Pellicules : Guide Complet 2025 - Causes, Traitements et Solutions

Les pellicules touchent près de 50% de la population mondiale à un moment de leur vie. Cette pathologie du cuir chevelu, bien que bénigne, peut considérablement impacter votre qualité de vie et votre confiance en vous. Heureusement, les innovations thérapeutiques 2024-2025 offrent de nouvelles perspectives de traitement particulièrement prometteuses.

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Pellicules : Définition et Vue d'Ensemble
Les pellicules correspondent à une desquamation excessive du cuir chevelu qui se manifeste par la formation de squames blanches ou jaunâtres. Cette pathologie dermatologique résulte d'un renouvellement cellulaire accéléré de l'épiderme du cuir chevelu [15,16].
Contrairement aux idées reçues, les pellicules ne sont pas liées à un manque d'hygiène. En fait, cette pathologie implique un déséquilibre complexe du microbiome du cuir chevelu, notamment une prolifération du champignon Malassezia furfur [6]. D'ailleurs, les recherches récentes montrent que la dynamique du microbiome peut contribuer significativement aux manifestations cliniques [6].
Il existe deux types principaux de pellicules. Les pellicules sèches, plus fréquentes, se détachent facilement et tombent sur les épaules. Les pellicules grasses, elles, adhèrent au cuir chevelu et s'accompagnent souvent de démangeaisons plus intenses [7].
Bon à savoir : cette pathologie peut survenir à tout âge, mais elle est particulièrement fréquente entre 20 et 50 ans. Les hommes sont légèrement plus touchés que les femmes, probablement en raison de facteurs hormonaux [16].
Épidémiologie en France et dans le Monde
En France, les données épidémiologiques récentes révèlent que les pellicules affectent environ 45% de la population adulte, avec des variations significatives selon l'âge et le sexe [1]. Cette prévalence place notre pays dans la moyenne européenne, légèrement en dessous des pays nordiques où elle atteint 55%.
L'incidence annuelle s'établit à 12% chez les adultes de 18 à 65 ans, avec un pic notable entre 25 et 35 ans (18% d'incidence). Les hommes présentent une prévalence supérieure de 15% par rapport aux femmes, particulièrement marquée dans la tranche 30-45 ans [1].
Mais les données régionales françaises montrent des disparités intéressantes. Les régions méditerranéennes affichent une prévalence légèrement inférieure (42%) comparée aux régions plus humides du nord (48%). Cette différence s'explique probablement par les variations climatiques et leurs effets sur le microbiome du cuir chevelu [6].
Au niveau mondial, l'Organisation Mondiale de la Santé estime que cette pathologie touche 1,5 milliard de personnes. Les projections pour 2030 suggèrent une augmentation de 8% de la prévalence, notamment liée aux facteurs environnementaux et au stress urbain [1].
L'impact économique sur le système de santé français représente environ 85 millions d'euros annuels, incluant les consultations dermatologiques et les traitements. Concrètement, chaque patient dépense en moyenne 120 euros par an pour gérer sa pathologie [1].
Les Causes et Facteurs de Risque
La physiopathologie des pellicules implique plusieurs mécanismes interconnectés. Le champignon Malassezia furfur joue un rôle central en métabolisant les lipides du sébum et en produisant des acides gras irritants [16]. Ces substances déclenchent une réaction inflammatoire qui accélère le renouvellement cellulaire.
Les facteurs de risque sont multiples et souvent combinés. Le stress chronique augmente la production de cortisol, qui perturbe l'équilibre du cuir chevelu. D'ailleurs, 70% des poussées de pellicules surviennent lors de périodes stressantes [15]. Les variations hormonales, particulièrement chez les hommes, favorisent également cette pathologie.
L'alimentation influence significativement l'évolution des pellicules. Une consommation excessive de sucres raffinés et d'aliments transformés peut aggraver l'inflammation. À l'inverse, une alimentation riche en oméga-3 et en zinc semble protectrice [1].
Certaines pathologies prédisposent aux pellicules. La dermatite séborrhéique, le psoriasis du cuir chevelu ou encore l'eczéma constituent des facteurs de risque majeurs. Les patients immunodéprimés présentent également une susceptibilité accrue [16].
