour du bouchon fécal.
Mais attention, l'encoprésie peut aussi être non rétentive, sans constipation associée. Dans ce cas, elle relève souvent de facteurs psychologiques ou comportementaux [6]. Cette forme représente environ 5 à 20% des cas et nécessite une approche spécifique.
Épidémiologie en France et dans le Monde
En France, l'encoprésie touche entre 1 et 3% des enfants de plus de 4 ans, selon les données de Santé Publique France [7]. Cette prévalence varie significativement avec l'âge : elle atteint 3% chez les enfants de 4 ans, puis diminue progressivement pour ne concerner que 0,5% des enfants de 10 ans.
Les garçons sont plus fréquemment affectés que les filles, avec un ratio de 3 à 6 pour 1 selon les études [4,6]. Cette prédominance masculine s'observe dans toutes les tranches d'âge et reste inexpliquée à ce jour. D'ailleurs, cette différence de genre constitue l'un des mystères persistants de cette pathologie.
Au niveau européen, les chiffres français sont comparables à ceux observés en Allemagne (2,8%) et au Royaume-Uni (2,5%), mais légèrement supérieurs à ceux des pays nordiques comme la Suède (1,8%) [1]. Ces variations pourraient s'expliquer par des différences culturelles dans l'apprentissage de la propreté.
L'évolution temporelle montre une stabilité relative de la prévalence sur les dix dernières années. Cependant, on observe une amélioration du diagnostic précoce et de la prise en charge, avec une réduction de 30% du délai moyen entre l'apparition des symptômes et la première consultation spécialisée [2].
Les Causes et Facteurs de Risque
La constipation chronique représente la cause principale de l'encoprésie dans la grande majorité des cas [1,7]. Cette constipation peut elle-même résulter de multiples facteurs : alimentation pauvre en fibres, hydratation insuffisante, sédentarité ou prédisposition génétique.
Les facteurs psychologiques jouent également un rôle important. Le stress, les changements familiaux, l'entrée à l'école ou la naissance d'un frère ou d'une sœur peuvent déclencher ou aggraver une encoprésie [6,9]. Il est crucial de comprendre que ces enfants ne font pas exprès : ils subissent leur pathologie.
Certaines études récentes pointent du doigt l'impact des traumatismes et négligences. Une recherche de 2022 montre une association significative entre l'encoprésie et les antécédents de maltraitance infantile [9]. Cette donnée souligne l'importance d'une approche globale et bienveillante.
D'autres facteurs de risque incluent les anomalies anatomiques (malformation anorectale, maladie de Hirschsprung), les troubles neurologiques ou certains médicaments [10]. Heureusement, ces causes organiques restent minoritaires mais doivent être systématiquement recherchées.
Comment Reconnaître les Symptômes ?
Le symptôme principal de l'encoprésie est l'émission involontaire de selles dans les vêtements ou dans des lieux inappropriés [4]. Ces épisodes surviennent généralement en fin de journée, quand l'enfant est fatigué et que son contrôle se relâche.
Chez les enfants avec constipation associée, vous pourrez observer des selles dures et volumineuses lors des passages aux toilettes, souvent espacés de plusieurs jours [1]. L'enfant peut se plaindre de douleurs abdominales ou adopter des postures particulières pour retenir ses selles.
Les signes comportementaux sont tout aussi révélateurs. L'enfant peut devenir irritable, anxieux ou présenter une baisse de l'estime de soi [2]. Il n'est pas rare qu'il cache ses sous-vêtements souillés ou nie les épisodes d'incontinence, par honte ou peur des réprimandes.
Attention aux signes d'alarme qui nécessitent une consultation urgente : fièvre, vomissements, distension abdominale importante ou absence totale d'émission de selles pendant plus de 5 jours [10]. Ces symptômes peuvent signaler une complication grave.
Le Parcours Diagnostic Étape par Étape
Le diagnostic de l'encoprésie repose avant tout sur un interrogatoire minutieux et un examen clinique complet [4,6]. Le médecin s'intéresse aux habitudes de défécation, à l'alimentation, au contexte psychosocial et aux antécédents familiaux.
L'examen physique comprend une palpation abdominale pour rechercher un fécalome (accumulation de selles dures) et un examen de la région anale [10]. Contrairement aux idées reçues, le toucher rectal n'est pas systématique chez l'enfant et n'est réalisé qu'en cas de suspicion d'anomalie anatomique.
Les examens complémentaires ne sont pas toujours nécessaires. Une radiographie abdominale peut être demandée pour évaluer l'importance de la rétention fécale [7]. Dans certains cas complexes, des explorations plus poussées comme une manométrie anorectale peuvent être envisagées.
Le diagnostic différentiel doit éliminer d'autres causes d'incontinence fécale : maladie de Hirschsprung, malformations anorectales, troubles neurologiques ou inflammatoires [10]. Cette démarche diagnostique permet d'adapter au mieux la prise en charge.
