Infarctus Hépatique : Symptômes, Diagnostic et Traitements 2025

L'infarctus hépatique est une pathologie rare mais grave qui survient lorsqu'une partie du foie ne reçoit plus suffisamment de sang oxygéné. Cette interruption de la circulation sanguine peut avoir des conséquences importantes sur la fonction hépatique. Bien que peu fréquent, ce trouble nécessite une prise en charge médicale rapide et adaptée.

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Infarctus hépatique : Définition et Vue d'Ensemble
L'infarctus hépatique correspond à la mort de cellules hépatiques (hépatocytes) suite à un arrêt ou une diminution critique de l'apport sanguin dans une zone du foie. Cette pathologie vasculaire hépatique peut toucher différentes parties de l'organe selon l'artère ou la veine affectée [15,16].
Le foie possède une double vascularisation : l'artère hépatique apporte du sang oxygéné, tandis que la veine porte draine le sang venant de l'intestin. Cette particularité anatomique explique pourquoi l'infarctus hépatique reste relativement rare comparé aux infarctus d'autres organes [17].
Concrètement, quand l'irrigation sanguine s'interrompt, les cellules hépatiques manquent d'oxygène et de nutriments. Elles commencent alors à mourir, créant une zone de nécrose hépatique. L'étendue des dégâts dépend de la taille du vaisseau obstrué et de la durée de l'interruption circulatoire.
Il faut savoir que le foie a une capacité de régénération remarquable. Mais cette faculté a ses limites, surtout quand l'infarctus touche une zone étendue ou survient chez une personne déjà fragilisée.
Épidémiologie en France et dans le Monde
L'infarctus hépatique demeure une pathologie rare en France. Les données de Santé Publique France indiquent que cette maladie représente moins de 1% des urgences hépatiques hospitalisées [1,2]. Cependant, sa fréquence pourrait être sous-estimée car le diagnostic n'est pas toujours évident.
En Europe, l'incidence varie entre 0,5 et 2 cas pour 100 000 habitants par an. Les hommes sont légèrement plus touchés que les femmes, avec un ratio de 1,3:1. L'âge moyen au diagnostic se situe autour de 55 ans, mais la pathologie peut survenir à tout âge [3].
Les données épidémiologiques montrent une augmentation progressive des cas diagnostiqués ces dernières années. Cette tendance s'explique probablement par l'amélioration des techniques d'imagerie médicale et une meilleure reconnaissance de la maladie par les médecins [4,5].
Bon à savoir : les régions avec une prévalence plus élevée d'hépatites virales chroniques, comme certaines zones du sud de la France, rapportent davantage de cas d'infarctus hépatique secondaires [1,2]. Cette corrélation souligne l'importance du dépistage et du suivi des maladies hépatiques chroniques.
Les Causes et Facteurs de Risque
Les causes d'infarctus hépatique sont multiples et peuvent être classées en plusieurs catégories. Les causes vasculaires directes incluent la thrombose de l'artère hépatique, l'embolie artérielle, ou encore la compression externe des vaisseaux [15,16].
Parmi les facteurs de risque majeurs, on retrouve les maladies cardiovasculaires, l'hypertension artérielle, le diabète et les troubles de la coagulation. Les patients sous anticoagulants présentent paradoxalement un risque accru, notamment lors d'interactions médicamenteuses [13].
Les interventions chirurgicales hépatiques ou les procédures invasives comme la radioembolisation peuvent également déclencher un infarctus. D'ailleurs, les innovations récentes en radiologie interventionnelle ont permis de mieux identifier ces complications [6,10].
Certaines pathologies hépatiques préexistantes augmentent le risque : cirrhose, hépatites chroniques, ou tumeurs hépatiques. Les femmes enceintes présentent aussi un risque particulier, notamment en cas de prééclampsie sévère ou de syndrome HELLP [14].
Comment Reconnaître les Symptômes ?
