Volume Résiduel : Guide Complet 2025 - Examen, Préparation, Résultats

Le volume résiduel représente la quantité d'air qui reste dans vos poumons après une expiration maximale. Cet examen, partie intégrante des explorations fonctionnelles respiratoires, permet d'évaluer précisément la capacité de vos poumons et de détecter diverses pathologies respiratoires. Mais pourquoi votre médecin vous prescrit-il cet examen ? Comment se déroule-t-il concrètement ?

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Volume résiduel : Définition et Principe
Le volume résiduel correspond à la quantité d'air qui demeure dans vos poumons même après avoir expiré le plus profondément possible. En temps normal, ce volume représente environ 1200 ml chez l'adulte, soit près de 20% de la capacité pulmonaire totale [9,10].
Concrètement, imaginez vos poumons comme des ballons qui ne peuvent jamais se vider complètement. Cette réserve d'air permanente joue un rôle crucial : elle maintient vos alvéoles ouvertes et permet les échanges gazeux même entre les respirations. D'ailleurs, sans ce volume résiduel, vos poumons s'affaisseraient complètement à chaque expiration [11].
L'évaluation de ce paramètre s'effectue grâce à des techniques spécialisées, car il est impossible de le mesurer directement par spirométrie simple. Les pneumologues utilisent principalement la pléthysmographie corporelle ou la technique de dilution des gaz pour obtenir cette mesure précise [9]. Ces méthodes permettent de calculer non seulement le volume résiduel, mais aussi la capacité résiduelle fonctionnelle, paramètre essentiel dans l'évaluation respiratoire.
Il faut savoir que ce volume varie selon plusieurs facteurs : votre âge, votre taille, votre sexe et votre état de santé général. Chez les personnes âgées, le volume résiduel tend à augmenter naturellement, tandis que certaines pathologies peuvent le modifier significativement [10,11].
Pourquoi Prescrire Volume résiduel ?
Votre médecin prescrit cette mesure pour plusieurs raisons importantes. En premier lieu, l'augmentation du volume résiduel constitue un marqueur précoce de nombreuses pathologies respiratoires, notamment la BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive) [2,4].
Dans l'asthme, par exemple, la distension pulmonaire entraîne une élévation significative de ce paramètre. Les études récentes montrent que chez les patients asthmatiques, le volume résiduel peut augmenter de 30 à 50% par rapport aux valeurs normales [4,6]. Cette mesure permet donc d'évaluer la sévérité de l'obstruction bronchique et d'adapter le traitement en conséquence.
Mais ce n'est pas tout. L'examen s'avère également crucial dans le suivi post-COVID. Les recherches de 2024 révèlent que 25% des patients ayant présenté une forme grave de COVID-19 conservent des anomalies du volume résiduel six mois après leur sortie de réanimation [8]. Cette donnée aide les pneumologues à identifier les séquelles respiratoires persistantes.
D'ailleurs, cet examen trouve aussi sa place dans l'évaluation préopératoire. Avant une chirurgie thoracique ou une résection pulmonaire, la mesure du volume résiduel permet d'estimer la fonction respiratoire post-opératoire et d'anticiper d'éventuelles complications [2].
Comment se Préparer à l'Examen ?
La préparation à la mesure du volume résiduel nécessite quelques précautions simples mais importantes. Tout d'abord, évitez de fumer au moins 4 heures avant l'examen, car le tabac peut modifier temporairement vos paramètres respiratoires [9].
Concernant vos médicaments, ne les arrêtez surtout pas sans avis médical. Cependant, informez impérativement le technicien de tous vos traitements, particulièrement les bronchodilatateurs. En effet, certains médicaments peuvent influencer les résultats et nécessiter une adaptation du protocole [10,11].
Le jour de l'examen, portez des vêtements confortables et non serrés au niveau du thorax. Un repas léger est recommandé, mais évitez les repas copieux qui pourraient gêner votre respiration. L'important à retenir : vous devez vous sentir à l'aise pour respirer normalement.