Les Traitements Disponibles Aujourd'hui
Le traitement de l'encoprésie repose sur une approche multidisciplinaire associant mesures hygiéno-diététiques, médicaments et accompagnement psychologique [1,5]. L'objectif premier est de traiter la constipation sous-jacente quand elle existe.
Les laxatifs constituent souvent la première ligne de traitement. Le polyéthylène glycol (PEG) est particulièrement efficace et bien toléré chez l'enfant [1]. Le traitement doit être prolongé, souvent plusieurs mois, pour permettre la récupération de la sensibilité rectale.
La rééducation par biofeedback montre des résultats prometteurs, notamment dans les formes non rétentives [3,5]. Cette technique apprend à l'enfant à mieux coordonner ses muscles abdominaux et périnéaux. Les équipes de Necker et Robert Debré rapportent des taux de succès encourageants avec cette approche [5].
L'accompagnement psychologique est essentiel, particulièrement quand des facteurs émotionnels sont identifiés [6]. Certaines équipes explorent même l'hypnothérapie avec des résultats intéressants [8]. L'important est de dédramatiser la situation et de rassurer l'enfant et sa famille.
Innovations Thérapeutiques et Recherche 2024-2025
L'année 2024 marque un tournant dans la prise en charge de l'encoprésie avec l'émergence de nouvelles approches thérapeutiques [1,2,3]. Les recherches se concentrent désormais sur une compréhension plus fine des mécanismes physiopathologiques.
Le biofeedback assisté par réalité virtuelle représente l'innovation la plus prometteuse de 2024-2025 [3]. Cette technique permet aux enfants d'apprendre la coordination abdomino-périnéale de manière ludique et interactive. Les premiers résultats montrent une amélioration significative des symptômes chez 75% des patients traités.
Une autre avancée majeure concerne l'évaluation de l'impact psychosocial de la pathologie [2]. Les nouvelles échelles de qualité de vie spécifiquement développées pour l'encoprésie permettent un suivi plus précis et une adaptation personnalisée des traitements.
La recherche 2025 explore également le rôle du microbiote intestinal dans la genèse de l'encoprésie [1]. Des études préliminaires suggèrent que certaines souches probiotiques pourraient améliorer la fonction intestinale et réduire les épisodes d'incontinence. Ces pistes ouvrent de nouvelles perspectives thérapeutiques passionnantes.
Vivre au Quotidien avec Encoprésie
Vivre avec une encoprésie transforme le quotidien de toute la famille. Les parents doivent faire preuve de patience et de compréhension, car la culpabilisation ne fait qu'aggraver la situation [2,6]. Il est essentiel de rappeler régulièrement à l'enfant qu'il n'est pas responsable de sa pathologie.
L'organisation pratique nécessite quelques adaptations. Prévoir des changes supplémentaires à l'école, utiliser des protections discrètes et établir des horaires réguliers de passage aux toilettes peuvent considérablement améliorer le confort [12]. Ces mesures simples réduisent l'anxiété de l'enfant et de ses parents.
La communication avec l'équipe éducative est cruciale. Les enseignants doivent être informés de la pathologie pour adapter leur attitude et éviter les situations embarrassantes [2]. Heureusement, la plupart des écoles se montrent compréhensives quand la situation est expliquée clairement.
Le soutien familial joue un rôle déterminant dans l'évolution. Les fratries peuvent parfois manifester de la jalousie face à l'attention portée à l'enfant malade. Il est important d'expliquer la situation à tous les membres de la famille et de maintenir un équilibre dans les relations [6].
Les Complications Possibles
L'encoprésie peut entraîner plusieurs complications qu'il convient de prévenir et de traiter rapidement [2,9]. Les complications physiques incluent les infections urinaires récurrentes, favorisées par la proximité anatomique et les troubles de l'hygiène.
Les lésions cutanées périnéales représentent une complication fréquente mais évitable. L'irritation chronique par les selles peut provoquer des dermites douloureuses qui aggravent l'inconfort de l'enfant [10]. Une hygiène rigoureuse et l'application de crèmes protectrices permettent de les prévenir.
Sur le plan psychologique, l'impact peut être considérable. L'enfant développe souvent une faible estime de soi et peut présenter des troubles anxieux ou dépressifs [2,6]. L'isolement social et les moqueries des camarades aggravent cette souffrance psychique.
Dans les cas les plus sévères, une occlusion intestinale par fécalome peut survenir, nécessitant une hospitalisation en urgence [10]. Cette complication rare mais grave souligne l'importance d'un suivi médical régulier et d'un traitement adapté de la constipation sous-jacente.
Quel est le Pronostic ?
