Maladie de Lafora : Symptômes, Diagnostic et Traitements 2025

La maladie de Lafora représente une forme rare mais sévère d'épilepsie myoclonique progressive. Cette pathologie génétique, touchant principalement les adolescents, se caractérise par des crises d'épilepsie associées à une détérioration neurologique progressive. Bien que rare, elle nécessite une prise en charge spécialisée et un accompagnement adapté des patients et de leurs familles.

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Maladie de Lafora : Définition et Vue d'Ensemble
La maladie de Lafora appartient au groupe des épilepsies myocloniques progressives. Elle se manifeste généralement à l'adolescence par des crises d'épilepsie particulières. Cette pathologie tire son nom du neurologue espagnol Gonzalo Rodríguez Lafora qui l'a décrite au début du 20ème siècle.
Concrètement, cette maladie résulte d'anomalies génétiques qui perturbent le métabolisme du glycogène dans les cellules nerveuses. Les patients développent progressivement des myoclonies - ces contractions musculaires involontaires et soudaines - ainsi qu'une détérioration cognitive [13,14].
D'ailleurs, la maladie de Lafora se distingue des autres formes d'épilepsie par la présence de corps de Lafora. Ces inclusions anormales s'accumulent dans les neurones et constituent un marqueur diagnostique spécifique. L'évolution est malheureusement progressive et sévère, avec une espérance de vie généralement réduite [5,6].
Épidémiologie en France et dans le Monde
La maladie de Lafora touche environ 1 personne sur 1 million dans la population générale. En France, on estime qu'entre 60 et 80 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année [13]. Cette pathologie représente approximativement 10% de toutes les épilepsies myocloniques progressives.
Mais les données épidémiologiques révèlent des variations géographiques intéressantes. La prévalence est plus élevée dans certaines régions du monde, notamment en Méditerranée et au Moyen-Orient, suggérant un effet fondateur dans certaines populations [5,9]. En Europe, l'incidence annuelle varie de 0,5 à 2 cas par million d'habitants.
L'âge de début se situe typiquement entre 10 et 18 ans, avec un pic vers 15 ans. Les deux sexes sont touchés de manière équivalente. Cependant, certaines études récentes suggèrent une légère prédominance féminine dans certaines populations [9,11].
Il faut savoir que le diagnostic est souvent retardé de 2 à 3 ans après l'apparition des premiers symptômes. Cette situation s'améliore progressivement grâce aux avancées en génétique moléculaire et à une meilleure sensibilisation des professionnels de santé [10,11].
Les Causes et Facteurs de Risque
La maladie de Lafora résulte de mutations génétiques touchant principalement deux gènes : EPM2A et NHLRC1. Ces gènes codent respectivement pour les protéines laforine et maline, essentielles au métabolisme normal du glycogène [13,14].
Environ 80% des cas sont dus à des mutations du gène EPM2A, tandis que 20% impliquent le gène NHLRC1. D'ailleurs, de rares cas impliquent d'autres gènes comme EPM2B, découvert plus récemment [3,10]. Ces protéines défaillantes entraînent l'accumulation anormale de polyglucosanes dans les cellules nerveuses.
La transmission suit un mode autosomique récessif. Cela signifie que les deux parents doivent être porteurs de la mutation pour que leur enfant développe la maladie. Le risque de transmission est alors de 25% à chaque grossesse. Heureusement, un conseil génétique permet d'évaluer précisément ces risques [11,14].
Comment Reconnaître les Symptômes ?
Les premiers signes de la maladie de Lafora apparaissent généralement vers l'adolescence. Les crises d'épilepsie constituent souvent le symptôme inaugural, touchant 90% des patients au moment du diagnostic [5,6].
Les myoclonies représentent un symptôme caractéristique. Ces contractions musculaires involontaires et brèves peuvent toucher n'importe quel muscle. Elles s'intensifient avec l'émotion, la fatigue ou les stimulations lumineuses. Concrètement, vous pourriez observer des sursauts soudains des bras, des jambes ou du visage [6,7].
