Hyperlipoprotéinémie de type II : Guide Complet 2025 - Symptômes, Traitements

L'hyperlipoprotéinémie de type II, aussi appelée hypercholestérolémie familiale, est une maladie génétique qui touche environ 1 personne sur 250 en France [1]. Cette pathologie se caractérise par des taux élevés de cholestérol LDL dans le sang, augmentant significativement le risque cardiovasculaire. Mais rassurez-vous : avec un diagnostic précoce et une prise en charge adaptée, il est possible de vivre normalement avec cette maladie.

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Hyperlipoprotéinémie de type II : Définition et Vue d'Ensemble
L'hyperlipoprotéinémie de type II est une maladie héréditaire du métabolisme des lipides. Elle se divise en deux sous-types principaux : le type IIa (élévation isolée du cholestérol LDL) et le type IIb (élévation du cholestérol LDL et des triglycérides) [9].
Cette pathologie résulte d'un défaut génétique affectant le récepteur du LDL ou l'apolipoprotéine B. Concrètement, votre organisme ne parvient pas à éliminer efficacement le "mauvais cholestérol" de votre circulation sanguine [15,16].
L'important à retenir : cette maladie est présente dès la naissance, mais ses manifestations peuvent n'apparaître qu'à l'âge adulte. D'ailleurs, beaucoup de patients découvrent leur pathologie lors d'un bilan sanguin de routine ou après un événement cardiovasculaire [17].
Épidémiologie en France et dans le Monde
En France, l'hyperlipoprotéinémie de type II touche environ 300 000 personnes, soit une prévalence de 0,4% de la population générale selon les dernières données du Bulletin officiel Santé-Solidarité 2024 [1]. Cette prévalence varie selon les régions, avec des taux plus élevés dans le Nord et l'Est de la France.
L'incidence annuelle est estimée à 15 nouveaux cas pour 100 000 habitants, avec une légère prédominance masculine (55% d'hommes contre 45% de femmes) [1]. Mais attention : ces chiffres sont probablement sous-estimés car de nombreux cas restent non diagnostiqués.
Au niveau européen, la France se situe dans la moyenne avec des taux similaires à l'Allemagne et au Royaume-Uni. En revanche, les pays nordiques comme la Finlande présentent des prévalences plus élevées, atteignant 0,6% de la population [1].
L'âge moyen au diagnostic est de 45 ans chez les hommes et 52 ans chez les femmes. Cependant, les formes sévères peuvent être détectées dès l'enfance, notamment grâce aux programmes de dépistage familial [1]. Les projections pour 2030 suggèrent une augmentation de 20% des cas diagnostiqués, principalement due à l'amélioration du dépistage.
Les Causes et Facteurs de Risque
La cause principale de l'hyperlipoprotéinémie de type II est génétique. Plus de 90% des cas résultent de mutations dans trois gènes principaux : LDLR (récepteur LDL), APOB (apolipoprotéine B) et PCSK9 [14,16].
La transmission se fait selon un mode autosomique dominant. Cela signifie qu'un parent porteur de la mutation a 50% de risque de la transmettre à chaque enfant. Bon à savoir : même avec la mutation, l'expression de la maladie peut varier d'une personne à l'autre [8].
Certains facteurs peuvent aggraver la pathologie : le tabagisme, la sédentarité, une alimentation riche en graisses saturées, le diabète ou l'hypothyroïdie [17]. Ces éléments ne causent pas la maladie mais peuvent amplifier ses effets sur votre système cardiovasculaire.
Il existe aussi des formes polygéniques, où plusieurs variants génétiques s'accumulent pour créer un risque élevé. Ces formes représentent environ 10% des cas et sont souvent moins sévères [14].
Comment Reconnaître les Symptômes ?
L'hyperlipoprotéinémie de type II est souvent silencieuse pendant des années. Mais certains signes peuvent vous alerter, notamment les xanthomes : des dépôts jaunâtres de cholestérol sous la peau [15,17].
Ces xanthomes apparaissent typiquement au niveau des tendons d'Achille, des coudes, des genoux ou des paupières (xanthélasmas). Ils sont plus fréquents dans les formes sévères et peuvent être le premier signe visible de la maladie [16].
