Laryngospasme : Symptômes, Causes et Traitements - Guide Complet 2025

Le laryngospasme est une contraction involontaire et soudaine des muscles du larynx qui peut provoquer une obstruction temporaire des voies respiratoires. Cette pathologie, bien que souvent bénigne, peut être particulièrement angoissante pour les patients qui en souffrent. Heureusement, les avancées médicales récentes offrent de nouvelles perspectives de prise en charge, notamment avec les innovations thérapeutiques 2024-2025 qui améliorent significativement la qualité de vie des patients.

- Consultation remboursable *
- Ordonnance et arrêt de travail sécurisés (HDS)

Laryngospasme : Définition et Vue d'Ensemble
Le laryngospasme correspond à une contraction brutale et involontaire des muscles du larynx, en particulier des cordes vocales. Cette réaction provoque une fermeture temporaire de la glotte, créant une obstruction des voies respiratoires supérieures [12,13].
Concrètement, imaginez que votre gorge se ferme soudainement, comme si quelqu'un appuyait sur un interrupteur. C'est exactement ce qui se passe lors d'un épisode de laryngospasme. Les muscles se contractent de manière réflexe, empêchant temporairement l'air de passer [14].
Cette pathologie peut survenir dans différents contextes. En effet, elle est particulièrement fréquente en période périanesthésique, notamment chez l'enfant [4,5]. Mais elle peut aussi apparaître spontanément, sans contexte médical particulier.
L'important à retenir, c'est que le laryngospasme est généralement de courte durée. La plupart des épisodes se résolvent spontanément en quelques secondes à quelques minutes. Cependant, dans certains cas, une intervention médicale peut s'avérer nécessaire pour lever l'obstruction [6].
Épidémiologie en France et dans le Monde
Les données épidémiologiques récentes révèlent que le laryngospasme périanesthésique touche environ 0,8 à 14% des patients en anesthésie générale, avec une incidence particulièrement élevée chez l'enfant pouvant atteindre 17,4% [5]. En France, les statistiques hospitalières montrent une prévalence de 2,3% en chirurgie pédiatrique programmée [9].
Chez l'adulte, l'incidence est nettement plus faible, oscillant entre 0,1 et 1,5% selon les études internationales. Mais ces chiffres ne reflètent que la partie émergée de l'iceberg, car de nombreux épisodes mineurs ne sont pas rapportés [10].
D'ailleurs, les données françaises de 2024 indiquent une augmentation de 15% des cas déclarés par rapport à 2019, probablement liée à une meilleure reconnaissance de cette pathologie par les professionnels de santé [11]. Cette évolution s'observe également dans d'autres pays européens, avec des variations régionales significatives.
Les facteurs démographiques jouent un rôle important. Les enfants de moins de 10 ans représentent 68% des cas, avec un pic d'incidence entre 1 et 5 ans [5,9]. Le sexe masculin semble légèrement plus touché, avec un ratio de 1,3:1.
Les Causes et Facteurs de Risque
Les causes du laryngospasme sont multiples et variées. En contexte anesthésique, plusieurs facteurs déclenchants ont été identifiés. L'irritation des voies respiratoires supérieures constitue la cause principale, notamment lors de manipulations instrumentales ou en présence d'infections respiratoires [4,5].
Chez l'enfant enrhumé, le risque de laryngospasme est multiplié par 2 à 3 [4]. C'est pourquoi les anesthésistes sont particulièrement vigilants avec les petits patients présentant des signes d'infection des voies respiratoires supérieures.
D'autres facteurs de risque incluent l'utilisation de certains agents anesthésiques, notamment le sévoflurane et le propofol, bien que les innovations récentes aient permis d'optimiser leur utilisation [3]. L'âge pédiatrique reste le facteur de risque le plus important, avec une anatomie laryngée particulière qui favorise les spasmes [5,6].
En dehors du contexte anesthésique, le laryngospasme peut être déclenché par le reflux gastro-œsophagien, l'inhalation de corps étrangers, ou encore certaines pathologies neurologiques. L'hypocalcémie représente également une cause importante, particulièrement en urgence [8].
Comment Reconnaître les Symptômes ?
Les symptômes du laryngospasme sont généralement très caractéristiques et facilement reconnaissables. Le signe principal est une difficulté respiratoire brutale, avec une sensation d'obstruction complète des voies aériennes [12,13].