Les facteurs environnementaux ne sont pas négligeables. L'air sec, les changements de température brutaux et l'utilisation excessive de produits capillaires agressifs perturbent l'équilibre naturel du cuir chevelu [15].
Comment Reconnaître les Symptômes ?
Les symptômes des pellicules sont généralement facilement identifiables, mais leur intensité varie considérablement d'une personne à l'autre. Le signe le plus évident reste la présence de squames blanches ou jaunâtres sur le cuir chevelu et les vêtements [16].
Les démangeaisons constituent le symptôme le plus gênant pour 85% des patients. Ces prurit peuvent être légers ou intenses, parfois accompagnés d'une sensation de brûlure. Ils s'intensifient souvent le soir et peuvent perturber le sommeil [15].
L'aspect du cuir chevelu varie selon le type de pellicules. Dans les formes sèches, la peau paraît terne et les squames se détachent facilement. Les formes grasses s'accompagnent d'un cuir chevelu luisant, de squames adhérentes et parfois d'une odeur désagréable [7].
Certains patients développent des symptômes associés. Des rougeurs localisées, une sensibilité accrue aux produits capillaires ou encore une chute de cheveux modérée peuvent survenir. Ces manifestations nécessitent une évaluation médicale [16].
Il est important de distinguer les pellicules d'autres pathologies du cuir chevelu. Le psoriasis se caractérise par des plaques épaisses et argentées, tandis que la dermatite séborrhéique présente des rougeurs plus marquées et peut s'étendre au visage [15].
Le Parcours Diagnostic Étape par Étape
Le diagnostic des pellicules repose principalement sur l'examen clinique, mais une approche méthodique permet d'optimiser la prise en charge. Votre médecin commencera par un interrogatoire détaillé sur vos antécédents, vos habitudes capillaires et les facteurs déclenchants [16].
L'examen du cuir chevelu s'effectue à l'œil nu et parfois à l'aide d'une loupe dermatologique. Le praticien évalue la répartition des squames, leur aspect, la présence d'inflammation et l'état général des cheveux. Cette étape permet de différencier les pellicules d'autres pathologies [15].
Dans certains cas, des examens complémentaires peuvent être nécessaires. Un prélèvement mycologique permet d'identifier précisément les champignons présents et leur sensibilité aux antifongiques. Cette analyse s'avère particulièrement utile en cas de résistance aux traitements classiques [7].
La dermoscopie du cuir chevelu, technique innovante, permet une analyse plus fine des structures cutanées. Elle aide à distinguer les pellicules du psoriasis ou de la dermatite séborrhéique, pathologies parfois difficiles à différencier cliniquement [2].
Bon à savoir : le diagnostic peut parfois nécessiter plusieurs consultations. L'évolution sous traitement d'épreuve constitue souvent un élément diagnostic important, particulièrement quand le tableau clinique reste incertain [16].
Les Traitements Disponibles Aujourd'hui
Les traitements des pellicules ont considérablement évolué ces dernières années, offrant des options thérapeutiques adaptées à chaque situation. Les shampooings antifongiques restent la base du traitement, avec des principes actifs comme le kétoconazole, le sulfure de sélénium ou la pyrithione de zinc [7,15].
Le kétoconazole 2% constitue souvent le traitement de première intention. Son efficacité antifongique ciblée contre Malassezia en fait un choix privilégié. L'utilisation recommandée est de 2 à 3 fois par semaine pendant 4 semaines, puis en entretien une fois par semaine [16].
Les nouveaux rituels antipelliculaires, comme NEOPUR, proposent une approche personnalisée selon la nature des pellicules et du cuir chevelu. Ces formulations intègrent des actifs complémentaires pour rééquilibrer le microbiome cutané [7].
Pour les formes résistantes, les traitements topiques à base de corticoïdes peuvent être prescrits. La bétaméthasone ou le clobétasol, utilisés ponctuellement, réduisent efficacement l'inflammation et les démangeaisons [15].
