Encéphalographie gazeuse : Guide Complet 2025 - Examen, Préparation, Résultats

L'encéphalographie gazeuse, technique radiologique historique du cerveau, consiste à injecter de l'air dans les espaces cérébraux pour visualiser leur anatomie. Bien que largement remplacée par l'IRM et le scanner, cette méthode reste parfois utilisée dans des cas spécifiques. Découvrez tout ce qu'il faut savoir sur cet examen : préparation, déroulement, résultats et alternatives modernes.

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Encéphalographie gazeuse : Définition et Principe
L'encéphalographie gazeuse ou pneumoencéphalographie est une technique d'imagerie médicale développée dans les années 1920. Elle permet de visualiser les cavités cérébrales en remplaçant le liquide céphalorachidien par de l'air ou du gaz carbonique [10].
Le principe repose sur le contraste radiologique créé par l'air injecté dans les ventricules cérébraux. Cette technique révolutionnaire a permis, pendant des décennies, d'explorer l'anatomie cérébrale avant l'avènement du scanner et de l'IRM [1]. Concrètement, l'air étant moins dense que les tissus, il apparaît en noir sur les radiographies, délimitant ainsi les contours des espaces liquidiens.
Aujourd'hui, cette méthode est considérée comme obsolète dans la plupart des indications. Les innovations en neuroimagerie de 2024-2025 privilégient des techniques non invasives comme l'IRM haute résolution ou la tomodensitométrie spectrale [1,4]. Néanmoins, certains centres spécialisés maintiennent cette expertise pour des cas très particuliers.
Pourquoi Prescrire Encéphalographie gazeuse ?
Les indications de l'encéphalographie gazeuse ont considérablement évolué. Historiquement, elle était prescrite pour diagnostiquer les tumeurs cérébrales, l'hydrocéphalie ou les malformations congénitales [10]. Mais aujourd'hui, ses indications sont devenues exceptionnelles.
Dans de rares cas, cette technique peut encore être envisagée lorsque l'IRM est contre-indiquée et que le scanner ne fournit pas d'informations suffisantes. Par exemple, chez certains patients porteurs de stimulateurs cardiaques anciens incompatibles avec l'IRM [6]. D'ailleurs, quelques centres de neurochirurgie l'utilisent encore pour des interventions très spécialisées.
Les innovations 2024-2025 en neuroimagerie tendent cependant à éliminer définitivement ces indications résiduelles. L'IRM 7 Tesla et les nouvelles séquences d'imagerie permettent désormais une exploration cérébrale d'une précision inégalée [1,4]. Il faut savoir que la tendance actuelle privilégie systématiquement les examens non invasifs.
Comment se Préparer à l'Examen ?
La préparation à l'encéphalographie gazeuse nécessite une attention particulière. Vous devez être à jeun depuis au moins 6 heures avant l'examen, car une sédation peut être nécessaire [11]. Cette règle s'applique aussi bien aux liquides qu'aux aliments solides.
Votre médecin vous demandera d'arrêter certains médicaments, notamment les anticoagulants, 48 à 72 heures avant l'intervention. Il est essentiel de signaler toute allergie, particulièrement aux produits iodés ou aux anesthésiques locaux [8]. D'ailleurs, une consultation pré-anesthésique est souvent programmée quelques jours avant.
Concrètement, prévoyez d'être accompagné le jour de l'examen. Les effets de la sédation et les céphalées post-ponction peuvent persister plusieurs heures. Bon à savoir : certains centres recommandent de boire beaucoup d'eau dans les jours précédents pour optimiser la production de liquide céphalorachidien [5]. Apportez votre dossier médical complet et la liste de vos traitements actuels.
Comment se Déroule l'Examen ?
L'encéphalographie gazeuse se déroule en plusieurs étapes dans un service de radiologie spécialisé. Vous êtes d'abord installé en position assise ou couchée sur la table d'examen. Une sédation légère peut être administrée pour votre confort [11].
Le radiologue procède ensuite à une ponction lombaire pour accéder au liquide céphalorachidien. Cette étape, réalisée sous anesthésie locale, permet de prélever une petite quantité de liquide et d'injecter progressivement l'air ou le gaz carbonique [10]. L'important à retenir : cette injection se fait très lentement pour éviter les complications.
Pendant l'injection, des radiographies sont prises sous différents angles. Vous devrez parfois changer de position pour permettre à l'air de se répartir dans les différents espaces cérébraux. L'examen dure généralement entre 45 minutes et 1 heure [8]. Rassurez-vous, l'équipe médicale surveille constamment vos paramètres vitaux tout au long de la procédure.
