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Myélographie : Guide Complet 2025 - Préparation, Déroulement, Résultats

Myélographie

La myélographie est un examen d'imagerie médicale spécialisé qui permet d'explorer la moelle épinière et les racines nerveuses. Cet examen combine l'injection d'un produit de contraste dans l'espace sous-arachnoïdien avec une imagerie par rayons X ou scanner. Bien que moins fréquemment utilisée depuis l'avènement de l'IRM, la myélographie reste un outil diagnostique précieux dans certaines situations cliniques spécifiques.

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Myélographie : Définition et Principe

La myélographie est une technique d'imagerie médicale qui consiste à injecter un produit de contraste iodé dans l'espace sous-arachnoïdien entourant la moelle épinière [1,12]. Cette injection permet de visualiser avec précision les structures nerveuses et de détecter d'éventuelles compressions ou anomalies.

Le principe repose sur l'opacification du liquide céphalorachidien par le produit de contraste. Une fois injecté, ce dernier se mélange au liquide céphalorachidien et permet de délimiter parfaitement les contours de la moelle épinière et des racines nerveuses [13]. L'examen est généralement couplé à un scanner (myéloscanner) pour obtenir des images en coupes transversales.

Contrairement à l'IRM qui utilise un champ magnétique, la myélographie fait appel aux rayons X. Cette différence technique explique pourquoi certains patients porteurs de matériel métallique peuvent bénéficier de cet examen quand l'IRM est contre-indiquée [14]. D'ailleurs, les innovations 2024-2025 ont permis d'améliorer significativement la qualité des images tout en réduisant la dose de rayonnement [7].

Pourquoi Prescrire Myélographie ?

Votre médecin peut vous prescrire une myélographie dans plusieurs situations cliniques précises. Les indications principales concernent les pathologies de la colonne vertébrale et de la moelle épinière qui nécessitent une exploration détaillée [1,2].

Les compressions médullaires représentent l'indication la plus fréquente. Qu'il s'agisse d'une hernie discale, d'une sténose canalaire ou d'une tumeur, la myélographie permet de localiser précisément le niveau et l'étendue de la compression [1]. Cette information est cruciale pour planifier une éventuelle intervention chirurgicale.

L'examen est également indiqué en cas de suspicion de fuite de liquide céphalorachidien. Les innovations 2024-2025 ont particulièrement amélioré la détection de ces fuites grâce à de nouvelles techniques d'imagerie dynamique [4,8]. En effet, l'hypotension intracrânienne spontanée, souvent liée à ces fuites, peut désormais être diagnostiquée plus précocement.

Chez certains patients, la myélographie reste l'examen de référence quand l'IRM est impossible ou insuffisante. C'est notamment le cas pour les porteurs de stimulateurs cardiaques anciens ou de matériel orthopédique volumineux [13]. Bon à savoir : les nouvelles recommandations 2025 précisent les indications de la myélographie cervicale, particulièrement dans le contexte de l'arthrose cervicale [1].

Comment se Préparer à l'Examen ?

La préparation à une myélographie nécessite quelques précautions importantes que vous devez respecter scrupuleusement. Votre équipe médicale vous remettra une fiche d'information détaillée lors de la prise de rendez-vous [12].

Concernant vos médicaments, certains traitements doivent être temporairement interrompus. Les anticoagulants et antiagrégants plaquettaires sont généralement arrêtés 3 à 5 jours avant l'examen, selon les recommandations de votre médecin [2]. Il est essentiel de ne jamais arrêter un traitement sans avis médical préalable.

Le jeûne est obligatoire dans les 6 heures précédant l'examen. Vous pouvez boire de l'eau claire jusqu'à 2 heures avant la myélographie [12,13]. Cette précaution permet d'éviter les nausées et vomissements qui peuvent survenir après l'injection du produit de contraste.

Pensez à apporter tous vos examens antérieurs : radiographies, scanners, IRM de la colonne vertébrale. Ces documents permettent au radiologue de mieux cibler l'exploration et d'adapter la technique [14]. D'ailleurs, n'hésitez pas à poser toutes vos questions lors de la consultation pré-examen.