Mais d'autres symptômes accompagnent cette évolution. Le déclin cognitif progresse insidieusement, affectant d'abord la mémoire et l'attention. Les troubles du comportement peuvent également apparaître : irritabilité, anxiété, parfois dépression [7,9].
Les crises généralisées tonico-cloniques surviennent chez la plupart des patients. Elles peuvent être déclenchées par la photosensibilité - une sensibilité excessive à la lumière. D'ailleurs, certains patients développent des troubles visuels spécifiques, notamment des crises occipitales avec hallucinations visuelles [6,12].
Le Parcours Diagnostic Étape par Étape
Le diagnostic de la maladie de Lafora nécessite une approche méthodique. L'électroencéphalogramme (EEG) constitue l'examen de première intention. Il révèle des anomalies caractéristiques : pointes-ondes généralisées et activité de fond ralentie [6,7].
L'imagerie cérébrale par IRM peut montrer une atrophie progressive, particulièrement au niveau cortical. Récemment, la TEP-FDG (tomographie par émission de positons) s'avère prometteuse pour évaluer l'évolution de la maladie. Elle permet de visualiser l'hypométabolisme cérébral caractéristique [7,12].
Cependant, le diagnostic définitif repose sur l'analyse génétique. Le séquençage des gènes EPM2A et NHLRC1 confirme la mutation responsable. Cette analyse génétique est désormais accessible dans la plupart des centres spécialisés français [10,11].
Dans certains cas complexes, une biopsie cutanée peut être réalisée. Elle permet de visualiser directement les corps de Lafora dans les cellules des glandes sudoripares. Néanmoins, cette procédure devient moins fréquente grâce aux progrès de la génétique [3,13].
Les Traitements Disponibles Aujourd'hui
Actuellement, il n'existe pas de traitement curatif pour la maladie de Lafora. La prise en charge reste symptomatique et vise à contrôler les crises d'épilepsie tout en préservant la qualité de vie [6,8].
Les antiépileptiques constituent le pilier du traitement. Le valproate de sodium reste souvent le médicament de première intention. D'autres molécules comme la lamotrigine, le lévétiracétam ou le clonazépam peuvent être associées selon la réponse clinique [8,9].
Le régime cétogène montre des résultats encourageants chez certains patients. Cette approche nutritionnelle spécifique peut réduire la fréquence des crises, particulièrement chez les enfants et adolescents. Cependant, sa mise en œuvre nécessite un suivi médical strict [8].
L'accompagnement multidisciplinaire s'avère essentiel. Kinésithérapie, orthophonie et soutien psychologique contribuent à maintenir l'autonomie le plus longtemps possible. D'ailleurs, l'adaptation de l'environnement familial et scolaire fait partie intégrante de la prise en charge [9,11].
Innovations Thérapeutiques et Recherche 2024-2025
L'année 2024 marque un tournant dans la recherche sur la maladie de Lafora. Plusieurs approches innovantes émergent et suscitent l'espoir de la communauté médicale [1,2].
L'empagliflozine, initialement développée pour le diabète, fait l'objet d'études prometteuses. Cette molécule pourrait moduler le métabolisme du glycogène et réduire l'accumulation des corps de Lafora. Les premiers résultats précliniques sont encourageants [2].
Les thérapies géniques représentent une voie d'avenir particulièrement excitante. Plusieurs équipes travaillent sur la correction des mutations génétiques responsables. Ces approches visent à restaurer la fonction normale des protéines laforine et maline [3,4].
D'ailleurs, l'identification de nouveaux biomarqueurs plasmatiques ouvre des perspectives diagnostiques intéressantes. Ces marqueurs pourraient permettre un diagnostic plus précoce et un suivi plus précis de l'évolution [4]. Concrètement, une simple prise de sang pourrait suffire à évaluer la progression de la maladie.
Les essais cliniques se multiplient en 2025. Plusieurs molécules sont actuellement testées, notamment des inhibiteurs spécifiques de la synthèse du glycogène. Ces recherches bénéficient d'un financement accru de la part des organismes internationaux [1,2].