Vous pourriez observer un stridor inspiratoire, ce bruit aigu caractéristique qui se produit lors de l'inspiration. Parfois, aucun bruit n'est audible car l'obstruction est complète. Dans ce cas, on observe des mouvements respiratoires paradoxaux, avec un tirage important [14].
Les signes associés incluent une cyanose (coloration bleutée) des lèvres et du visage, une agitation ou au contraire une prostration, et une tachycardie. L'anxiété est compréhensible et fréquente, car la sensation d'étouffement est particulièrement angoissante [12].
Chez l'enfant, les symptômes peuvent être plus discrets au début. On peut noter une modification du cri, une voix rauque, ou simplement une agitation inexpliquée. C'est pourquoi la surveillance post-opératoire est cruciale en pédiatrie [9,10].
Le Parcours Diagnostic Étape par Étape
Le diagnostic du laryngospasme repose avant tout sur la clinique et l'observation directe des symptômes. En situation d'urgence, le diagnostic doit être posé rapidement pour permettre une prise en charge immédiate [14].
L'examen clinique recherche les signes d'obstruction des voies aériennes supérieures. L'auscultation peut révéler un stridor, mais parfois aucun bruit n'est perceptible en cas d'obstruction complète. La saturation en oxygène chute rapidement, ce qui constitue un signe d'alarme [12,13].
En contexte non urgent, une laryngoscopie peut être réalisée pour visualiser directement les cordes vocales et confirmer le diagnostic. Cet examen permet également d'éliminer d'autres causes d'obstruction laryngée [14].
Des examens complémentaires peuvent être nécessaires selon le contexte. Un bilan biologique recherchera notamment une hypocalcémie, cause fréquente de laryngospasme [8]. Une fibroscopie bronchique peut être indiquée en cas de suspicion de corps étranger inhalé [11].
Les Traitements Disponibles Aujourd'hui
La prise en charge du laryngospasme dépend de sa sévérité et de son contexte de survenue. En première intention, des manœuvres simples peuvent suffire à lever le spasme. La pression positive continue (CPAP) par masque facial constitue souvent le premier geste thérapeutique [14].
Lorsque ces mesures sont insuffisantes, l'administration de succinylcholine reste le traitement de référence. Cette molécule, administrée par voie intraveineuse ou intramusculaire, permet une relaxation musculaire rapide et efficace [5,6]. La dose habituelle est de 0,1 à 0,5 mg/kg chez l'enfant.
D'autres approches thérapeutiques peuvent être utilisées. L'administration de lidocaïne par voie topique ou intraveineuse a montré son efficacité dans certains cas. Le propofol, malgré son rôle potentiel déclencheur, peut paradoxalement être utilisé à faibles doses pour lever le spasme [3].
En cas d'hypocalcémie associée, la correction du trouble électrolytique par administration de gluconate de calcium est indispensable [8]. Cette approche est particulièrement importante en situation d'urgence, où l'hypocalcémie peut être la cause principale du laryngospasme.
Innovations Thérapeutiques et Recherche 2024-2025
Les innovations thérapeutiques récentes ouvrent de nouvelles perspectives dans la prise en charge du laryngospasme. L'oxcarbazépine, traditionnellement utilisée en neurologie, fait l'objet d'études prometteuses pour la prévention des spasmes laryngés récidivants [1].
Le Varophen, nouvelle formulation thérapeutique, montre des résultats encourageants dans la gestion périopératoire du laryngospasme. Cette innovation 2024-2025 pourrait révolutionner l'approche préventive, notamment en chirurgie pédiatrique [2].
L'étude récente sur l'impact du sévoflurane et du propofol en période périopératoire a permis d'optimiser l'utilisation de ces agents anesthésiques [3]. Les nouveaux protocoles développés réduisent significativement l'incidence du laryngospasme post-opératoire.
En parallèle, les recherches sur les stratégies d'adaptation des anesthésistes novices face au laryngospasme pédiatrique ont abouti à de nouveaux programmes de formation [6]. Ces approches innovantes améliorent la prise en charge et réduisent l'anxiété des soignants face à cette complication.
Vivre au Quotidien avec Laryngospasme
Vivre avec des épisodes récurrents de laryngospasme peut être particulièrement éprouvant. L'anxiété anticipatoire est fréquente, car la peur de l'étouffement génère un stress important au quotidien [12].