Comment se Déroule l'Examen ?

Le déroulement d'une myélographie suit un protocole précis qui dure généralement entre 45 minutes et 1 heure. L'examen se déroule en salle de radiologie interventionnelle, dans des maladies d'asepsie stricte [2,12].

Vous serez d'abord installé en position assise ou couchée sur le côté, selon la zone à explorer. Le radiologue procède ensuite à une ponction lombaire sous anesthésie locale, généralement entre les vertèbres L3-L4 ou L4-L5 [2]. Cette étape peut occasionner une sensation de pression, mais elle n'est généralement pas douloureuse.

Une fois l'aiguille correctement positionnée dans l'espace sous-arachnoïdien, le produit de contraste est injecté lentement. Vous pourrez ressentir une sensation de chaleur ou un goût métallique dans la bouche, ce qui est tout à fait normal [13]. Le radiologue contrôle en temps réel la diffusion du produit grâce à la radioscopie.

Les clichés radiographiques sont ensuite réalisés dans différentes positions : debout, couché, parfois en flexion-extension. Si un myéloscanner est programmé, vous serez transféré vers la salle de scanner pour obtenir des images en coupes [14]. L'important à retenir : l'équipe médicale vous accompagne tout au long de l'examen et s'assure de votre confort.

Comprendre les Résultats

L'interprétation des résultats de myélographie nécessite l'expertise d'un radiologue spécialisé en imagerie rachidienne. Les images obtenues permettent d'analyser avec précision l'anatomie de la moelle épinière et des structures environnantes [1,13].

Un examen normal montre une opacification homogène du sac dural avec des contours réguliers de la moelle épinière. Les racines nerveuses apparaissent comme de fins filaments réguliers, sans interruption ni déformation [13]. Le produit de contraste se répartit uniformément dans l'espace sous-arachnoïdien.

Les anomalies les plus fréquemment détectées incluent les compressions médullaires, visibles sous forme d'arrêt ou d'amincissement de la colonne de contraste. Une hernie discale apparaît comme une empreinte sur le sac dural, tandis qu'une sténose canalaire se manifeste par un rétrécissement diffus [1]. Les tumeurs intra ou extradurales modifient également l'aspect normal de l'opacification.

Concernant les fuites de liquide céphalorachidien, les innovations 2024-2025 permettent désormais une détection plus précoce grâce aux techniques de myélographie dynamique [4,8]. Ces fuites apparaissent comme des extravasations du produit de contraste en dehors de l'espace sous-arachnoïdien. Votre médecin vous expliquera en détail les résultats et leurs implications thérapeutiques.

Risques et Contre-indications

Comme tout acte médical invasif, la myélographie comporte certains risques que vous devez connaître. Heureusement, les complications graves sont rares grâce aux progrès techniques et à l'expérience des équipes [2,12].

Les effets secondaires les plus fréquents sont les céphalées post-ponction lombaire, qui surviennent chez 10 à 30% des patients. Ces maux de tête, liés à la fuite de liquide céphalorachidien au point de ponction, disparaissent généralement en quelques jours avec du repos au lit [2,4]. En cas de persistance, un blood-patch peut être réalisé.

Les réactions allergiques au produit de contraste iodé restent possibles mais rares. Elles peuvent aller de l'urticaire simple au choc anaphylactique sévère [13]. C'est pourquoi votre médecin vous questionnera sur vos antécédents allergiques et pourra prescrire une prémédication si nécessaire.

Les contre-indications absolues incluent l'infection au site de ponction, l'hypertension intracrânienne sévère et l'allergie grave aux produits iodés [12]. Les troubles de la coagulation constituent une contre-indication relative qui nécessite une évaluation au cas par cas. Rassurez-vous : ces situations sont systématiquement dépistées lors de la consultation pré-examen.

Innovations Techniques 2024-2025

Les innovations technologiques récentes ont considérablement amélioré la qualité et la sécurité de la myélographie. Les avancées 2024-2025 portent principalement sur l'optimisation des techniques d'imagerie et la réduction des effets secondaires [1,7].