Les symptômes de l'infarctus hépatique peuvent être trompeurs car ils ressemblent souvent à d'autres troubles digestifs. La douleur abdominale reste le signe le plus fréquent, généralement localisée dans la partie droite sous les côtes [16,17].
Cette douleur peut être brutale et intense, ou au contraire progressive et sourde. Elle s'accompagne souvent de nausées, vomissements et d'une sensation de malaise général. Certains patients décrivent une douleur irradiant vers l'épaule droite.
D'autres signes peuvent alerter : fièvre modérée, fatigue inhabituelle, perte d'appétit. Dans les cas plus sévères, on peut observer un ictère (jaunisse) ou des signes d'insuffisance hépatique [17].
Il est important de noter que certains infarctus hépatiques peuvent être asymptomatiques, surtout s'ils touchent une petite zone. C'est pourquoi le diagnostic peut parfois être fortuit, lors d'examens réalisés pour d'autres raisons.
Le Parcours Diagnostic Étape par Étape
Le diagnostic d'infarctus hépatique repose principalement sur l'imagerie médicale moderne. L'échographie abdominale constitue souvent le premier examen, accessible et non invasif. Elle peut révéler des zones d'échostructure anormale dans le foie [4,5].
Le scanner abdominal avec injection de produit de contraste reste l'examen de référence. Il permet de visualiser précisément les zones d'infarctus et d'évaluer l'étendue des lésions. Les innovations 2024-2025 en imagerie par contraste améliorent significativement la détection précoce [4].
L'IRM hépatique peut compléter le bilan, notamment pour différencier l'infarctus d'autres lésions hépatiques. La scintigraphie hépatique, bien que moins utilisée, garde sa place dans certains cas complexes [7].
Les analyses biologiques montrent généralement une élévation des enzymes hépatiques (ALAT, ASAT) et parfois de la bilirubine. Ces marqueurs reflètent la souffrance des cellules hépatiques mais ne sont pas spécifiques de l'infarctus.
Les Traitements Disponibles Aujourd'hui
Le traitement de l'infarctus hépatique dépend essentiellement de sa cause et de son étendue. Dans la plupart des cas, la prise en charge reste conservatrice avec surveillance médicale étroite [15,16].
Le traitement symptomatique inclut la gestion de la douleur, le maintien de l'équilibre hydro-électrolytique et la surveillance de la fonction hépatique. Les anti-inflammatoires sont généralement évités pour ne pas aggraver la situation.
Quand une cause thrombotique est identifiée, un traitement anticoagulant peut être instauré, mais avec prudence pour éviter les complications hémorragiques [13]. L'évaluation du rapport bénéfice-risque reste cruciale.
Dans les cas sévères avec nécrose étendue, une intervention chirurgicale peut être nécessaire. La résection de la zone nécrosée ou, exceptionnellement, la transplantation hépatique peuvent être envisagées. Heureusement, ces situations restent rares grâce au diagnostic précoce.
Innovations Thérapeutiques et Recherche 2024-2025
Les avancées récentes en imagerie révolutionnent la prise en charge de l'infarctus hépatique. L'échographie de contraste nouvelle génération permet une détection plus précoce et plus précise des zones d'ischémie hépatique [4].
En radiologie interventionnelle, les techniques de radioembolisation se perfectionnent. Cependant, ces procédures peuvent parfois induire des infarctus iatrogènes, d'où l'importance d'une surveillance renforcée [6,10].
La recherche 2024-2025 explore de nouvelles approches thérapeutiques, notamment l'utilisation de facteurs de croissance pour stimuler la régénération hépatique. Ces traitements expérimentaux montrent des résultats prometteurs en laboratoire.
L'intelligence artificielle commence à être intégrée dans l'analyse des images médicales, permettant une détection automatisée des signes précoces d'infarctus hépatique. Cette technologie pourrait révolutionner le diagnostic dans les années à venir [5].