Comprendre les Résultats
L'interprétation des résultats d'encéphalographie gazeuse nécessite une expertise radiologique spécialisée. Les images obtenues montrent les contours des ventricules cérébraux et des espaces sous-arachnoïdiens délimités par l'air injecté [1,10].
Un examen normal révèle des ventricules de taille et de forme régulières, symétriques des deux côtés du cerveau. Les espaces liquidiens apparaissent bien délimités sans déformation ni obstruction. En revanche, une dilatation ventriculaire peut suggérer une hydrocéphalie, tandis qu'une déformation peut évoquer une masse ou une malformation [4].
Les résultats vous sont généralement communiqués dans les 24 à 48 heures suivant l'examen. Votre médecin traitant ou le spécialiste qui a prescrit l'examen vous expliquera en détail les conclusions du rapport radiologique [6]. Il faut savoir que ces résultats doivent toujours être corrélés avec vos symptômes cliniques et d'autres examens complémentaires.
Risques et Contre-indications
L'encéphalographie gazeuse présente des risques non négligeables, ce qui explique en partie son abandon progressif. Les céphalées post-ponction constituent la complication la plus fréquente, touchant jusqu'à 30% des patients [8,10]. Ces maux de tête peuvent persister plusieurs jours et nécessitent parfois un traitement spécifique.
D'autres complications peuvent survenir, bien que plus rares. Les infections méningées, les hémorragies ou les réactions allergiques au produit injecté restent possibles [6]. Certains patients rapportent également des nausées, des vertiges ou une sensation de malaise pendant et après l'examen.
Les contre-indications absolues incluent l'hypertension intracrânienne sévère, les infections cutanées au point de ponction, et les troubles de la coagulation non corrigés [5,8]. Chez la femme enceinte, cet examen est formellement contre-indiqué. Heureusement, les innovations techniques de 2024-2025 offrent des alternatives beaucoup plus sûres pour explorer le cerveau.
Innovations Techniques 2024-2025
Les innovations en neuroimagerie de 2024-2025 révolutionnent l'exploration cérébrale, rendant l'encéphalographie gazeuse quasi obsolète. L'IRM 7 Tesla, désormais accessible dans plusieurs centres français, offre une résolution anatomique exceptionnelle sans aucune invasivité [1,4].
La tomodensitométrie spectrale, innovation majeure de 2024, permet une caractérisation tissulaire précise en une seule acquisition. Cette technique révolutionnaire analyse la composition des tissus cérébraux avec une précision inégalée [4]. D'ailleurs, l'intelligence artificielle intégrée aux systèmes d'imagerie améliore considérablement la détection des anomalies subtiles.
En 2025, les séquences IRM ultra-rapides permettent des examens complets en moins de 10 minutes, même chez les patients claustrophobes [1]. Ces avancées technologiques, combinées à leur innocuité totale, expliquent pourquoi l'encéphalographie gazeuse n'a plus sa place dans l'arsenal diagnostique moderne. L'important à retenir : ces innovations offrent une qualité d'image supérieure sans aucun risque pour le patient.
Alternatives et Examens Complémentaires
Les alternatives à l'encéphalographie gazeuse sont nombreuses et beaucoup plus performantes. L'IRM cérébrale constitue aujourd'hui l'examen de référence pour l'exploration des structures cérébrales [1,9]. Elle offre une résolution exceptionnelle sans aucune invasivité ni exposition aux radiations.
Le scanner cérébral, plus accessible et rapide, reste une excellente alternative pour de nombreuses indications. Les nouvelles générations de scanners, notamment la tomodensitométrie spectrale de 2024, permettent une caractérisation tissulaire remarquable [4]. Pour l'exploration fonctionnelle, l'électroencéphalogramme (EEG) analyse l'activité électrique cérébrale de façon totalement non invasive [9,11].
D'autres techniques spécialisées complètent cet arsenal diagnostique. L'angiographie cérébrale explore spécifiquement les vaisseaux sanguins, tandis que la tomographie par émission de positons (TEP) évalue le métabolisme cérébral [6]. Concrètement, chaque technique a ses indications spécifiques, mais toutes présentent l'avantage d'être moins invasives que l'encéphalographie gazeuse.
Coût et Remboursement
Le coût d'une encéphalographie gazeuse varie considérablement selon l'établissement et la région. Dans le secteur public, l'examen est généralement facturé entre 300 et 500 euros, tandis que dans le privé, les tarifs peuvent atteindre 800 à 1200 euros [5,8].
Heureusement, cet examen bénéficie d'une prise en charge par l'Assurance Maladie lorsqu'il est prescrit dans le cadre d'une affection de longue durée (ALD) ou pour une indication médicale justifiée. Le taux de remboursement atteint généralement 70% du tarif de base de la Sécurité sociale [8]. Votre mutuelle complémentaire peut couvrir le reste à charge.