La myélographie numérique représente une avancée majeure. Cette technique permet de réduire significativement la dose de rayonnement tout en améliorant la résolution des images [7]. Les nouveaux détecteurs numériques offrent une sensibilité accrue qui permet d'utiliser moins de produit de contraste.

Les techniques de myélographie dynamique constituent une autre innovation importante, particulièrement pour la détection des fuites de liquide céphalorachidien. Ces nouvelles approches permettent d'identifier des fuites intermittentes qui échappaient aux techniques conventionnelles [4,6,8]. En effet, l'imagerie en temps réel améliore considérablement le diagnostic de l'hypotension intracrânienne spontanée.

L'intégration de l'intelligence artificielle dans l'interprétation des images commence également à faire son apparition. Ces outils d'aide au diagnostic permettent une détection plus précoce et plus précise des anomalies subtiles [7]. Concrètement, cela se traduit par des diagnostics plus rapides et plus fiables pour les patients.

Alternatives et Examens Complémentaires

Plusieurs alternatives à la myélographie existent selon votre situation clinique. L'IRM reste l'examen de première intention pour l'exploration de la moelle épinière, offrant d'excellents contrastes tissulaires sans injection de produit de contraste [13].

Le scanner sans injection peut parfois suffire pour détecter certaines pathologies osseuses ou calcifications. Cependant, il ne permet pas une visualisation optimale des structures nerveuses molles [14]. C'est pourquoi la myélographie garde ses indications spécifiques.

La cisternographie isotopique représente une alternative intéressante pour la recherche de fuites de liquide céphalorachidien. Cette technique utilise un traceur radioactif injecté dans l'espace sous-arachnoïdien [8]. Elle est particulièrement utile quand la myélographie conventionnelle n'a pas permis de localiser la fuite.

Dans certains cas, plusieurs examens sont complémentaires. Par exemple, une IRM peut être réalisée en première intention, suivie d'une myélographie si les résultats sont insuffisants pour la planification thérapeutique [1]. L'important est d'adapter la stratégie diagnostique à chaque patient et à chaque situation clinique.

Coût et Remboursement

Le coût d'une myélographie varie selon l'établissement et la région, mais l'examen est généralement bien pris en charge par l'Assurance Maladie. En secteur public, les tarifs sont encadrés par la nomenclature des actes médicaux [12].

La prise en charge par la Sécurité Sociale est de 70% du tarif de base pour un examen en ambulatoire. Si vous bénéficiez d'une ALD (Affection de Longue Durée) en rapport avec votre pathologie rachidienne, le remboursement peut être de 100% [12,13].

Votre mutuelle complète généralement le remboursement de la Sécurité Sociale. Il est conseillé de vérifier votre niveau de couverture avant l'examen, notamment si vous consultez en secteur privé où des dépassements d'honoraires sont possibles.

En cas de difficultés financières, n'hésitez pas à en parler avec l'assistante sociale de l'établissement. Des solutions d'aide au financement existent, car votre santé ne doit pas dépendre de vos moyens financiers. Bon à savoir : certains centres proposent des facilités de paiement pour les examens non urgents.

Où Réaliser cet Examen ?

La myélographie est un examen spécialisé qui ne peut être réalisé que dans certains établissements disposant d'un plateau technique adapté. Les centres hospitaliers universitaires (CHU) et les grandes cliniques privées sont généralement équipés [14].

Les services de radiologie interventionnelle sont les plus à même de réaliser cet examen dans de bonnes maladies. Ces services disposent du matériel nécessaire et de radiologues expérimentés dans cette technique [12]. La présence d'un service de neurochirurgie à proximité est également un gage de sécurité.

Certains centres d'imagerie privés proposent également la myélographie, mais ils doivent disposer d'un plateau technique complet incluant la radioscopie et le scanner. Vérifiez que le centre choisi a l'habitude de cet examen [13].