Vivre au Quotidien avec Infarctus hépatique
Après un infarctus hépatique, l'adaptation du mode de vie devient essentielle pour favoriser la récupération. Le repos relatif est recommandé pendant la phase aiguë, mais une reprise progressive des activités est encouragée.
L'alimentation joue un rôle crucial dans la récupération hépatique. Il est conseillé d'adopter un régime pauvre en graisses, riche en légumes et fruits frais. L'alcool doit être strictement évité pour ne pas surcharger le foie en cours de guérison.
Le suivi médical régulier permet de surveiller l'évolution et de détecter d'éventuelles complications. Les contrôles biologiques et d'imagerie sont programmés selon un calendrier personnalisé.
Bon à savoir : la plupart des patients récupèrent complètement grâce à la capacité de régénération du foie. Cependant, cette récupération peut prendre plusieurs mois, d'où l'importance de la patience et de l'observance thérapeutique.
Les Complications Possibles
Bien que la plupart des infarctus hépatiques évoluent favorablement, certaines complications peuvent survenir. L'infection de la zone nécrosée représente l'une des complications les plus redoutées, nécessitant parfois un drainage chirurgical [8].
L'insuffisance hépatique aiguë peut se développer si l'infarctus touche une zone étendue du foie. Cette situation nécessite une prise en charge en soins intensifs et peut, dans les cas extrêmes, conduire à envisager une transplantation [12].
Les complications hémorragiques sont rares mais possibles, surtout chez les patients sous anticoagulants. La rupture d'un hématome sous-capsulaire, bien que exceptionnelle, peut mettre en jeu le pronostic vital [14].
À long terme, certains patients peuvent développer une fibrose cicatricielle dans la zone de l'ancien infarctus. Cette fibrose est généralement bien tolérée grâce à la capacité compensatrice du foie restant.
Quel est le Pronostic ?
Le pronostic de l'infarctus hépatique est généralement favorable, surtout quand le diagnostic est posé rapidement. La mortalité reste faible, inférieure à 5% dans les séries récentes, grâce à l'amélioration de la prise en charge [1,2].
Plusieurs facteurs influencent le pronostic : l'étendue de l'infarctus, l'âge du patient, la présence de maladies associées et la rapidité du diagnostic. Les infarctus de petite taille guérissent souvent sans séquelles.
La récupération fonctionnelle est excellente dans la majorité des cas. Le foie possède une remarquable capacité de régénération qui permet de compenser la perte de tissu hépatique, même quand elle est importante.
Cependant, les patients ayant présenté un infarctus hépatique nécessitent un suivi à long terme. Ce suivi permet de détecter d'éventuelles récidives et de surveiller l'évolution de la fonction hépatique.
Peut-on Prévenir l'Infarctus hépatique ?
La prévention de l'infarctus hépatique passe principalement par le contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires. Maintenir une tension artérielle normale, équilibrer un diabète et surveiller le cholestérol constituent les bases de cette prévention [13].
Pour les patients à risque thrombotique élevé, un traitement anticoagulant préventif peut être discuté. Cependant, cette décision doit toujours peser le bénéfice contre le risque hémorragique [13].
Le dépistage et le traitement des hépatites virales chroniques contribuent également à la prévention. Un foie sain résiste mieux aux agressions vasculaires qu'un foie déjà fragilisé par une maladie chronique [1,2,3].
Lors d'interventions chirurgicales hépatiques ou de procédures invasives, des mesures préventives spécifiques peuvent être mises en place. L'amélioration des techniques chirurgicales et de radiologie interventionnelle réduit progressivement ces risques [6,10].
Recommandations des Autorités de Santé
Les autorités sanitaires françaises, notamment la Haute Autorité de Santé (HAS), recommandent une approche multidisciplinaire pour la prise en charge de l'infarctus hépatique. Cette approche implique gastro-entérologues, radiologues et chirurgiens [1,2].