Le pronostic de l'encoprésie est généralement favorable, surtout quand la prise en charge est précoce et adaptée [1,6]. Dans 80 à 90% des cas, une amélioration significative est observée dans les 6 à 12 mois suivant le début du traitement.
Plusieurs facteurs influencent l'évolution. L'âge au diagnostic joue un rôle important : plus l'enfant est jeune, meilleur est le pronostic [4]. La forme primaire tend à être plus résistante au traitement que la forme secondaire, nécessitant souvent une prise en charge plus prolongée.
La compliance au traitement constitue un élément déterminant du succès thérapeutique [1]. Les familles qui suivent rigoureusement les recommandations médicales obtiennent de meilleurs résultats. C'est pourquoi l'éducation thérapeutique et l'accompagnement sont si importants.
À long terme, la grande majorité des enfants récupèrent un contrôle sphinctérien normal [6]. Cependant, certains peuvent conserver une fragilité digestive à l'âge adulte, avec une tendance à la constipation. Un suivi occasionnel peut alors s'avérer bénéfique.
Peut-on Prévenir l'Encoprésie ?
La prévention de l'encoprésie passe avant tout par la prévention de la constipation chez l'enfant [1,7]. Une alimentation riche en fibres, une hydratation suffisante et une activité physique régulière constituent les piliers de cette prévention.
L'apprentissage de la propreté doit se faire sans contrainte excessive. Respecter le rythme de l'enfant et éviter les pressions inutiles réduisent le risque de troubles ultérieurs [6]. Il est important de ne pas dramatiser les accidents occasionnels qui font partie de l'apprentissage normal.
La détection précoce des facteurs de risque psychosociaux permet une intervention rapide [9]. Les professionnels de santé doivent être attentifs aux signes de stress familial, aux changements importants dans la vie de l'enfant ou aux antécédents de maltraitance.
Enfin, l'éducation des parents et des professionnels de la petite enfance joue un rôle crucial. Connaître les signes d'alerte et savoir quand consulter permet d'éviter l'installation d'un cercle vicieux [4]. La sensibilisation dans les écoles contribue également à cette démarche préventive.
Recommandations des Autorités de Santé
La Haute Autorité de Santé (HAS) a publié en 2023 des recommandations actualisées sur la prise en charge de l'encoprésie chez l'enfant [13]. Ces guidelines soulignent l'importance d'une approche multidisciplinaire coordonnée entre pédiatres, gastro-entérologues et psychologues.
La Société Nationale Française de Colo-Proctologie (SNFCP) recommande un traitement précoce et prolongé de la constipation associée [13]. Le polyéthylène glycol reste le traitement de première intention, avec des posologies adaptées au poids de l'enfant et ajustées selon la réponse clinique.
L'INSERM, dans son rapport 2024, insiste sur l'importance du dépistage systématique des troubles psychologiques associés [2]. Cette recommandation fait suite aux études montrant l'impact significatif de l'encoprésie sur la qualité de vie et le développement psychoaffectif de l'enfant.
Au niveau européen, les recommandations de l'European Society for Paediatric Gastroenterology convergent vers une prise en charge individualisée [1]. L'accent est mis sur l'éducation thérapeutique des familles et le suivi à long terme pour prévenir les récidives.
Ressources et Associations de Patients
Plusieurs associations françaises accompagnent les familles confrontées à l'encoprésie. L'Association Française de Pédiatrie propose des brochures d'information et organise régulièrement des conférences destinées aux parents [12].
La Société Française de Gastroentérologie Pédiatrique met à disposition des ressources en ligne, notamment des vidéos explicatives sur les mécanismes de la pathologie et les traitements disponibles. Ces supports pédagogiques aident les familles à mieux comprendre la maladie.
Au niveau local, de nombreux centres hospitaliers proposent des groupes de parole pour les parents d'enfants atteints d'encoprésie. Ces rencontres permettent de partager les expériences et de bénéficier du soutien d'autres familles confrontées aux mêmes difficultés.
Les réseaux sociaux hébergent également des communautés bienveillantes où les parents peuvent échanger conseils et encouragements. Cependant, il convient de rester vigilant quant à la qualité des informations partagées et de toujours privilégier l'avis médical professionnel.
Nos Conseils Pratiques
Voici nos recommandations pour mieux gérer l'encoprésie au quotidien. Premièrement, établissez une routine toilettes avec des passages réguliers, notamment après les repas quand le réflexe gastro-colique est le plus actif [1].
Adaptez l'alimentation en privilégiant les fibres : fruits, légumes, céréales complètes. Limitez les aliments constipants comme le riz blanc, les bananes vertes ou le chocolat [7]. L'hydratation doit être suffisante, environ 1,5 litre par jour pour un enfant de 30 kg.
Créez un environnement bienveillant et sans jugement. Évitez les réprimandes qui ne feraient qu'aggraver l'anxiété de l'enfant [6]. Valorisez les progrès, même minimes, et rappelez régulièrement que ce n'est pas de sa faute.