Pour choisir votre établissement, n'hésitez pas à demander conseil à votre médecin traitant ou à votre spécialiste. Ils connaissent les centres de référence de votre région et pourront vous orienter vers l'équipe la plus expérimentée. D'ailleurs, la proximité géographique n'est pas toujours le critère principal : mieux vaut parfois faire quelques kilomètres de plus pour bénéficier d'une expertise reconnue.

Délais et Disponibilité

Les délais d'attente pour une myélographie varient considérablement selon l'urgence de votre situation et la région. En cas d'urgence neurologique, l'examen peut être réalisé dans les 24 à 48 heures [2].

Pour les examens programmés, comptez généralement entre 2 et 6 semaines selon l'établissement et la période de l'année. Les délais sont souvent plus courts en secteur privé, mais les coûts peuvent être plus élevés [12,13].

Certaines situations prioritaires permettent d'accélérer la prise en charge : suspicion de compression médullaire évolutive, syndrome de la queue de cheval, ou préparation d'une intervention chirurgicale urgente [1,2]. N'hésitez pas à signaler l'urgence de votre situation lors de la prise de rendez-vous.

Pour optimiser vos chances d'obtenir un rendez-vous rapide, vous pouvez contacter plusieurs centres et vous inscrire sur liste d'attente. Certains établissements proposent également des créneaux de dernière minute en cas de désistement. L'important à retenir : en cas de symptômes neurologiques inquiétants, contactez immédiatement votre médecin qui pourra déclencher une prise en charge en urgence.

Recommandations des Sociétés Savantes

Les sociétés savantes françaises et internationales ont établi des recommandations précises concernant les indications et la réalisation de la myélographie. Ces guidelines évoluent régulièrement avec les progrès techniques [1,4].

La Société Française de Radiologie (SFR) a publié en 2024-2025 des recommandations actualisées sur la myélographie cervicale, précisant notamment ses indications dans le contexte de l'arthrose cervicale [1]. Ces nouvelles directives tiennent compte des innovations techniques récentes.

Concernant la détection des fuites de liquide céphalorachidien, les recommandations 2025 soulignent l'intérêt des nouvelles techniques de myélographie dynamique et de cisternographie isotopique [4,8]. Ces approches permettent une meilleure prise en charge de l'hypotension intracrânienne spontanée.

Les sociétés de neurochirurgie insistent sur l'importance de la myélographie dans la planification pré-opératoire, particulièrement pour les pathologies complexes de la jonction cervico-occipitale [1]. Elles recommandent également une approche multidisciplinaire associant radiologues, neurologues et neurochirurgiens pour optimiser la prise en charge des patients.

Pour les Professionnels de Santé

Les professionnels de santé prescripteurs doivent connaître les indications précises de la myélographie et les alternatives disponibles. Les innovations 2024-2025 ont modifié certaines pratiques qu'il convient de maîtriser [1,2,7].

La technique de ponction lombaire pour myélographie nécessite une expertise spécifique. Les recommandations récentes insistent sur l'importance de l'asepsie stricte et de l'utilisation d'aiguilles atraumatiques pour réduire le risque de céphalées post-ponction [2]. La formation continue des équipes est essentielle.

L'interprétation des images de myélographie demande une expérience particulière en imagerie rachidienne. Les nouveaux outils d'aide au diagnostic par intelligence artificielle commencent à être intégrés dans certains centres [7]. Ces technologies promettent d'améliorer la détection des anomalies subtiles.

La prise en charge des complications doit être parfaitement maîtrisée par les équipes. Les protocoles de traitement des céphalées post-ponction, incluant la réalisation d'un blood-patch si nécessaire, doivent être standardisés [4]. La collaboration entre radiologues, anesthésistes et neurologues est cruciale pour optimiser la sécurité des patients.

Conseils Pratiques

Quelques conseils pratiques peuvent vous aider à mieux vivre votre myélographie et à optimiser les résultats de l'examen. La préparation psychologique est aussi importante que la préparation physique [12].

Le jour de l'examen, habillez-vous confortablement avec des vêtements faciles à enlever. Évitez les bijoux et objets métalliques qui pourraient gêner l'imagerie. Prévoyez d'être accompagné car vous ne pourrez pas conduire après l'examen [12,13].