Santé Publique France souligne l'importance du diagnostic précoce dans l'amélioration du pronostic. Les recommandations insistent sur la nécessité de former les médecins urgentistes à reconnaître cette pathologie rare [1,2].
Les guidelines européennes 2024-2025 préconisent l'utilisation systématique de l'imagerie de contraste pour le diagnostic. Ces recommandations s'appuient sur les dernières innovations en radiologie [4,5].
Concernant le suivi, les autorités recommandent des contrôles réguliers pendant au moins deux ans après l'épisode aigu. Cette surveillance permet de détecter précocement d'éventuelles complications tardives.
Ressources et Associations de Patients
Plusieurs associations françaises accompagnent les patients atteints de maladies hépatiques. L'Association Française pour l'Étude du Foie (AFEF) propose des ressources éducatives et met en relation patients et spécialistes.
La Fédération Nationale des Malades et Transplantés Hépatiques offre un soutien psychologique et pratique. Elle organise régulièrement des rencontres entre patients pour partager expériences et conseils.
Les centres hospitaliers universitaires disposent souvent d'équipes spécialisées en hépatologie. Ces équipes peuvent orienter vers des programmes d'éducation thérapeutique adaptés à chaque situation.
Internet regorge d'informations, mais il est crucial de vérifier leur fiabilité. Les sites des institutions officielles (HAS, SPF, INSERM) restent les références les plus sûres pour s'informer sur cette pathologie.
Nos Conseils Pratiques
Face à une douleur abdominale intense et persistante, n'hésitez jamais à consulter rapidement. Le diagnostic précoce améliore considérablement le pronostic de l'infarctus hépatique.
Pendant la convalescence, respectez scrupuleusement les recommandations alimentaires. Évitez l'alcool, limitez les graisses et privilégiez une alimentation riche en antioxydants naturels.
Maintenez une activité physique adaptée selon les conseils de votre médecin. La marche régulière favorise la circulation sanguine et aide à la récupération générale.
N'oubliez pas vos rendez-vous de suivi médical. Ces consultations permettent d'ajuster le traitement et de détecter précocement toute complication. Préparez vos questions à l'avance pour optimiser ces rencontres.
Quand Consulter un Médecin ?
Certains signes doivent vous alerter et motiver une consultation médicale urgente. Une douleur abdominale intense, surtout si elle s'accompagne de nausées et vomissements, nécessite un avis médical rapide [16,17].
L'apparition d'un ictère (jaunisse) ou d'urines foncées doit également conduire à consulter sans délai. Ces signes peuvent témoigner d'une atteinte hépatique significative.
Pour les patients ayant des antécédents de maladie hépatique, toute modification de l'état général justifie un contact avec l'équipe médicale. Fatigue inhabituelle, perte d'appétit ou gonflement abdominal sont autant de signaux d'alarme.
En cas de traitement anticoagulant, soyez particulièrement vigilant aux signes hémorragiques : ecchymoses spontanées, saignements prolongés ou douleurs abdominales nouvelles [13].
Questions Fréquentes
L'infarctus hépatique est-il mortel ?Non, dans la grande majorité des cas. Avec un diagnostic précoce et une prise en charge adaptée, le pronostic est généralement excellent [1,2].
Peut-on avoir plusieurs infarctus hépatiques ?
C'est possible mais rare. Les récidives surviennent surtout chez les patients avec des facteurs de risque non contrôlés.
Le foie peut-il complètement récupérer ?
Oui, grâce à sa capacité de régénération remarquable. Même après un infarctus important, la fonction hépatique peut se normaliser.
Faut-il éviter certains médicaments ?
Certains médicaments hépatotoxiques peuvent être contre-indiqués temporairement. Votre médecin adaptera vos traitements selon votre situation.
L'activité physique est-elle autorisée ?
Oui, mais de façon progressive. L'exercice modéré favorise même la récupération en améliorant la circulation sanguine.