Vivre au Quotidien avec la Maladie de Lafora
Vivre avec la maladie de Lafora nécessite des adaptations importantes mais réalisables. L'organisation du quotidien devient primordiale pour préserver l'autonomie et la sécurité [9,11].
La gestion des crises d'épilepsie constitue un défi majeur. Il est essentiel d'identifier les facteurs déclenchants : fatigue, stress, lumières clignotantes. L'entourage doit être formé aux gestes de premiers secours et connaître la conduite à tenir lors d'une crise [6,9].
L'aménagement de l'environnement s'avère crucial. Éviter les surfaces réfléchissantes, utiliser un éclairage tamisé, sécuriser les espaces de vie. Ces mesures simples réduisent significativement le risque de crises photosensibles [12].
Mais l'aspect psychologique ne doit pas être négligé. Le soutien familial et l'accompagnement psychologique aident à accepter la maladie et ses contraintes. De nombreuses familles témoignent de l'importance de maintenir des projets et des activités adaptées [11,14].
Les Complications Possibles
La maladie de Lafora peut entraîner diverses complications qui nécessitent une surveillance attentive. Les états de mal épileptique représentent l'urgence la plus redoutée. Ces crises prolongées peuvent mettre en jeu le pronostic vital [6,7].
Le déclin cognitif constitue une complication majeure et inévitable. Il progresse généralement de manière insidieuse, affectant successivement la mémoire, l'attention, puis les fonctions exécutives. Cette détérioration impacte significativement l'autonomie des patients [7,9].
Les troubles de la déglutition surviennent fréquemment dans l'évolution. Ils exposent au risque de fausses routes et d'infections respiratoires. Une surveillance nutritionnelle devient alors indispensable [9,12].
D'ailleurs, les complications psychiatriques ne sont pas rares. Dépression, anxiété, troubles du comportement peuvent apparaître et nécessiter une prise en charge spécialisée. Ces manifestations résultent à la fois de l'atteinte neurologique et du retentissement psychologique de la maladie [11,12].
Quel est le Pronostic ?
Le pronostic de la maladie de Lafora reste malheureusement sombre. Cette pathologie évolue inexorablement vers une détérioration neurologique progressive [6,7].
L'espérance de vie est généralement réduite, avec un décès survenant habituellement dans les 10 à 15 ans suivant l'apparition des premiers symptômes. Cependant, cette évolution peut varier selon les patients et la précocité de la prise en charge [7,9].
Certains facteurs influencent le pronostic. Un début précoce, avant 15 ans, est généralement associé à une évolution plus rapide. À l'inverse, les formes débutant plus tardivement peuvent présenter une progression plus lente [9,11].
Mais il faut garder espoir. Les avancées thérapeutiques récentes laissent entrevoir de nouvelles perspectives. Les recherches en cours sur les thérapies géniques et les nouveaux traitements pourraient modifier significativement ce pronostic dans les années à venir [1,2,3].
Peut-on Prévenir la Maladie de Lafora ?
La prévention de la maladie de Lafora repose essentiellement sur le conseil génétique. Cette approche permet d'évaluer les risques de transmission dans les familles concernées [10,11].
Lorsqu'un cas est diagnostiqué dans une famille, il est recommandé de proposer un dépistage génétique aux apparentés. Cette démarche permet d'identifier les porteurs sains et d'évaluer les risques pour la descendance [11,14].
Le diagnostic prénatal est techniquement possible lorsque la mutation familiale est connue. Cette option nécessite une réflexion approfondie et un accompagnement psychologique adapté. Les couples concernés peuvent ainsi faire des choix éclairés [10,13].
D'ailleurs, le diagnostic préimplantatoire représente une alternative pour certains couples. Cette technique permet de sélectionner les embryons non porteurs de la mutation lors d'une fécondation in vitro [13,14].
Recommandations des Autorités de Santé
Les autorités sanitaires françaises ont établi des recommandations spécifiques pour la prise en charge de la maladie de Lafora. La Haute Autorité de Santé (HAS) préconise une approche multidisciplinaire coordonnée [10,11].