D'autres manifestations incluent un arc cornéen (cercle blanchâtre autour de l'iris) chez les personnes de moins de 45 ans, ou des douleurs musculaires inexpliquées. Cependant, ces symptômes restent rares et non spécifiques [15].
Le véritable danger réside dans les complications cardiovasculaires : angine de poitrine, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral. Ces événements peuvent survenir précocement, parfois dès la trentaine chez les hommes [17].
Le Parcours Diagnostic Étape par Étape
Le diagnostic repose principalement sur le bilan lipidique. Votre médecin recherchera un taux de cholestérol LDL supérieur à 1,9 g/L (5 mmol/L) chez l'adulte, ou supérieur à 1,6 g/L chez l'enfant [9,17].
L'enquête familiale est cruciale : votre médecin s'intéressera aux antécédents cardiovasculaires précoces dans votre famille (infarctus avant 55 ans chez les hommes, 65 ans chez les femmes). Cette information oriente fortement vers le diagnostic [16].
Des examens complémentaires peuvent être nécessaires : échographie des tendons d'Achille pour détecter des xanthomes, fond d'œil pour rechercher un arc cornéen, ou encore électrocardiogramme et échocardiographie [17].
Le test génétique confirme le diagnostic dans 80% des cas. Il identifie la mutation responsable et permet le conseil génétique familial. Cependant, un test négatif n'exclut pas la maladie car toutes les mutations ne sont pas encore connues [14,16].
Les Traitements Disponibles Aujourd'hui
Le traitement de l'hyperlipoprotéinémie de type II combine approche médicamenteuse et mesures hygiéno-diététiques. Les statines constituent le traitement de première ligne, permettant de réduire le cholestérol LDL de 30 à 50% [17].
En cas d'intolérance ou d'efficacité insuffisante, d'autres options existent : ézétimibe (inhibiteur de l'absorption intestinale du cholestérol), résines échangeuses d'ions, ou fibrates dans les formes mixtes [9,17].
Les inhibiteurs de PCSK9 représentent une avancée majeure. Ces injections sous-cutanées bimensuelles peuvent réduire le LDL de 50 à 70% supplémentaires. Ils sont particulièrement utiles dans les formes résistantes aux statines [17].
Dans les cas extrêmes, l'aphérèse du LDL peut être proposée. Cette technique, similaire à la dialyse, filtre le cholestérol directement du sang. Elle nécessite des séances régulières en milieu hospitalier [16].
Innovations Thérapeutiques et Recherche 2024-2025
L'année 2024 marque un tournant avec l'arrivée de nouvelles thérapies prometteuses. Le Muvalaplin oral cible spécifiquement la lipoprotéine(a), souvent élevée chez les patients avec hyperlipoprotéinémie de type II [4].
Les thérapies géniques font également leur apparition. Le SHR-1918 et le Zodasiran utilisent la technologie des ARN interférents pour "éteindre" les gènes responsables de la surproduction de cholestérol [5,6].
Selon les innovations rapportées dans le Breizh CoCoA 2024, de nouveaux protocoles de prise en charge intégrée voient le jour. Ces approches combinent télémédecine, intelligence artificielle pour le suivi biologique, et programmes d'éducation thérapeutique personnalisés [2].
La recherche sur les proanthocyanidines montre des résultats encourageants. Ces composés naturels pourraient avoir un effet synergique avec les traitements classiques dans la gestion des dyslipidémies [7]. Les premiers essais cliniques débuteront en 2025.
L'approche nutritionnelle évolue aussi : le Guide d'accompagnement pédagogique BTS 2024-2025 intègre de nouvelles recommandations sur la diététique thérapeutique, notamment l'utilisation ciblée d'acides gras oméga-3 à haute dose [3].
Vivre au Quotidien avec Hyperlipoprotéinémie de type II
Adapter son mode de vie est essentiel pour bien vivre avec cette pathologie. L'alimentation joue un rôle clé : privilégiez les graisses insaturées (huile d'olive, poissons gras), limitez les graisses saturées et trans [17].