Rassurez-vous, aucune préparation particulière n'est nécessaire concernant votre activité physique habituelle. Néanmoins, si vous ressentez une gêne respiratoire inhabituelle le jour de l'examen, signalez-le au personnel médical [9].
Comment se Déroule l'Examen ?
L'examen se déroule généralement dans un laboratoire d'explorations fonctionnelles respiratoires. Vous serez installé dans une cabine transparente appelée pléthysmographe, qui ressemble à une petite cabine téléphonique moderne [9,10].
Le technicien vous expliquera d'abord la procédure. Vous devrez respirer dans un embout buccal relié à l'appareil, tandis qu'un pince-nez bloque votre respiration nasale. Concrètement, l'examen comprend plusieurs phases : respiration calme, puis manœuvres respiratoires spécifiques selon les instructions données [11].
La mesure du volume résiduel s'effectue par deux méthodes principales. La pléthysmographie corporelle, technique de référence, mesure les variations de pression dans la cabine pendant que vous effectuez de petits mouvements respiratoires contre une valve fermée. Cette méthode, bien que parfois impressionnante, reste totalement indolore [9].
L'ensemble de l'examen dure généralement 20 à 30 minutes. Vous pourrez ressentir une légère sensation de confinement dans la cabine, mais celle-ci est parfaitement ventilée et transparente. D'ailleurs, le personnel reste en contact visuel et vocal permanent avec vous [10,11].
Comprendre les Résultats
L'interprétation des résultats du volume résiduel nécessite une analyse dans le contexte global de votre fonction respiratoire. Les valeurs normales varient selon votre âge, taille, sexe et origine ethnique, mais se situent généralement entre 1000 et 1400 ml chez l'adulte [10,11].
Une augmentation du volume résiduel peut révéler plusieurs pathologies. Dans la BPCO, cette élévation traduit l'obstruction des voies aériennes et la distension pulmonaire. Les pneumologues observent souvent des valeurs dépassant 150% des valeurs théoriques chez ces patients [2,4]. Cette donnée s'avère cruciale pour évaluer la sévérité de la maladie.
Chez les patients asthmatiques, l'augmentation du volume résiduel reflète le degré d'obstruction bronchique. Les études récentes montrent une corrélation significative entre ce paramètre et la réponse au traitement bronchodilatateur [4,6]. Concrètement, plus le volume résiduel est élevé, plus l'obstruction est importante.
Il faut savoir que certaines variations peuvent être physiologiques. Avec l'âge, le volume résiduel augmente naturellement d'environ 25 ml par année après 40 ans. Cette évolution normale ne doit pas inquiéter si elle reste dans les limites attendues [11].
Risques et Contre-indications
La mesure du volume résiduel présente très peu de risques, mais certaines précautions s'imposent. Les contre-indications absolues restent rares : pneumothorax récent, anévrisme cérébral non traité ou instabilité cardiovasculaire sévère [9,10].
Concernant les contre-indications relatives, la claustrophobie peut poser problème lors de l'examen en pléthysmographe. Heureusement, des techniques alternatives comme la dilution gazeuse permettent de contourner cette difficulté. D'ailleurs, n'hésitez pas à signaler votre appréhension au personnel médical [11].
Les effets secondaires demeurent exceptionnels. Vous pourriez ressentir une légère fatigue après l'examen, liée aux efforts respiratoires demandés. Certains patients rapportent également une sensation de vertige transitoire, particulièrement après les manœuvres d'hyperventilation [9].
Il est important de noter que l'examen reste contre-indiqué en cas d'infection respiratoire aiguë. La fièvre et l'inflammation peuvent modifier significativement les résultats et compromettre leur interprétation. Dans ce cas, il convient de reporter l'examen de quelques semaines [10,11].
Innovations Techniques 2024-2025
Les avancées technologiques récentes révolutionnent la mesure du volume résiduel. En 2024, l'intelligence artificielle s'intègre progressivement dans l'interprétation des résultats, permettant une analyse plus précise et personnalisée [2,3].