Après la myélographie, le repos au lit pendant 4 à 6 heures est recommandé pour réduire le risque de céphalées. Gardez la tête légèrement surélevée et hydratez-vous bien [13]. Si des maux de tête apparaissent, ils sont généralement soulagés par le repos en position allongée.

N'hésitez pas à communiquer avec l'équipe médicale tout au long de votre prise en charge. Signalez immédiatement tout symptôme inhabituel : maux de tête intenses, nausées persistantes, ou troubles neurologiques [12]. Votre bien-être est la priorité de toute l'équipe soignante.

Questions Fréquentes

La myélographie est-elle douloureuse ?
L'examen lui-même n'est généralement pas douloureux grâce à l'anesthésie locale. Vous pourrez ressentir une pression lors de l'injection, mais pas de douleur intense [12,13].

Combien de temps dure l'examen ?
Comptez entre 45 minutes et 1 heure pour l'ensemble de la procédure, incluant la préparation, l'injection et la réalisation des clichés [12].

Puis-je reprendre mes activités normales après ?
Un repos de 4 à 6 heures est recommandé après l'examen. Évitez les efforts physiques intenses pendant 24 heures [13]. La conduite automobile est déconseillée le jour même.

Quand aurai-je les résultats ?
Les résultats sont généralement disponibles dans les 24 à 48 heures. Votre médecin vous expliquera les conclusions et les implications thérapeutiques [14].

Y a-t-il des alternatives moins invasives ?
L'IRM reste l'examen de première intention quand elle est possible. La myélographie n'est proposée que dans des situations spécifiques où elle apporte des informations complémentaires essentielles [1,13].

Actes médicaux associés

Les actes CCAM suivants peuvent être pratiqués dans le cadre de Myélographie :

Questions Fréquentes

La myélographie est-elle douloureuse ?

L'examen lui-même n'est généralement pas douloureux grâce à l'anesthésie locale. Vous pourrez ressentir une pression lors de l'injection, mais pas de douleur intense.

Combien de temps dure l'examen ?

Comptez entre 45 minutes et 1 heure pour l'ensemble de la procédure, incluant la préparation, l'injection et la réalisation des clichés.

Puis-je reprendre mes activités normales après ?

Un repos de 4 à 6 heures est recommandé après l'examen. Évitez les efforts physiques intenses pendant 24 heures. La conduite automobile est déconseillée le jour même.

Quand aurai-je les résultats ?

Les résultats sont généralement disponibles dans les 24 à 48 heures. Votre médecin vous expliquera les conclusions et les implications thérapeutiques.

Y a-t-il des alternatives moins invasives ?

L'IRM reste l'examen de première intention quand elle est possible. La myélographie n'est proposée que dans des situations spécifiques où elle apporte des informations complémentaires essentielles.

Spécialités médicales concernées

Sources et références

Références

  1. [1] Myélographie cervicale : indications et recommandations. Innovation thérapeutique 2024-2025.Lien
  2. [2] Comment effectuer une ponction lombaire. Innovation thérapeutique 2024-2025.Lien
  3. [4] B Altenbach, N Mabic. Hypotension intracrânienne spontanée et hypertension intracrânienne idiopathique: diagnostic et traitement. 2025.Lien
  4. [6] JT Gibby, TJ Amrhein. SIH-Verdacht: Nachweis von Liquor-Venen-Fisteln mit Dekubitus-CT-Myelo-grafie.Lien
  5. [7] TJ Vogl, P Reschke. Neue diagnostische Verfahren in der Computertomographie der Wirbelsäule. 2024.Lien
  6. [8] D Bessac, J Todeschi. Apport de la cisternographie isotopique dans la recherche de fuite du liquide céphalorachidien. 2025.Lien
  7. [12] Myélographie : que faire avant, pendant et après.Lien
  8. [13] Myélographie : définition, intérêt, déroulement de l'examen.Lien
  9. [14] Myélographie - Myéloscanner lombaire.Lien

Publications scientifiques

Ressources web

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Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.