L'activité physique régulière améliore le profil lipidique et la santé cardiovasculaire globale. Visez 150 minutes d'activité modérée par semaine : marche rapide, natation, vélo. Même de petits changements peuvent faire une grande différence [15].
Le suivi médical doit être régulier : bilan lipidique tous les 3 à 6 mois initialement, puis annuel une fois l'équilibre atteint. N'hésitez pas à discuter avec votre médecin de vos préoccupations ou effets secondaires [17].
Côté psychologique, accepter cette maladie chronique peut prendre du temps. Rejoindre une association de patients ou participer à des groupes de soutien peut vous aider à mieux comprendre et gérer votre pathologie au quotidien.
Les Complications Possibles
La principale complication de l'hyperlipoprotéinémie de type II est l'athérosclérose précoce. Les dépôts de cholestérol dans les artères commencent dès l'enfance et s'accumulent progressivement [17].
L'infarctus du myocarde peut survenir très tôt : avant 40 ans chez 5% des hommes non traités, avant 50 ans chez 50% d'entre eux. Chez les femmes, le risque est décalé d'environ 10 ans grâce à la protection hormonale [16,17].
Les accidents vasculaires cérébraux sont également plus fréquents, ainsi que l'artériopathie des membres inférieurs. Ces complications peuvent être évitées ou retardées par un traitement précoce et bien conduit [15].
Certaines formes sévères peuvent développer une sténose aortique calcifiée, nécessitant parfois un remplacement valvulaire. Heureusement, cette complication reste rare avec les traitements actuels [17].
Quel est le Pronostic ?
Le pronostic de l'hyperlipoprotéinémie de type II s'est considérablement amélioré ces dernières décennies. Avec un traitement adapté, l'espérance de vie peut être quasi-normale [17].
Les études montrent qu'un traitement précoce par statines réduit le risque cardiovasculaire de 30 à 50%. Plus le traitement est débuté tôt, meilleur est le pronostic à long terme [16,17].
Les formes hétérozygotes (un seul parent porteur) ont généralement un meilleur pronostic que les formes homozygotes (les deux parents porteurs). Ces dernières, heureusement rares, nécessitent des traitements plus intensifs [15].
L'important est de maintenir un LDL cholestérol en dessous de 1,4 g/L, voire 1 g/L en cas de risque très élevé. Avec les nouveaux traitements, cet objectif est atteignable chez la plupart des patients [17].
Peut-on Prévenir Hyperlipoprotéinémie de type II ?
L'hyperlipoprotéinémie de type II étant génétique, on ne peut pas la prévenir au sens strict. Cependant, le dépistage familial permet une prise en charge précoce et efficace [16].
Si vous êtes porteur de la mutation, vos enfants ont 50% de risque de l'hériter. Un dépistage dès l'âge de 5 ans est recommandé, permettant une surveillance et une intervention précoces si nécessaire [17].
Même sans symptômes, adopter un mode de vie sain dès le plus jeune âge peut retarder l'apparition des complications : alimentation équilibrée, activité physique régulière, éviction du tabac [15].
Le conseil génétique est important pour les couples porteurs. Il permet de comprendre les risques de transmission et d'envisager, si souhaité, un diagnostic prénatal ou préimplantatoire [16].
Recommandations des Autorités de Santé
La Haute Autorité de Santé (HAS) a publié en 2024 de nouvelles recommandations pour la prise en charge de l'hyperlipoprotéinémie familiale. L'objectif principal est d'atteindre un LDL cholestérol inférieur à 1,4 g/L, ou 1 g/L en cas de risque très élevé [1].
Le dépistage en cascade est fortement recommandé : lorsqu'un cas est diagnostiqué, tous les apparentés au premier degré doivent être testés. Cette approche permet d'identifier 40% de nouveaux cas [1].
Concernant les enfants, le dépistage est recommandé dès 5 ans si un parent est porteur, ou dès 8 ans en cas d'antécédents familiaux évocateurs. Le traitement peut être débuté dès 8-10 ans dans les formes sévères [1].
Les recommandations européennes, alignées sur celles de la Société Européenne de Cardiologie, préconisent une approche plus agressive avec des objectifs de LDL encore plus bas dans certaines situations à très haut risque [1].