Heureusement, plusieurs stratégies peuvent aider à mieux gérer cette pathologie. L'apprentissage de techniques de relaxation et de contrôle respiratoire s'avère souvent bénéfique. Certains patients trouvent un soulagement dans la pratique du yoga ou de la méditation [13].
L'éviction des facteurs déclenchants constitue un élément clé de la prise en charge. Cela peut inclure le traitement du reflux gastro-œsophagien, l'arrêt du tabac, ou encore l'amélioration de l'hygiène bucco-dentaire pour réduire les irritations locales.
Le soutien psychologique ne doit pas être négligé. Rejoindre un groupe de patients ou bénéficier d'un accompagnement thérapeutique peut considérablement améliorer la qualité de vie. L'entourage joue également un rôle crucial dans l'adaptation à cette pathologie.
Les Complications Possibles
Bien que généralement bénin, le laryngospasme peut parfois entraîner des complications sérieuses. L'hypoxémie constitue la complication la plus fréquente et la plus préoccupante, pouvant conduire à des séquelles neurologiques en cas de prolongation [14].
L'œdème pulmonaire post-obstructif représente une complication redoutable mais heureusement rare. Il survient après la levée brutale de l'obstruction et nécessite une prise en charge spécialisée en réanimation [5,9].
Chez l'enfant, les complications peuvent être plus sévères en raison de l'anatomie particulière des voies aériennes. Le risque d'arrêt cardiaque secondaire à l'hypoxie est plus élevé, justifiant une surveillance rapprochée en période post-opératoire [9,10].
Les complications psychologiques ne doivent pas être sous-estimées. L'anxiété post-traumatique peut persister longtemps après l'épisode aigu, nécessitant parfois un accompagnement psychologique spécialisé. Cette dimension est particulièrement importante chez les patients devant subir de nouvelles interventions chirurgicales [6].
Quel est le Pronostic ?
Le pronostic du laryngospasme est généralement excellent lorsque la prise en charge est rapide et adaptée. La plupart des épisodes se résolvent spontanément ou répondent bien aux traitements de première ligne [12,13].
En contexte anesthésique, le pronostic dépend largement de la rapidité de reconnaissance et de traitement. Les équipes expérimentées obtiennent des taux de résolution supérieurs à 95% sans séquelles [5,6]. C'est pourquoi la formation continue des professionnels de santé est cruciale.
Pour les formes récidivantes, le pronostic reste favorable à maladie d'identifier et de traiter les causes sous-jacentes. Le reflux gastro-œsophagien, l'hypocalcémie ou les infections respiratoires récurrentes doivent être pris en charge de manière optimale [8].
Les innovations thérapeutiques récentes, notamment l'utilisation de nouvelles molécules comme l'oxcarbazépine, laissent entrevoir des perspectives encore plus favorables pour l'avenir [1,2]. L'amélioration des techniques anesthésiques contribue également à réduire l'incidence de cette complication [3].
Peut-on Prévenir Laryngospasme ?
La prévention du laryngospasme repose sur plusieurs stratégies complémentaires. En contexte anesthésique, l'identification préopératoire des patients à risque constitue la première étape. Les enfants présentant une infection respiratoire récente nécessitent une attention particulière [4,5].
L'optimisation des techniques anesthésiques joue un rôle majeur. L'utilisation de masques laryngés adaptés, le contrôle de la profondeur anesthésique et l'éviction des manipulations irritantes permettent de réduire significativement l'incidence [10].
Pour les formes non anesthésiques, la prévention passe par le traitement des pathologies sous-jacentes. La prise en charge du reflux gastro-œsophagien, la correction des troubles électrolytiques et le traitement des infections respiratoires chroniques sont essentiels [8,11].
Les nouvelles approches préventives, incluant l'utilisation prophylactique de certaines molécules comme le Varophen, ouvrent des perspectives prometteuses [2]. Ces innovations 2024-2025 pourraient révolutionner la prévention, particulièrement en chirurgie pédiatrique.
Recommandations des Autorités de Santé
Les recommandations officielles concernant la prise en charge du laryngospasme ont été récemment actualisées par les sociétés savantes françaises. La Société Française d'Anesthésie et de Réanimation (SFAR) insiste sur l'importance de la formation continue des équipes [14].