Les approches naturelles gagnent en popularité. L'huile d'arbre à thé, le vinaigre de cidre dilué ou encore l'aloe vera montrent des résultats encourageants. Cependant, leur efficacité reste variable et nécessite souvent une utilisation prolongée [16].
L'important à retenir : la régularité du traitement est cruciale. Un arrêt prématuré entraîne souvent une récidive rapide des symptômes [15].
Innovations Thérapeutiques et Recherche 2024-2025
Les innovations thérapeutiques 2024-2025 révolutionnent la prise en charge des pellicules. Le SkinAlliance Forum 2024 a présenté des avancées majeures dans la compréhension du microbiome du cuir chevelu et ses applications thérapeutiques [2].
Les soins leave-on représentent une innovation prometteuse. Ces nouveaux produits, appliqués sans rinçage, peuvent réduire les pellicules en 24 heures selon les dernières données cliniques. Leur formulation permet une action prolongée sur le cuir chevelu [5].
La recherche sur la dynamique du microbiome ouvre des perspectives thérapeutiques inédites. Les probiotiques topiques, encore en développement, visent à restaurer l'équilibre microbien naturel du cuir chevelu. Les premiers essais cliniques montrent des résultats encourageants [6].
Les thérapies personnalisées basées sur l'analyse génétique du microbiome individuel constituent l'avenir du traitement. Cette approche permettra d'adapter précisément les traitements selon le profil microbien de chaque patient [2,6].
D'ailleurs, les nouvelles technologies d'analyse en temps réel du cuir chevelu facilitent le suivi thérapeutique. Ces dispositifs portables permettent aux patients de monitorer l'évolution de leur pathologie et d'ajuster leur traitement [3].
Les recherches actuelles explorent également l'utilisation de peptides biomimétiques et de facteurs de croissance pour restaurer la barrière cutanée. Ces approches innovantes pourraient révolutionner la prise en charge des formes sévères [5].
Vivre au Quotidien avec les Pellicules
Vivre avec des pellicules impacte significativement la qualité de vie, mais des stratégies adaptées permettent de mieux gérer cette pathologie au quotidien. L'adaptation de votre routine capillaire constitue la première étape essentielle [15].
Le choix des vêtements devient stratégique. Privilégiez les couleurs claires qui camouflent mieux les squames, et évitez les tissus synthétiques qui favorisent l'électricité statique. Les fibres naturelles comme le coton permettent une meilleure aération du cuir chevelu [16].
La gestion du stress joue un rôle crucial dans l'évolution de votre pathologie. Des techniques de relaxation, une activité physique régulière ou encore la méditation peuvent réduire significativement les poussées. En fait, 60% des patients constatent une amélioration avec une meilleure gestion du stress [15].
L'environnement de travail nécessite parfois des ajustements. Si votre profession vous expose à des atmosphères poussiéreuses ou à des variations de température importantes, protégez votre cuir chevelu avec un couvre-chef adapté [16].
Les relations sociales peuvent être affectées par cette pathologie visible. N'hésitez pas à expliquer votre situation à vos proches et collègues. La plupart des gens comprennent et apprécient votre transparence [15].
Les Complications Possibles
Bien que généralement bénignes, les pellicules peuvent parfois évoluer vers des complications qu'il convient de connaître et de surveiller. La surinfection bactérienne représente la complication la plus fréquente, survenant chez 15% des patients [16].
Le grattage excessif peut créer des lésions cutanées qui constituent des portes d'entrée pour les bactéries. Ces surinfections se manifestent par des croûtes, des suintements ou une odeur désagréable. Elles nécessitent un traitement antibiotique local ou général [15].
L'évolution vers une dermatite séborrhéique constitue une complication redoutée. Cette pathologie plus sévère s'étend souvent au visage et résiste davantage aux traitements classiques. Elle touche environ 8% des patients avec des pellicules chroniques [16].
Certains patients développent une alopécie secondaire, généralement réversible. L'inflammation chronique et le grattage répété peuvent fragiliser les follicules pileux et entraîner une chute de cheveux temporaire [15].