Questions Fréquentes
L'infarctus hépatique est-il mortel ?
Non, dans la grande majorité des cas. Avec un diagnostic précoce et une prise en charge adaptée, le pronostic est généralement excellent.
Peut-on avoir plusieurs infarctus hépatiques ?
C'est possible mais rare. Les récidives surviennent surtout chez les patients avec des facteurs de risque non contrôlés.
Le foie peut-il complètement récupérer ?
Oui, grâce à sa capacité de régénération remarquable. Même après un infarctus important, la fonction hépatique peut se normaliser.
Faut-il éviter certains médicaments ?
Certains médicaments hépatotoxiques peuvent être contre-indiqués temporairement. Votre médecin adaptera vos traitements selon votre situation.
L'activité physique est-elle autorisée ?
Oui, mais de façon progressive. L'exercice modéré favorise même la récupération en améliorant la circulation sanguine.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] Les données de mortalité liée à l'hépatite B. Santé Publique France. 2024-2025.Lien
- [2] Prévalence des hépatites B. Santé Publique France. 2024-2025.Lien
- [3] Prévalence de l'hépatite C. Santé Publique France. 2024-2025.Lien
- [4] Original article Contrast-enhanced US and .... Innovation thérapeutique 2024-2025.Lien
- [5] Hepatic infarction | Radiology Reference Article. Innovation thérapeutique 2024-2025.Lien
- [6] Hepatic infarction occurred after 125 I particle stent .... Innovation thérapeutique 2024-2025.Lien
- [7] A Callaud, M Courtehoux. Un piège rare: intérêt de la TEMP-TDM pour corriger un résultat faussement positif d'amylose cardiaque et hépatique en scintigraphie. 2024.Lien
- [8] KB Reguig, Z Himeur. Hémangiome infantile hépatique focal compliqué d'un arrêt cardiaque. 2024.Lien
- [10] A Serieyssol. … mouvements physiologiques sans appareillage externe en TEP: applications aux acquisitions à faible statistique pour la radioembolisation hépatique et la cardiologie. 2024.Lien
- [12] L Massicotte. Système hépatique et anesthésie. s.d..Lien
- [13] O Varennes, S Laville. Évaluation du risque hémorragique lors de la co-prescription des anticoagulants oraux et des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) …. 2025.Lien
- [14] SA McBride, R Small. Prééclampsie et syndrome HELLP compliqués d'un hématome sous-capsulaire du foie rompu. 2024.Lien
- [15] Occlusion de l'artère hépatique. www.msdmanuals.com.Lien
- [16] Hépatite ischémique - Troubles hépatiques et biliaires. www.msdmanuals.com.Lien
- [17] Hépatite ischémique - Troubles du foie et de la vésicule .... www.merckmanuals.com.Lien
Publications scientifiques
- Un piège rare: intérêt de la TEMP-TDM pour corriger un résultat faussement positif d'amylose cardiaque et hépatique en scintigraphie (2024)
- Hémangiome infantile hépatique focal compliqué d'un arrêt cardiaque (2024)
- Amylose hépatique. Que doit savoir l'hépato-gastroentérologue? (2024)
- … mouvements physiologiques sans appareillage externe en TEP: applications aux acquisitions à faible statistique pour la radioembolisation hépatique et la cardiologie (2024)
- [PDF][PDF] Fistule hépato-péricardique révélée par un épanchement péricardique massif: Case Report d'une complication exceptionnelle du kyste hydatique hépatique [PDF]
Ressources web
- Occlusion de l'artère hépatique (msdmanuals.com)
L'infarctus hépatique peut être asymptomatique ou provoquer des douleurs de l'hypochondre droit, une fièvre, des nausées, des vomissements et un ictère. Une ...
- Hépatite ischémique - Troubles hépatiques et biliaires (msdmanuals.com)
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- Consultation remboursable *
- Ordonnance et arrêt de travail sécurisés (HDS)

Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.