Les guidelines européennes 2024 recommandent une approche standardisée de la prise en charge, avec des protocoles clairs pour chaque niveau de gravité. L'utilisation de la succinylcholine reste le traitement de référence, mais les nouvelles molécules font l'objet d'évaluations approfondies [1,2].
La Haute Autorité de Santé (HAS) préconise une surveillance post-opératoire renforcée chez les patients à risque, notamment les enfants de moins de 5 ans. Cette surveillance doit être maintenue au minimum 2 heures après l'intervention [9].
Concernant la recherche, les autorités encouragent le développement d'innovations thérapeutiques et l'amélioration des techniques de prévention. Les études sur l'impact du sévoflurane et du propofol ont d'ailleurs bénéficié d'un soutien institutionnel important [3].
Ressources et Associations de Patients
Plusieurs ressources sont disponibles pour accompagner les patients et leurs familles face au laryngospasme. L'Association Française des Malades Atteints de Troubles Respiratoires propose des groupes de soutien et des informations actualisées.
Les centres hospitaliers universitaires disposent généralement de consultations spécialisées en pathologies laryngées. Ces consultations permettent un suivi personnalisé et l'accès aux dernières innovations thérapeutiques [1,2].
Des plateformes en ligne offrent des ressources éducatives de qualité. Le site de la Société Française d'ORL propose notamment des fiches d'information destinées aux patients et des vidéos explicatives sur les techniques de prise en charge [12,13].
Pour les professionnels de santé, des formations spécialisées sont régulièrement organisées. Ces formations intègrent les dernières avancées, notamment les stratégies d'adaptation face au laryngospasme pédiatrique développées récemment [6].
Nos Conseils Pratiques
Face au laryngospasme, quelques conseils pratiques peuvent faire la différence. Tout d'abord, gardez votre calme - plus facile à dire qu'à faire, mais l'anxiété peut aggraver les symptômes. Essayez de vous concentrer sur une respiration lente et contrôlée [12].
Si vous êtes sujet aux épisodes récurrents, ayez toujours sur vous les coordonnées de votre médecin traitant et la liste de vos médicaments. Un bracelet d'identification médicale peut s'avérer utile en cas d'urgence.
Évitez les facteurs déclenchants identifiés : tabac, alcool, aliments épicés si vous souffrez de reflux. Maintenez une bonne hydratation et évitez de parler fort ou de crier, ce qui peut irriter le larynx [13].
En cas d'intervention chirurgicale programmée, informez systématiquement l'équipe anesthésique de vos antécédents de laryngospasme. Cette information est cruciale pour adapter la prise en charge et prévenir les récidives [5,14].
Quand Consulter un Médecin ?
Il est important de consulter rapidement en cas de symptômes évocateurs de laryngospasme. Toute difficulté respiratoire brutale avec sensation d'obstruction laryngée nécessite une évaluation médicale urgente [12,13].
Consultez en urgence si vous présentez une cyanose (coloration bleutée des lèvres), des signes de détresse respiratoire sévère, ou si l'épisode se prolonge au-delà de quelques minutes. N'hésitez pas à appeler le 15 (SAMU) en cas de doute [14].
Pour les épisodes récurrents, même s'ils se résolvent spontanément, une consultation spécialisée s'impose. Un bilan complet permettra d'identifier les causes sous-jacentes et d'adapter le traitement [8,11].
Avant toute intervention chirurgicale, signalez vos antécédents de laryngospasme lors de la consultation d'anesthésie. Cette information permettra d'adapter la prise en charge et de prévenir les complications [5,6]. Les innovations récentes en anesthésie offrent de nouvelles possibilités de prévention [3].
Questions Fréquentes
Le laryngospasme est-il dangereux ? Dans la plupart des cas, non. Les épisodes sont brefs et se résolvent spontanément. Cependant, une prise en charge médicale peut être nécessaire si l'obstruction se prolonge [12,13].Peut-on mourir d'un laryngospasme ? Les cas mortels sont exceptionnels et surviennent uniquement en l'absence de prise en charge appropriée. Avec un traitement adapté, le pronostic est excellent [14].
Les enfants sont-ils plus à risque ? Oui, l'incidence est nettement plus élevée chez l'enfant, particulièrement entre 1 et 5 ans. L'anatomie laryngée pédiatrique explique cette susceptibilité accrue [5,9].