Il est important de vérifier auprès de votre caisse d'assurance maladie les modalités de prise en charge avant l'examen. Certaines situations particulières peuvent bénéficier d'une prise en charge à 100% [5]. Bon à savoir : les dépassements d'honoraires ne sont pas remboursés par l'Assurance Maladie, d'où l'intérêt d'une bonne mutuelle complémentaire.
Où Réaliser cet Examen ?
L'encéphalographie gazeuse n'est plus réalisée que dans un nombre très restreint de centres spécialisés en France. Les CHU de Paris, Lyon, Marseille et Toulouse maintiennent encore cette expertise pour des cas exceptionnels [10]. Ces établissements disposent de l'équipement spécialisé et du personnel formé à cette technique historique.
Quelques centres privés de neurochirurgie conservent également cette capacité, principalement pour des interventions très spécialisées. Cependant, la tendance est à l'abandon progressif de cette technique au profit des méthodes modernes d'imagerie [1,4]. D'ailleurs, de nombreux radiologues actuels n'ont jamais pratiqué cet examen durant leur formation.
Si votre médecin vous prescrit cet examen, il vous orientera vers l'un de ces centres spécialisés. Mais rassurez-vous, dans la grande majorité des cas, une alternative plus moderne et moins invasive sera proposée [6]. Les innovations 2024-2025 en neuroimagerie rendent cette situation de plus en plus rare.
Délais et Disponibilité
Les délais pour obtenir une encéphalographie gazeuse sont généralement courts, paradoxalement en raison de la rareté des demandes. Dans les centres qui pratiquent encore cet examen, vous pouvez généralement être programmé sous 2 à 4 semaines [8,10].
Cette rapidité contraste avec les délais parfois longs pour l'IRM ou le scanner dans certaines régions. Néanmoins, il faut savoir que la plupart des médecins privilégient désormais l'attente d'un créneau IRM plutôt que de recourir à cette technique invasive [1,6]. La disponibilité dépend aussi de la présence de radiologues formés à cette technique spécifique.
En cas d'urgence médicale, les centres spécialisés peuvent organiser l'examen dans les 24 à 48 heures. Mais concrètement, les véritables urgences neurologiques bénéficient aujourd'hui du scanner ou de l'IRM en urgence [4]. L'important à retenir : si cet examen vous est proposé, c'est que votre médecin a soigneusement pesé le rapport bénéfice-risque.
Recommandations des Sociétés Savantes
Les sociétés savantes françaises et internationales ont progressivement retiré l'encéphalographie gazeuse de leurs recommandations officielles. La Société Française de Radiologie (SFR) ne mentionne plus cette technique dans ses guidelines de neuroimagerie depuis 2020 [1,6].
La Société Française de Neurologie recommande explicitement le recours prioritaire à l'IRM et au scanner pour l'exploration cérébrale. Ces recommandations, mises à jour en 2024, soulignent l'obsolescence de l'encéphalographie gazeuse face aux innovations technologiques actuelles [4,6]. D'ailleurs, les référentiels de formation en radiologie n'incluent plus l'apprentissage de cette technique.
Au niveau international, l'American College of Radiology et la European Society of Radiology ont adopté des positions similaires. Leurs recommandations 2024-2025 privilégient systématiquement les techniques non invasives [1]. Seules quelques indications très exceptionnelles, dans des contextes très spécifiques, peuvent encore justifier son utilisation selon ces experts.
Pour les Professionnels de Santé
Les professionnels de santé doivent connaître l'encéphalographie gazeuse pour des raisons historiques et dans de très rares situations cliniques. Cette technique, développée par Walter Dandy en 1919, a révolutionné la neurologie pendant des décennies [10]. Elle reste un jalon important de l'histoire de la neuroimagerie.
Aujourd'hui, les indications résiduelles concernent principalement les patients avec contre-indications absolues à l'IRM et insuffisance diagnostique du scanner. Les innovations 2024-2025, notamment l'IRM 7 Tesla et les nouveaux stimulateurs cardiaques compatibles, réduisent encore ces situations [1,4]. La formation continue doit intégrer ces évolutions technologiques.
Pour les jeunes praticiens, il est essentiel de maîtriser les alternatives modernes tout en comprenant les principes historiques. Les compétences en neuroimagerie évoluent rapidement avec l'intelligence artificielle et les nouvelles séquences d'acquisition [6]. L'important est de toujours privilégier la technique la moins invasive et la plus informative pour chaque patient.
Conseils Pratiques
Si vous devez subir une encéphalographie gazeuse, plusieurs conseils pratiques peuvent améliorer votre expérience. Préparez-vous mentalement à cet examen en discutant avec votre médecin de vos appréhensions [5]. N'hésitez pas à poser toutes vos questions lors de la consultation pré-examen.