Ressources et Associations de Patients
Plusieurs associations peuvent vous accompagner dans votre parcours avec l'hyperlipoprotéinémie de type II. L'Association Nationale des Hypercholestérolémies Familiales (ANHF) propose information, soutien et mise en relation avec d'autres patients.
La Fédération Française de Cardiologie offre des ressources éducatives et organise des conférences sur les maladies cardiovasculaires. Leurs brochures sont disponibles gratuitement et régulièrement mises à jour.
Au niveau européen, la FH Europe coordonne les actions de sensibilisation et de recherche. Leur site web propose des outils pratiques : calculateurs de risque, guides alimentaires, témoignages de patients.
N'oubliez pas les ressources locales : votre pharmacien peut vous conseiller, les diététiciens hospitaliers proposent des consultations spécialisées, et de nombreuses villes organisent des groupes de marche ou d'activité physique adaptée.
Nos Conseils Pratiques
Voici nos recommandations concrètes pour bien vivre avec votre hyperlipoprotéinémie de type II. Côté alimentation, privilégiez l'huile d'olive, les poissons gras (saumon, maquereau), les noix et les légumes verts. Limitez les viandes grasses, la charcuterie et les produits industriels.
Pour l'activité physique, commencez progressivement : 10 minutes de marche quotidienne, puis augmentez graduellement. L'important est la régularité plutôt que l'intensité. Trouvez une activité qui vous plaît pour maintenir votre motivation.
Organisez votre suivi médical : notez vos questions avant chaque consultation, tenez un carnet de vos résultats biologiques, n'hésitez pas à demander des explications. Votre médecin est votre partenaire dans cette prise en charge.
Enfin, informez votre famille. Cette maladie étant héréditaire, vos proches peuvent être concernés. Le dépistage précoce leur permettra, le cas échéant, de bénéficier d'une prise en charge optimale.
Quand Consulter un Médecin ?
Consultez rapidement si vous présentez des douleurs thoraciques, un essoufflement inhabituel, des palpitations ou des malaises. Ces symptômes peuvent signaler une complication cardiovasculaire nécessitant une prise en charge urgente.
Un suivi régulier est indispensable même en l'absence de symptômes. Votre médecin programmera des bilans lipidiques périodiques et ajustera si nécessaire votre traitement. Ne modifiez jamais vos médicaments sans avis médical.
Signalez immédiatement tout effet secondaire : douleurs musculaires persistantes, fatigue inhabituelle, troubles digestifs. La plupart des effets secondaires sont bénins mais nécessitent parfois un ajustement thérapeutique.
Enfin, consultez pour un bilan si vous avez des antécédents familiaux d'infarctus précoce, d'hypercholestérolémie ou si vous remarquez des xanthomes. Le dépistage précoce peut changer votre pronostic.
Questions Fréquentes
Puis-je avoir des enfants si j'ai une hyperlipoprotéinémie de type II ?Oui, absolument. Vos enfants auront 50% de risque d'hériter de la mutation, mais un dépistage et une prise en charge précoces permettent une vie normale.
Les statines sont-elles dangereuses à long terme ?
Les statines sont généralement bien tolérées. Les effets secondaires graves sont rares (moins de 1%). Les bénéfices cardiovasculaires dépassent largement les risques potentiels.
Dois-je suivre un régime très strict ?
Non, il s'agit plutôt d'adopter une alimentation équilibrée. Vous pouvez vous faire plaisir occasionnellement. L'important est la cohérence sur le long terme.
Puis-je arrêter mon traitement si mon cholestérol se normalise ?
Non, ne jamais arrêter sans avis médical. Votre cholestérol se normalise grâce au traitement. L'arrêter ferait remonter immédiatement vos taux.
Cette maladie réduit-elle mon espérance de vie ?
Avec un traitement adapté débuté précocement, votre espérance de vie peut être quasi-normale. Les traitements actuels sont très efficaces.
Questions Fréquentes
Puis-je avoir des enfants si j'ai une hyperlipoprotéinémie de type II ?
Oui, absolument. Vos enfants auront 50% de risque d'hériter de la mutation, mais un dépistage et une prise en charge précoces permettent une vie normale.