Le diagnostic doit être confirmé dans un centre de référence des épilepsies rares. Ces centres disposent de l'expertise nécessaire et des plateaux techniques adaptés. En France, plusieurs centres sont labellisés pour cette pathologie [11,13].
La prise en charge thérapeutique suit les recommandations internationales. L'objectif prioritaire reste le contrôle des crises épileptiques tout en préservant la qualité de vie. Un suivi régulier est indispensable pour adapter les traitements [8,10].
D'ailleurs, les autorités insistent sur l'importance de l'accompagnement social. Les patients et leurs familles doivent bénéficier d'un soutien adapté : aide à domicile, aménagements scolaires, reconnaissance du handicap [11,14].
Ressources et Associations de Patients
Plusieurs associations accompagnent les patients atteints de maladie de Lafora et leurs familles. L'Association Lafora France constitue la référence nationale pour cette pathologie [14].
Cette association propose de nombreux services : information médicale actualisée, mise en relation entre familles, soutien psychologique. Elle organise également des rencontres annuelles qui permettent aux familles de partager leurs expériences [14].
Au niveau international, la Lafora Epilepsy Cure Initiative coordonne les efforts de recherche. Cette organisation finance des projets de recherche prometteurs et facilite les collaborations entre équipes scientifiques [1,2].
D'autres ressources sont disponibles : centres de référence maladies rares, plateformes d'information comme Orphanet, réseaux sociaux dédiés. Ces outils permettent aux familles de rester informées des dernières avancées [13,14].
Nos Conseils Pratiques
Vivre avec la maladie de Lafora nécessite quelques adaptations pratiques qui peuvent considérablement améliorer le quotidien. Voici nos recommandations basées sur l'expérience des familles et des professionnels [9,11].
Organisez votre environnement pour réduire les risques. Évitez les éclairages stroboscopiques, les écrans trop lumineux, les surfaces très réfléchissantes. Un éclairage doux et homogène limite les crises photosensibles [12].
Maintenez un rythme de vie régulier. Le sommeil, les repas, les activités doivent suivre des horaires stables. Cette régularité aide à stabiliser l'activité cérébrale et peut réduire la fréquence des crises [9,11].
N'hésitez pas à solliciter les aides disponibles. Reconnaissance du handicap, aménagements scolaires ou professionnels, aide à domicile : ces soutiens allègent le quotidien et préservent l'autonomie [11,14].
Quand Consulter un Médecin ?
Certains signes doivent vous alerter et motiver une consultation médicale urgente. Les crises prolongées de plus de 5 minutes nécessitent un appel au SAMU [6,7].
Une modification du comportement habituel, une confusion persistante, des troubles de la conscience doivent également inquiéter. Ces symptômes peuvent signaler une aggravation ou une complication [7,9].
Pour le suivi régulier, consultez votre neurologue selon le rythme convenu, généralement tous les 3 à 6 mois. Ces consultations permettent d'adapter les traitements et de surveiller l'évolution [8,10].
N'attendez pas pour signaler les effets secondaires des médicaments. Somnolence excessive, troubles digestifs, modifications de l'humeur : votre médecin peut ajuster les doses ou changer de molécule [8,11].
Questions Fréquentes
La maladie de Lafora est-elle héréditaire ?Oui, elle se transmet selon un mode autosomique récessif. Les deux parents doivent être porteurs pour que l'enfant soit atteint [11,13].
Peut-on guérir de cette maladie ?
Actuellement, il n'existe pas de traitement curatif. Cependant, les recherches en cours laissent espérer de nouvelles thérapies [1,2,3].
Les crises sont-elles dangereuses ?
La plupart des crises sont brèves et sans danger immédiat. Seules les crises prolongées nécessitent une intervention médicale urgente [6,7].
Comment évolue la maladie ?
L'évolution est progressive avec une détérioration neurologique sur plusieurs années. Le rythme varie selon les patients [7,9].
Existe-t-il des traitements expérimentaux ?
Plusieurs molécules sont actuellement testées, notamment l'empagliflozine et des thérapies géniques [2,4].