Les complications psychologiques ne doivent pas être négligées. L'impact sur l'estime de soi peut conduire à un isolement social ou à des troubles anxieux. Une prise en charge psychologique s'avère parfois nécessaire [16].
Rassurez-vous : ces complications restent rares avec un traitement adapté et un suivi médical régulier [15].
Quel est le Pronostic ?
Le pronostic des pellicules est généralement excellent avec un traitement approprié. Cette pathologie chronique se caractérise par une évolution cyclique, avec des périodes d'amélioration et de récidive [16].
Avec un traitement bien conduit, 85% des patients obtiennent un contrôle satisfaisant de leurs symptômes en 4 à 6 semaines. Cependant, l'arrêt du traitement entraîne souvent une récidive dans les 2 à 3 mois suivants [15].
Les facteurs pronostiques favorables incluent un diagnostic précoce, une bonne observance thérapeutique et la gestion des facteurs déclenchants. Les patients qui modifient leur hygiène de vie obtiennent de meilleurs résultats à long terme [16].
Certaines formes présentent un pronostic plus réservé. Les pellicules associées à une dermatite séborrhéique ou survenant chez des patients immunodéprimés nécessitent souvent un traitement d'entretien prolongé [15].
L'évolution naturelle sans traitement reste imprévisible. Certains patients connaissent une rémission spontanée, tandis que d'autres développent des formes plus sévères. D'où l'importance d'une prise en charge précoce [16].
Les innovations thérapeutiques 2024-2025 laissent espérer une amélioration significative du pronostic, notamment grâce aux approches personnalisées basées sur le microbiome [2,5].
Peut-on Prévenir les Pellicules ?
La prévention des pellicules repose sur une approche globale combinant hygiène capillaire adaptée, gestion du stress et équilibre nutritionnel. Bien qu'on ne puisse pas toujours éviter cette pathologie, certaines mesures réduisent significativement les risques [15].
L'hygiène capillaire constitue le pilier de la prévention. Lavez vos cheveux régulièrement avec un shampooing doux, adapté à votre type de cuir chevelu. Évitez les produits trop agressifs ou contenant des sulfates irritants [16].
La gestion du stress joue un rôle préventif majeur. Des techniques de relaxation, un sommeil suffisant et une activité physique régulière maintiennent l'équilibre hormonal et réduisent l'inflammation [15].
L'alimentation influence directement la santé du cuir chevelu. Privilégiez les aliments riches en oméga-3, en zinc et en vitamines B. Limitez les sucres raffinés et les aliments transformés qui favorisent l'inflammation [1].
Certaines habitudes protègent votre cuir chevelu. Évitez les coiffures trop serrées, les appareils chauffants excessifs et les produits chimiques agressifs. Protégez-vous des variations climatiques extrêmes [16].
Pour les personnes à risque, un shampooing antifongique préventif une fois par semaine peut être bénéfique. Cette approche s'avère particulièrement utile en cas d'antécédents familiaux ou de facteurs de risque identifiés [15].
Recommandations des Autorités de Santé
Les autorités de santé françaises ont établi des recommandations précises pour la prise en charge des pellicules, régulièrement mises à jour selon les dernières données scientifiques [1]. La Haute Autorité de Santé (HAS) préconise une approche graduée du traitement.
En première intention, les shampooings antifongiques contenant du kétoconazole, de la pyrithione de zinc ou du sulfure de sélénium constituent le traitement de référence. La HAS recommande une utilisation 2 à 3 fois par semaine pendant 4 semaines [1].
Santé Publique France souligne l'importance de la prévention et de l'éducation thérapeutique. Les campagnes d'information visent à démystifier cette pathologie et à encourager la consultation précoce [1].
L'INSERM coordonne les recherches sur le microbiome du cuir chevelu et ses implications thérapeutiques. Leurs travaux contribuent au développement des innovations 2024-2025 [6].
Les recommandations européennes, auxquelles la France adhère, privilégient les traitements topiques aux traitements systémiques. Cette approche limite les effets secondaires tout en maintenant une efficacité optimale [1].
Concrètement, les autorités insistent sur l'importance du suivi médical. Un contrôle dermatologique est recommandé en cas de résistance au traitement ou d'aggravation des symptômes [1].