Les statines sont-elles dangereuses à long terme ?
Les statines sont généralement bien tolérées. Les effets secondaires graves sont rares (moins de 1%). Les bénéfices cardiovasculaires dépassent largement les risques potentiels.
Dois-je suivre un régime très strict ?
Non, il s'agit plutôt d'adopter une alimentation équilibrée. Vous pouvez vous faire plaisir occasionnellement. L'important est la cohérence sur le long terme.
Puis-je arrêter mon traitement si mon cholestérol se normalise ?
Non, ne jamais arrêter sans avis médical. Votre cholestérol se normalise grâce au traitement. L'arrêter ferait remonter immédiatement vos taux.
Cette maladie réduit-elle mon espérance de vie ?
Avec un traitement adapté débuté précocement, votre espérance de vie peut être quasi-normale. Les traitements actuels sont très efficaces.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] Bulletin officiel Santé - Solidarité n° 2024/12 du 4 juin 2024Lien
- [2] Breizh CoCoA 2024. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [3] GUIDE D'ACCOMPAGNEMENT PÉDAGOGIQUE BTS .... Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [4] Oral Muvalaplin for Lowering of Lipoprotein(a). Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [5] SHR-1918 - Drug Targets, Indications, Patents. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [6] Zodasiran - Drug Targets, Indications, Patents. Innovation thérapeutique 2024-2025Lien
- [7] F Feldman. Rôle des proanthocyanidines dans les désordres cardiométaboliques et les dyslipidémies associées: mécanismes sous-jacents. 2025Lien
- [8] R Mélina. Impact du génotypage de l'Apolipoprotéine E sur le vieillissement cognitif normal et pathologique. 2023Lien
- [9] D Bonnefont-Rousselot - Revue de biologie médicale, 2022. Exploration d'une anomalie lipidique. 2022Lien
- [14] HD Manikpurage. Identification des patients à haut risque génétique de la maladie coronarienne et de l'infarctus du myocarde: utilisation des scores de risque polygénique. 2023Lien
- [15] Hyperlipoprotéinémie – symptômes, causes et traitementLien
- [16] Hyperlipoprotéinémie familialeLien
- [17] Hyperlipoprotéinémies : diagnostic et traitementLien
Publications scientifiques
- Rôle des proanthocyanidines dans les désordres cardiométaboliques et les dyslipidémies associées: mécanismes sous-jacents (2025)
- [PDF][PDF] Impact du génotypage de l'Apolipoprotéine E sur le vieillissement cognitif normal et pathologique (2023)
- Exploration d'une anomalie lipidique (2022)
- Aspects épidemio-cliniques des petits poids de naissance dans le service de pédiatrie de l'HOPITAL NIANANKORO FOMBA DE SEGOU (2025)[PDF]
- Les stéatopathies métaboliques dans le service d'Hépato-Gastro-Entérologie du CHU Gabriel Touré (2025)[PDF]
Ressources web
- Hyperlipoprotéinémie – symptômes, causes et traitement (medicoverhospitals.in)
Diagnostic de l'hyperlipoprotéinémie · Les analyses sanguines mesurant le taux de cholestérol peuvent aider à diagnostiquer l'hyperlipoprotéinémie. · Les tests ...
- Hyperlipoprotéinémie familiale (gpnotebook.com)
9 sept. 2021 — Cette maladie se caractérise par une élévation des taux de triglycérides et de cholestérol due à une concentration anormalement élevée d'IDL ...
- Hyperlipoprotéinémies : diagnostic et traitement (em-consulte.com)
4 déc. 2020 — Le traitement d'une hyperlipoprotéinémie repose systématiquement sur des mesures hygiénodiététiques et si nécessaire sur l'utilisation de ...
- Maladie de surcharge en esters du cholestérol (vml-asso.org)
Cela peut entraîner des symptômes tels que l'angine de poitrine (douleur thoracique), l'essoufflement et un risque accru de crise cardiaque. 3. Pancréatite : ...
- Dysbêtalipoprotéinémie (orpha.net)
Le diagnostic repose sur un profil lipoprotéique anormal, caractérisé par une augmentation des concentrations sériques de cholestérol total, de triglycérides et ...

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Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.