Questions Fréquentes
La maladie de Lafora est-elle héréditaire ?
Oui, elle se transmet selon un mode autosomique récessif. Les deux parents doivent être porteurs de la mutation pour que l'enfant soit atteint.
Peut-on guérir de cette maladie ?
Actuellement, il n'existe pas de traitement curatif. Cependant, les recherches en cours, notamment sur l'empagliflozine et les thérapies géniques, laissent espérer de nouvelles options thérapeutiques.
Les crises sont-elles dangereuses ?
La plupart des crises sont brèves et sans danger immédiat. Seules les crises prolongées de plus de 5 minutes nécessitent une intervention médicale urgente.
Comment évolue la maladie ?
L'évolution est progressive avec une détérioration neurologique sur plusieurs années. Le rythme varie selon les patients et l'âge de début des symptômes.
Existe-t-il des traitements expérimentaux ?
Plusieurs molécules sont actuellement testées en 2024-2025, notamment l'empagliflozine et des approches de thérapie génique prometteuses.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] Plan de site. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [2] Empagliflozin Repurposing for Lafora Disease. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [3] Case report of Lafora disease: a rare genetic disorder. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [4] Identification of Plasma Growth Factors and Cytokines as biomarkers. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [5] EPILEPSIES MYOCLONIQUES PROGRESSIVES AU SERVICE DE NEUROLOGIE DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DU POINT G. 2022Lien
- [6] Electro-clinical features and management of the late stage of Lafora disease. 2022Lien
- [7] Association of CSF and PET markers of neurodegeneration with electroclinical progression in Lafora disease. 2023Lien
- [8] L'application du régime cétogène dans le traitement des épilepsies pharmaco-résistantes. 2022Lien
- [9] Progressive myoclonic epilepsy in the department of neurology. 2022Lien
- [10] Apport de la génétique dans la prise en charge des épilepsies de l'enfant. 2022Lien
- [11] Neurologie de l'adolescence. 2022Lien
- [12] FDG-PET findings and alcohol-responsive myoclonus in a patient with Unverricht-Lundborg disease. 2022Lien
- [13] Maladie de Lafora. OrphanetLien
- [14] Les aspects de la maladie en résumé. Association Lafora FranceLien
Publications scientifiques
- EPILEPSIES MYOCLONIQUES PROGRESSIVES AU SERVICE DE NEUROLOGIE DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DU POINT “G” (2022)[PDF]
- Electro-clinical features and management of the late stage of Lafora disease (2022)6 citations
- Association of CSF and PET markers of neurodegeneration with electroclinical progression in Lafora disease (2023)10 citations
- L'application du régime cétogène dans le traitement des épilepsies pharmaco-résistantes (2022)1 citations
- Progressive myoclonic epilepsy in the department of neurology of the University Teaching hospital Point" G" (2022)
Ressources web
- Maladie de Lafora (orpha.net)
La maladie se manifeste généralement à la fin de l'enfance ou à l'adolescence par des crises tonico-cloniques généralisées, des myoclonies et, souvent, par des ...
- Les aspects de la maladie en résumé (lafora.fr)
La maladie de Lafora est une forme grave et héréditaire d'épilepsie myoclonique progressive. · D'autres signes et symptômes comprennent des difficultés à marcher ...
- Syndrome de Lafora (fr.wikipedia.org)
Diagnostic neuropathologique et biologique Cependant, le diagnostic est confirmé par la biopsie cutanée de la région axillaire qui met en évidence la présence ...
- Épilepsie myoclonique progressive liée à PRDM8 (orpha.net)
Épilepsie myoclonique progressive génétique rare caractérisée par l'apparition dans l'enfance d'une dysarthrie progressive, d'une myoclonie, d'une ataxie, des ...
- Lafora, une maladie rare du système nerveux (allodocteurs.fr)
10 sept. 2013 — Seul l'électroencéphalogramme (EEG) ainsi qu'une biopsie de la peau permettent d'établir avec certitude le diagnostic.

- Consultation remboursable *
- Ordonnance et arrêt de travail sécurisés (HDS)

Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.