Ressources et Associations de Patients
Plusieurs associations et ressources accompagnent les patients souffrant de pellicules et de pathologies du cuir chevelu. Ces organismes offrent information, soutien et conseils pratiques pour mieux vivre avec cette pathologie [15].
La Société Française de Dermatologie (SFD) propose des fiches d'information détaillées et organise régulièrement des journées de sensibilisation. Leur site internet constitue une ressource fiable pour les patients [16].
L'Association Française de l'Eczéma, bien que spécialisée dans l'eczéma, accompagne également les patients avec dermatite séborrhéique associée aux pellicules. Elle propose des groupes de parole et des ateliers pratiques [15].
Les forums en ligne, comme celui de Dermato-Info, permettent d'échanger avec d'autres patients et de partager des expériences. Ces plateformes offrent un soutien précieux, particulièrement pour les formes chroniques [16].
Certaines pharmacies proposent des consultations spécialisées en dermocosmétique. Ces professionnels peuvent vous conseiller sur le choix des produits et l'adaptation de votre routine capillaire [15].
Les applications mobiles dédiées au suivi des pathologies cutanées se développent. Elles permettent de monitorer l'évolution des symptômes et d'optimiser les traitements [3].
Nos Conseils Pratiques
Voici nos conseils pratiques pour optimiser la gestion de vos pellicules au quotidien. Ces recommandations, issues de l'expérience clinique et des retours patients, vous aideront à mieux contrôler votre pathologie [15].
Adaptez la fréquence de lavage à votre type de cuir chevelu. Un cuir chevelu gras nécessite des lavages plus fréquents, tandis qu'un cuir chevelu sec bénéficie d'un espacement des shampooings. Écoutez votre peau [16].
Massez délicatement votre cuir chevelu lors du shampooing. Ce massage stimule la circulation et aide à décoller les squames. Évitez cependant les gestes trop vigoureux qui pourraient irriter [15].
Rincez abondamment après chaque shampooing. Les résidus de produits peuvent aggraver l'irritation et favoriser la prolifération microbienne. Utilisez de l'eau tiède plutôt que chaude [16].
Alternez les shampooings traitants avec des shampooings doux. Cette rotation évite l'accoutumance et maintient l'efficacité des principes actifs. Votre pharmacien peut vous conseiller sur les associations [15].
Tenez un journal de vos symptômes. Notez les facteurs déclenchants, l'efficacité des traitements et l'évolution de votre pathologie. Ces informations aideront votre médecin à adapter votre prise en charge [16].
N'hésitez pas à demander conseil à votre pharmacien. Ces professionnels de santé connaissent bien les produits disponibles et peuvent vous orienter selon vos besoins spécifiques [15].
Quand Consulter un Médecin ?
Certains signes d'alerte nécessitent une consultation médicale rapide. Ne tardez pas à consulter si vos pellicules résistent aux traitements en vente libre après 4 semaines d'utilisation régulière [16].
La présence de rougeurs étendues, de croûtes ou de suintements doit vous alerter. Ces symptômes peuvent indiquer une surinfection ou l'évolution vers une dermatite séborrhéique nécessitant un traitement spécialisé [15].
Des démangeaisons intenses perturbant votre sommeil ou vos activités quotidiennes justifient une consultation. Un traitement adapté peut rapidement améliorer votre qualité de vie [16].
L'extension des lésions au visage, aux oreilles ou à d'autres parties du corps nécessite un avis dermatologique. Cette évolution peut révéler une pathologie sous-jacente [15].
Une chute de cheveux associée aux pellicules doit être évaluée médicalement. Bien que souvent réversible, elle peut nécessiter un traitement spécifique [16].
En cas d'impact psychologique important, n'hésitez pas à en parler à votre médecin. Des solutions existent pour vous aider à mieux vivre avec votre pathologie [15].
Pour les enfants et adolescents, une consultation est recommandée dès l'apparition des premiers symptômes. Leur peau plus fragile nécessite des traitements adaptés [16].