Préparez un kit de change discret pour l'école : sous-vêtements, lingettes, sac plastique. Informez l'enseignant et l'infirmière scolaire de la situation pour qu'ils puissent réagir avec tact en cas d'accident [12]. La communication ouverte facilite grandement la gestion quotidienne.
Quand Consulter un Médecin ?
Consultez rapidement si votre enfant de plus de 4 ans présente des épisodes répétés d'incontinence fécale depuis plus d'un mois [4,10]. Ne tardez pas en espérant que cela passe tout seul : plus la prise en charge est précoce, meilleur est le pronostic.
Certains signes nécessitent une consultation en urgence : fièvre élevée, vomissements persistants, distension abdominale importante ou absence totale de selles pendant plus de 5 jours [10]. Ces symptômes peuvent signaler une complication grave nécessitant une prise en charge immédiate.
N'hésitez pas à consulter également si vous observez des signes de souffrance psychologique chez votre enfant : repli sur soi, refus scolaire, troubles du sommeil ou de l'appétit [6]. L'impact psychologique de l'encoprésie peut être considérable et mérite une attention particulière.
Enfin, si les traitements mis en place ne donnent pas de résultats satisfaisants après 3 à 6 mois, il peut être nécessaire de réévaluer la stratégie thérapeutique [1]. Un avis spécialisé en gastroentérologie pédiatrique ou en pédopsychiatrie peut alors s'avérer utile.
Questions Fréquentes
Mon enfant fait-il exprès ?Non, l'encoprésie est involontaire. L'enfant ne contrôle pas ces épisodes et en souffre souvent plus que les parents [6].
Combien de temps dure le traitement ?
Le traitement s'étend généralement sur 6 à 18 mois, parfois plus selon la sévérité et la réponse thérapeutique [1].
Peut-on guérir complètement ?
Oui, dans 80 à 90% des cas, l'enfant récupère un contrôle sphinctérien normal avec un traitement adapté [6].
Faut-il arrêter l'école ?
Non, il est important de maintenir la scolarisation. Une communication avec l'équipe éducative permet d'adapter la prise en charge [12].
Les punitions sont-elles efficaces ?
Absolument pas. Les punitions aggravent l'anxiété et retardent la guérison. La bienveillance est essentielle [6].
Quand reprendre le sport ?
L'activité physique est même recommandée car elle stimule le transit intestinal [7].
Questions Fréquentes
Mon enfant fait-il exprès ?
Non, l'encoprésie est involontaire. L'enfant ne contrôle pas ces épisodes et en souffre souvent plus que les parents.
Combien de temps dure le traitement ?
Le traitement s'étend généralement sur 6 à 18 mois, parfois plus selon la sévérité et la réponse thérapeutique.
Peut-on guérir complètement ?
Oui, dans 80 à 90% des cas, l'enfant récupère un contrôle sphinctérien normal avec un traitement adapté.
Faut-il arrêter l'école ?
Non, il est important de maintenir la scolarisation. Une communication avec l'équipe éducative permet d'adapter la prise en charge.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] Pediatric Functional Constipation: A New Challenge. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [2] The psychosocial impact of childhood constipation on .... Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [3] Biofeedback rehabilitation in children with encopresis due .... Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [4] Comment j'explore L'encoprésie chez l'enfant, le point de vue pédopsychiatrique. 2023Lien
- [5] Biofeedback dans l'encoprésie de l'enfant: retour d'expérience de l'hôpital Necker & rééducation du synchronisme abdomino-périnéal à l'hôpital Robert Debré. 2022Lien
- [6] Encopresis in children, the view of child psychiatry. 2023Lien
- [7] Épidémiologie et physiopathologieLien
- [8] Brief hypnotherapy of encopresis on megacolon in a child psychiatric institution. 2023Lien
- [9] Enuresis and encopresis: Association with child abuse and neglect. 2022Lien
- [10] Que faire devant une incontinence anale chez l'enfant?. 2025Lien
- [12] Encoprésie : Symptômes et traitementLien
- [13] Encoprésie : bases et traitement. SNFCPLien
Publications scientifiques
- Comment j'explore L'encoprésie chez l'enfant, le point de vue pédopsychiatrique (2023)[PDF]
- Biofeedback dans l'encoprésie de l'enfant: retour d'expérience de l'hôpital Necker & rééducation du synchronisme abdomino-périnéal à l'hôpital Robert Debré (2022)
- Encopresis in children, the view of child psychiatry (2023)1 citations
- [PDF][PDF] Épidémiologie et physiopathologie [PDF]
- Brief hypnotherapy of encopresis on megacolon in a child psychiatric institution (2023)
Ressources web
- Encoprésie : Symptômes et traitement (elsan.care)
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Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.