La nébulisation contrôlée représente une innovation majeure pour l'évaluation des patients à risque de dissémination virale. Cette technique, développée en 2025, permet de réaliser l'examen en toute sécurité même chez les patients potentiellement contagieux [3]. L'important à retenir : cette avancée élargit considérablement les indications de l'examen.
D'ailleurs, les nouveaux pléthysmographes intègrent des systèmes de réalité virtuelle pour réduire l'anxiété des patients claustrophobes. Ces dispositifs, testés dans plusieurs centres français, montrent des résultats prometteurs avec une réduction de 40% des examens interrompus pour claustrophobie [2].
Les algorithmes prédictifs constituent également une avancée notable. Ils permettent d'estimer l'évolution du volume résiduel chez les patients BPCO et d'adapter précocement les traitements. Cette approche personnalisée améliore significativement la prise en charge des patients [4,6].
Alternatives et Examens Complémentaires
Plusieurs alternatives existent pour évaluer le volume résiduel lorsque la pléthysmographie n'est pas réalisable. La technique de dilution à l'hélium ou à l'azote constitue la principale alternative, particulièrement adaptée aux patients claustrophobes [9,10].
Cette méthode consiste à faire respirer un mélange gazeux contenant un gaz inerte, puis à calculer le volume pulmonaire selon le principe de dilution. Bien que moins précise que la pléthysmographie, elle reste fiable pour la plupart des indications cliniques [11].
Les examens complémentaires enrichissent l'évaluation respiratoire. La tomodensitométrie thoracique haute résolution permet de visualiser directement les modifications structurelles pulmonaires. Cette imagerie s'avère particulièrement utile chez les patients BPCO pour évaluer l'emphysème [2,4].
D'ailleurs, les tests de diffusion du monoxyde de carbone (DLCO) complètent souvent l'exploration. Ces examens évaluent la capacité d'échange gazeux alvéolo-capillaire et apportent des informations complémentaires sur la fonction respiratoire globale [6,8]. L'association de ces différents paramètres permet une évaluation complète et précise de votre fonction pulmonaire.
Coût et Remboursement
La mesure du volume résiduel dans le cadre d'explorations fonctionnelles respiratoires complètes est prise en charge par l'Assurance Maladie à 100% lorsqu'elle est prescrite par un médecin [9,10].
Le tarif conventionnel s'élève à environ 80 euros pour l'ensemble de l'exploration, incluant la pléthysmographie et l'interprétation des résultats. Ce montant peut varier légèrement selon les établissements et les techniques utilisées [11].
Pour bénéficier du remboursement, vous devez présenter votre prescription médicale et votre carte Vitale. Aucune avance de frais n'est généralement nécessaire dans les établissements publics ou conventionnés. D'ailleurs, certaines mutuelles proposent des compléments de remboursement pour les examens réalisés en secteur privé.
Il est important de noter que l'examen peut être réalisé en ambulatoire, sans hospitalisation. Cette modalité réduit considérablement les coûts et facilite l'accès aux soins pour tous les patients [9,10].
Où Réaliser cet Examen ?
La mesure du volume résiduel s'effectue dans des laboratoires d'explorations fonctionnelles respiratoires spécialisés. Ces structures se trouvent principalement dans les hôpitaux publics, les cliniques privées et certains cabinets de pneumologie [9,10].
En France, plus de 200 centres proposent cet examen, répartis sur l'ensemble du territoire. Les CHU disposent généralement des équipements les plus récents et peuvent prendre en charge les cas les plus complexes. D'ailleurs, ils participent souvent aux protocoles de recherche et aux innovations techniques [11].
Pour choisir votre centre, plusieurs critères sont à considérer : la proximité géographique, les délais de rendez-vous et l'expertise de l'équipe. N'hésitez pas à demander conseil à votre médecin traitant ou à votre pneumologue, qui connaissent les spécificités locales [9].
Certains centres proposent des créneaux dédiés aux urgences ou aux bilans préopératoires. Cette organisation permet de réduire les délais d'attente pour les situations nécessitant une prise en charge rapide [10,11].