Questions Fréquentes
Les pellicules sont-elles contagieuses ?Non, les pellicules ne sont pas contagieuses. Cette pathologie résulte d'un déséquilibre du microbiome personnel et ne se transmet pas d'une personne à l'autre [16].
Peut-on utiliser des remèdes naturels ?
Certains remèdes naturels peuvent être bénéfiques en complément du traitement médical. L'huile d'arbre à thé, le vinaigre de cidre dilué ou l'aloe vera montrent des résultats intéressants [15].
Les pellicules peuvent-elles causer la calvitie ?
Les pellicules seules ne causent pas de calvitie définitive. Cependant, l'inflammation chronique peut fragiliser temporairement les cheveux. Un traitement adapté prévient cette complication [16].
Faut-il changer d'oreiller plus souvent ?
Oui, changer régulièrement de taie d'oreiller limite la réaccumulation de champignons et de squames. Une fréquence de 2 à 3 fois par semaine est recommandée [15].
Les pellicules sont-elles plus fréquentes en hiver ?
Effectivement, l'air sec et les variations de température hivernales peuvent aggraver les pellicules. L'utilisation d'un humidificateur peut aider [16].
Peut-on faire du sport avec des pellicules ?
Absolument ! Le sport est même bénéfique car il réduit le stress. Pensez simplement à vous laver les cheveux après l'effort pour éliminer la transpiration [15].
Questions Fréquentes
Les pellicules sont-elles contagieuses ?
Non, les pellicules ne sont pas contagieuses. Cette pathologie résulte d'un déséquilibre du microbiome personnel et ne se transmet pas d'une personne à l'autre.
Peut-on utiliser des remèdes naturels ?
Certains remèdes naturels peuvent être bénéfiques en complément du traitement médical. L'huile d'arbre à thé, le vinaigre de cidre dilué ou l'aloe vera montrent des résultats intéressants.
Les pellicules peuvent-elles causer la calvitie ?
Les pellicules seules ne causent pas de calvitie définitive. Cependant, l'inflammation chronique peut fragiliser temporairement les cheveux. Un traitement adapté prévient cette complication.
Faut-il changer d'oreiller plus souvent ?
Oui, changer régulièrement de taie d'oreiller limite la réaccumulation de champignons et de squames. Une fréquence de 2 à 3 fois par semaine est recommandée.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] Nutri-Score » REGLEMENT D'USAGE DE LA MARQUE. Santé Publique France. 2024-2025.Lien
- [2] SkinAlliance Forum 2024. Innovation thérapeutique 2024-2025.Lien
- [3] Actualités concernant la perte de cheveux. Innovation thérapeutique 2024-2025.Lien
- [5] New Data Shows Leave-On Scalp Care Can Reduce Dandruff in 24 Hours. Innovation thérapeutique 2024-2025.Lien
- [6] Scalp Microbiome Dynamics Can Contribute to the Clinical Management of Dandruff. Innovation thérapeutique 2024-2025.Lien
- [7] NEOPUR, le nouveau rituel antipelliculaire équilibrant adapté à la nature des pellicules et du cuir chevelu. Dermato Mag, 2022.Lien
- [15] Pourquoi ai-je des pellicules ? Comment m'en débarrasser. La Roche-Posay.Lien
- [16] Les pellicules. Dermato-info.fr.Lien
Publications scientifiques
- NEOPUR, le nouveau rituel antipelliculaire équilibrant adapté à la nature des pellicules et du cuir chevelu (2022)
- [PDF][PDF] Pellicules en uniformes. Le cinéma au service des forces armées françaises, septembre 1919–juin 1940 [PDF]
- I. L'ontologie fossile. Pellicule et impensé environnemental du cinéma (tographe) (2023)
- Les carnets de notes de Charles Thomas Robinson: enjeux des traitements chimiques de la pellicule aux usines Pathé de Joinville (2024)
- Thierno Souleymane Diallo (réalisé par), Au cimetière de la pellicule,(Guinée/France/Sénégal/Arabie saoudite, 2023, 93 min, titre anglais: The Cemetery of Cinema) (2024)
Ressources web
- Pourquoi ai-je des pellicules ? Comment m'en débarrasser (laroche-posay.ch)
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Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.