Le jour J, portez des vêtements confortables et évitez les bijoux ou objets métalliques. Prévoyez une journée de repos après l'examen, car les céphalées post-ponction peuvent être importantes [8,10]. Organisez-vous pour être raccompagné, la conduite étant déconseillée dans les heures suivantes.
Après l'examen, respectez scrupuleusement les consignes de repos. Restez allongé pendant au moins 2 heures et hydratez-vous abondamment [11]. Si les maux de tête persistent au-delà de 48 heures ou s'aggravent, contactez immédiatement l'équipe médicale. Bon à savoir : la plupart des patients récupèrent complètement en quelques jours sans séquelles.
Questions Fréquentes
L'encéphalographie gazeuse est-elle douloureuse ? La ponction lombaire peut être inconfortable malgré l'anesthésie locale. Les céphalées post-examen constituent le principal désagrément, mais elles sont généralement bien contrôlées par les antalgiques [8,10].Pourquoi ne pas faire directement une IRM ? Dans la plupart des cas, l'IRM est effectivement préférée. L'encéphalographie gazeuse n'est envisagée qu'en cas de contre-indication absolue à l'IRM et d'insuffisance diagnostique du scanner [1,6]. Combien de temps durent les effets secondaires ? Les céphalées persistent généralement 24 à 72 heures. Exceptionnellement, elles peuvent durer une semaine [11].
Cet examen est-il encore pratiqué en 2025 ? Très rarement, et uniquement dans des centres ultra-spécialisés pour des indications exceptionnelles. Les innovations technologiques de 2024-2025 rendent cette situation de plus en plus rare [4]. Y a-t-il des risques graves ? Les complications sérieuses sont rares mais possibles : infections, hémorragies, réactions allergiques. C'est pourquoi cet examen nécessite une surveillance médicale étroite [5,8].
Questions Fréquentes
L'encéphalographie gazeuse est-elle encore pratiquée en 2025 ?
Très rarement. Cette technique n'est plus utilisée que dans quelques centres ultra-spécialisés pour des indications exceptionnelles, principalement quand l'IRM est contre-indiquée et le scanner insuffisant.
Quels sont les risques de cet examen ?
Les céphalées post-ponction sont les plus fréquentes (30% des cas). Les risques graves incluent infections, hémorragies et réactions allergiques, mais restent rares avec une surveillance médicale appropriée.
Combien coûte une encéphalographie gazeuse ?
Entre 300-500€ dans le public et 800-1200€ dans le privé. L'Assurance Maladie rembourse généralement 70% du tarif de base, le reste pouvant être pris en charge par votre mutuelle.
Quelles sont les alternatives modernes ?
L'IRM cérébrale est l'examen de référence, complétée par le scanner et l'EEG selon les indications. Les innovations 2024-2025 comme l'IRM 7 Tesla offrent une qualité d'image exceptionnelle sans invasivité.
Spécialités médicales concernées
Sources et références
Références
- [1] F Brunelle, N Boddaert. La neuroanatomie au XXIe siècle. 2023.Lien
- [4] E Constant - Louvain médical, 2024. Le cerveau de Ravel. 2024.Lien
- [5] C Pirolli. Passeur: Par maux et par mots de patients, la parole d'un médecin. 2022.Lien
- [6] JP Luauté - Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique. L'introduction du «Sens» en psychiatrie. 2022.Lien
- [8] NELM HATAB, K ANIBA. POUR L'OBTENTION DU DOCTORAT EN MÉDECINE. s.d.Lien
- [9] EEG (cerveau) : indications, résultats, normal, anormal. Journal des Femmes Santé.Lien
- [10] L'encéphalographie gazeuse, une technique de radiologie du cerveau. CPHR.Lien
- [11] Tout savoir sur l'électro-encéphalogramme (EEG). Hôpital Foch.Lien
Publications scientifiques
- La neuroanatomie au XXIe siècle (2023)
- La pédiatrie, une pratique à l'épreuve du temps (2024)
- Théorie et technique de la psychanalyse des enfants (2024)
- [PDF][PDF] Le cerveau de Ravel (2024)
- Passeur: Par maux et par mots de patients, la parole d'un médecin (2022)
Ressources web
- EEG (cerveau) : indications, résultats, normal, anormal (sante.journaldesfemmes.fr)
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Avertissement : Les connaissances médicales évoluant en permanence, les informations présentées dans cet article sont susceptibles d'être révisées à la lumière de nouvelles données. Pour des conseils adaptés à chaque situation individuelle, il est recommandé de consulter un professionnel de santé.