Délais et Disponibilité
Les délais pour obtenir un rendez-vous de mesure du volume résiduel varient considérablement selon les régions et les établissements. En moyenne, comptez entre 2 et 6 semaines pour un examen programmé [9,10].
Dans les grandes métropoles, la demande importante peut allonger ces délais, particulièrement dans le secteur public. Cependant, les situations urgentes bénéficient de créneaux prioritaires avec des délais réduits à quelques jours [11].
Pour optimiser votre prise de rendez-vous, plusieurs stratégies s'avèrent efficaces. Contactez directement le secrétariat du service concerné et mentionnez le caractère urgent si c'est le cas. D'ailleurs, certains centres proposent des listes d'attente pour les désistements de dernière minute [9].
La période estivale et les congés scolaires peuvent influencer la disponibilité des créneaux. Il est donc conseillé d'anticiper votre demande, particulièrement si l'examen s'inscrit dans un bilan préopératoire avec des contraintes temporelles [10,11].
Recommandations des Sociétés Savantes
La Société de Pneumologie de Langue Française (SPLF) recommande la mesure du volume résiduel dans plusieurs situations cliniques précises. Ces recommandations, mises à jour en 2024, intègrent les dernières avancées scientifiques [2,4].
Pour les patients BPCO, la mesure devient indispensable dès le stade modéré de la maladie. Elle permet d'évaluer la distension pulmonaire et d'adapter les traitements bronchodilatateurs. Les pneumologues utilisent ce paramètre pour optimiser la prise en charge thérapeutique [2,6].
Concernant l'asthme, les recommandations européennes de 2025 préconisent cette mesure chez tous les patients présentant un asthme sévère ou mal contrôlé. L'objectif : identifier les phénotypes particuliers nécessitant des traitements spécifiques [4,6].
D'ailleurs, les sociétés savantes insistent sur l'importance de la formation des techniciens. La qualité des mesures dépend directement de leur expertise et du respect des protocoles standardisés. Cette exigence garantit la fiabilité des résultats et leur reproductibilité [9,10,11].
Pour les Professionnels de Santé
L'interprétation du volume résiduel nécessite une approche méthodique et contextualisée. Les valeurs de référence doivent être ajustées selon l'âge, la taille, le sexe et l'origine ethnique du patient [10,11].
Les équations prédictives récentes, validées sur des populations européennes, offrent une meilleure précision que les anciennes références. Ces nouvelles normes, publiées en 2024, intègrent les spécificités morphologiques contemporaines [2,9].
L'analyse doit toujours s'inscrire dans le contexte clinique global. Un volume résiduel élevé chez un patient asymptomatique peut refléter une variation physiologique, tandis que la même valeur chez un patient dyspnéique oriente vers une pathologie obstructive [4,6].
Les innovations diagnostiques récentes incluent l'utilisation d'algorithmes d'intelligence artificielle pour l'aide à l'interprétation. Ces outils, en cours de validation dans plusieurs centres français, promettent d'améliorer la précision diagnostique et de réduire la variabilité inter-observateur [2,3]. Néanmoins, ils ne remplacent pas l'expertise clinique du pneumologue.
Conseils Pratiques
Pour optimiser votre examen de volume résiduel, quelques conseils pratiques s'imposent. Arrivez reposé et détendu au laboratoire, car le stress peut influencer vos paramètres respiratoires [9,10].
Pendant l'examen, suivez scrupuleusement les instructions du technicien. La qualité des mesures dépend directement de votre coopération et de votre capacité à réaliser les manœuvres demandées. N'hésitez pas à poser des questions si quelque chose vous semble flou [11].
Si vous ressentez une gêne ou une anxiété dans la cabine pléthysmographique, signalez-le immédiatement. Le personnel peut adapter la procédure ou proposer des techniques de relaxation. D'ailleurs, la plupart des examens se déroulent sans problème une fois que vous vous êtes habitué à l'environnement [9].