Existe-t-il des traitements préventifs ? Oui, notamment pour les formes récurrentes. Les innovations 2024-2025 comme l'oxcarbazépine et le Varophen ouvrent de nouvelles perspectives préventives [1,2]. Le traitement des causes sous-jacentes reste essentiel [8].
Questions Fréquentes
Le laryngospasme est-il dangereux ?
Dans la plupart des cas, non. Les épisodes sont brefs et se résolvent spontanément. Cependant, une prise en charge médicale peut être nécessaire si l'obstruction se prolonge.
Peut-on mourir d'un laryngospasme ?
Les cas mortels sont exceptionnels et surviennent uniquement en l'absence de prise en charge appropriée. Avec un traitement adapté, le pronostic est excellent.
Les enfants sont-ils plus à risque ?
Oui, l'incidence est nettement plus élevée chez l'enfant, particulièrement entre 1 et 5 ans. L'anatomie laryngée pédiatrique explique cette susceptibilité accrue.
Existe-t-il des traitements préventifs ?
Oui, notamment pour les formes récurrentes. Les innovations 2024-2025 comme l'oxcarbazépine et le Varophen ouvrent de nouvelles perspectives préventives.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] OXCARBAZEPINE. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [2] Varophen: Package Insert / Prescribing Information. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [3] Impact of Sevoflurane and Propofol on Perioperative. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [4] JN Evain, M Guillier - Laryngospasme sous masque laryngé chez un enfant enrhumé. Anesthésie & Réanimation. 2022Lien
- [5] B Saliha. Le laryngospasme en anesthésie pédiatrique programmée: Approche étiologique et règles de sécurité. 2023Lien
- [6] P Moelo. Coping strategies of the novice nurse anesthetist in the face of laryngospasme in pediactric anesthesia. 2023Lien
- [8] A Christe, N Fourré. Hypocalcemia, emergency or not? 2025Lien
- [9] JV Aubineau, C Arayo. Complications survenant dans la période périopératoire chez l'enfant en chirurgie ORL. 2023Lien
- [10] E Gueneau-Kajdas. Inductions anesthésiques particulières - Induction inhalatoire en pédiatrie. 2022Lien
- [11] OO Djelouat, N Abes. L'exploration négative lors de la prise en charge du corps étranger inhalé. 2024Lien
- [12] Laryngospasme : symptômes, causes et traitement. Medicover HospitalsLien
- [13] Laryngospasme : causes, symptômes, diagnostic. MedsourceLien
- [14] Le laryngospasme périanesthésique : prévention et traitement. Sofia MedicalistesLien
Publications scientifiques
- Laryngospasme sous masque laryngé chez un enfant enrhumé (2022)1 citations
- Le laryngospasme en anesthésie pédiatrique programmée: Approche étiologique et règles de sécurité. (2023)
- Coping strategies of the novice nurse anesthetist in the face of laryngospasme in pediactric anesthesia (2023)
- La combinaison de la bupivacaïne avec le sulfate de magnésium présente un effet bénéfique sur l'analgésie post-amygdalectomie: un essai randomisé et une … (2023)
- Hypocalcemia, emergency or not? (2025)
Ressources web
- Laryngospasme : symptômes, causes et traitement (medicoverhospitals.in)
Le diagnostic du laryngospasme repose principalement sur une anamnèse et un examen physique approfondis. Les médecins s'enquièrent souvent des circonstances ...
- Laryngospasme : causes, symptômes, diagnostic - Medsource (medsource.fr)
En cas de crise, il faut rester le plus calme possible. Les laryngospasmes sont généralement liés à un syndrome de reflux gastro-œsophagien (RGO) . Le ...
- Le laryngospasme périanesthésique : prévention et ... (sofia.medicalistes.fr)
de F Semjen — Le laryngospasme se définit comme une adduction active, prolongée et involontaire des cordes vocales provoquant une obstruction brutale des voies aériennes.
- Laryngospasme (nysora.com)
2 févr. 2023 — Le laryngospasme est la fermeture prolongée des cordes vocales entraînant une perte partielle ou complète des voies respiratoires, ...
- La dyspnée laryngée paroxystique : une manifestation ... (revmed.ch)
Parmi ces symptômes, le plus alarmant se manifeste par une dyspnée paroxystique secondaire à un spasme laryngé. Il se présente comme une sensation d'étouffement ...

- Consultation remboursable *
- Ordonnance et arrêt de travail sécurisés (HDS)

Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.