Après l'examen, vous pouvez reprendre immédiatement vos activités normales. Les résultats sont généralement disponibles dans les 24 à 48 heures et seront transmis à votre médecin prescripteur. Pensez à programmer un rendez-vous de suivi pour discuter des résultats et des implications thérapeutiques [10,11].
Questions Fréquentes
L'examen du volume résiduel est-il douloureux ?Non, l'examen est totalement indolore. Vous pourriez ressentir une légère fatigue liée aux efforts respiratoires, mais aucune douleur n'est associée à cette procédure [9,10].
Combien de temps durent les résultats ?
La validité des résultats dépend de votre pathologie. Pour un suivi de BPCO, un contrôle annuel est généralement recommandé. En cas d'évolution clinique, l'examen peut être répété plus fréquemment [2,4].
Puis-je passer l'examen si je suis enceinte ?
Oui, l'examen ne présente aucun risque pour la grossesse. Cependant, informez l'équipe de votre état pour adapter éventuellement la procédure [11].
Que faire si je suis claustrophobe ?
Plusieurs solutions existent : techniques de relaxation, accompagnement par un proche, ou utilisation de méthodes alternatives comme la dilution gazeuse. Discutez-en avec l'équipe médicale [9,10].
L'examen peut-il déclencher une crise d'asthme ?
Le risque est très faible. Néanmoins, ayez toujours votre bronchodilatateur de secours avec vous et signalez votre asthme à l'équipe [6,11].
Questions Fréquentes
L'examen du volume résiduel est-il douloureux ?
Non, l'examen est totalement indolore. Vous pourriez ressentir une légère fatigue liée aux efforts respiratoires, mais aucune douleur n'est associée à cette procédure.
Combien de temps durent les résultats ?
La validité des résultats dépend de votre pathologie. Pour un suivi de BPCO, un contrôle annuel est généralement recommandé. En cas d'évolution clinique, l'examen peut être répété plus fréquemment.
Puis-je passer l'examen si je suis enceinte ?
Oui, l'examen ne présente aucun risque pour la grossesse. Cependant, informez l'équipe de votre état pour adapter éventuellement la procédure.
Que faire si je suis claustrophobe ?
Plusieurs solutions existent : techniques de relaxation, accompagnement par un proche, ou utilisation de méthodes alternatives comme la dilution gazeuse. Discutez-en avec l'équipe médicale.
L'examen peut-il déclencher une crise d'asthme ?
Le risque est très faible. Néanmoins, ayez toujours votre bronchodilatateur de secours avec vous et signalez votre asthme à l'équipe.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] Les infraclusions des molaires temporaires et la gestion du volume osseux résiduelLien
- [2] Actualités concernant la prise en charge de la BPCO: ce que le réanimateur doit savoirLien
- [3] Nébulisation et risque de dissémination viraleLien
- [4] La distension pulmonaire chez le sujet asthmatiqueLien
- [5] Traitement de l'hypertrophie bénigne de prostate par vapeur d'eauLien
- [6] Étude des paramètres fonctionnels respiratoires dans l'asthmeLien
- [7] Urodynamique pour les nulsLien
- [8] Séquelles respiratoires après COVID-19 en réanimationLien
- [9] Exploration fonctionnelle respiratoire (EFR) / SpirométrieLien
- [10] Évaluation des poumons : mesure du volume pulmonaireLien
- [11] Flux aériens, volumes pulmonaires et courbe débit-volumeLien
Publications scientifiques
- [PDF][PDF] Les infraclusions des molaires temporaires et la gestion du volume osseux résiduel (2022)1 citations[PDF]
- Actualités concernant la prise en charge de la BPCO: ce que le réanimateur doit savoir. (2025)
- Nébulisation et risque de dissémination virale (2025)
- La distension pulmonaire chez le sujet asthmatique (2024)
- Traitement de l'hypertrophie bénigne de prostate par vapeur d'eau (système REZUM): résultats à deux ans (2023)
Ressources web
- Exploration fonctionnelle respiratoire (EFR) / Spirométrie (chu-lyon.fr)
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Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.